Cette vidéo, pas pour sombrer dans le sentimentalisme... Juste pour exprimer, à titre personnel, tout mon respect à cette famille et à ce petit bonhomme.
Encore une fois sa sent la manip' des gamins. Sans parler de la manip' politique qui doit exister sur place. Ils payent surement pour des querelles de clocher.
Querelles de clocher? Non, ce sont les petits qui ont voulu faire comme les grands qui se réunissent dans les salles polyvalentes non loin de Breitenbach...
Des petits crétins complètement paranos à l'idée de voir l'alterité entrer dans leur petit cercle consanguin...
Ce qui serait intéressant, c'est de connaître la date de diffusion du sujet : avant ou après le Parc des Princes ? En principe, prévoyez une redif' vers avril de l'année prochaine. Cela posé, ils sont très mignons, ces gosses. Pas comme leur père adoptif qui a une tête de con socialiste — mais un coeur 'gros comme ça" (dit-il, en montrant sa carte de Sauce Racisme). C'est vrai : le petiot est à croquer (discrimination cannibale positive). Dommage qu'il parle déjà comme un député Vert (et vive la société multicolore !).
... A cela près, cher ami — et c'est ce qui fait toute la différence — que Nabe, lui, écrit des bouquins et que c'était bien là le sujet de nos discussions antérieures (du moins le pensais-je...). Alors que là, mon bon, il ne s'agit de personne d'autre que d'un quidam à tête de. Je vous trouve très politically correct... ce n'est pourtant pas dans les habitudes de l'endroit, me semble-t-il.
on est politiquement correct quand ça nous chante et me fais pas dans le "cher ami" c'est pas l'jour. tu assènes tes vérités entendues donc prévisibles : _ aimer Nabe. _ ne pas aimer Ferré. _ qualifier un bougre ayant adopté deux petits africains de gaucho, en gros. ton politiquement incorrect est très très correct, très dans les balises : bravo pour ton esprit critique Kalle. mes plates excuses pour le ton sec mais malgré ta politesse de forme je n'aime pas le ton de tes derniers posts. Comme si l'insulte était une question de vocabulaire. PS : vraiment, je savais qu'en balançant cette vidéo, on aurait droit à ce genre de commentaires. Tu projettes et es extrêmement manichéen, mon bon.
cela étant dit, et assumé, ce reportage venait après le drame de St Cloud. Trouver dégueulasse le traitement que subissent ces gosses n'exclut pas de ne pas être dupe sur l'instrumentalisation du sujet. Si on n'est plus capable de compassion sous prétexte de ne pas sombrer dans le pathos, on est juste dans l'ombre stylistique. umbre, umbre qui a une sainte horreur de la logique. J'aspire à être mon propre architecte.
une dernière chose pour que mon sac soit bel et bien vidé : au CiGBi, il est hors de question que nous nous enfermions dans une ligne éditoriale spécifique. Ici, il n'y a aucune concertation entre les rédacteurs. Nous avons des points communs bien sûr mais aussi des différences, des divergences de point de vue. Grand bien nous fasse ! Colle nous une étiquette, et tu es déjà dans l'erreur. A titre personnel, ma radicalité opère dans mes contradictions.
ce gosse me touche. Tout simplement, je retrouve le gosse que j'ai été en lui. Tu peux le critiquer si ça t'amuse, mais pas me l'enlever. ça n'entre pas en contradiction avec mes précédents textes mais oui, c'est entendu en effet : c'est tellement mal de ne pas manier le manche systématiquement, tellement kitsch, isn't it ?
Tiens, le tutoiement maintenant. Après tout, tu es chez toi. Bon, alors si tu veux, ma poule. J'enregistre ta réaction hystérique (tu me diras quand c'est le bon jour pour te parler), qui laisse douter de l'intérêt de lancer qqs précisions sur mes intentions. On dirait Taubira face à Le Pen. Pourtant, je veux croire que tout n'est pas fini entre nous, Christy, même si tu ne crains pas le ridicule en t'adressant à moi sur ce ton : "malgré ta politesse de forme je n'aime pas le ton de tes derniers posts". Excuse moi, M'sieur — je peux relever les yeux maintenant ?
Tu n'aimes pas le ton que j'adopte, donc : je suis un manichéen de l'extrême dis-tu et — pourquoi pas, vas-y, on n'est plus à ça près, un salaud de facho bouffeur de petit black ? Ahlala... Si tu connaissais ma vie, et si tu savais à quel point elle dément ce que tu prétends apercevoir dans mes propos... Je pensais qu'au CGB, vous saviez prendre de la distance avec les mots, que vous aimiez jouer avec eux. Erreur ! Votre nabophobie maladive (apparemment tu es à ton tour gagné par cette haine supplémentaire) l'atteste bien : pour vous, les mots ne sont pas gentils quand ils sont méchants... merde, c'est beau comme du Lalane !
D'ailleurs à propos du bellâtre bêlant, il faudrait essayer de reformuler les phrases qui suivent car sincèrement — mais alors vraiment — je n'ai pas compris ce que tu voulais me/nous dire : "Si on n'est plus capable de compassion sous prétexte de ne pas sombrer dans le pathos, on est juste dans l'ombre stylistique. umbre, umbre qui a une sainte horreur de la logique. J'aspire à être mon propre architecte." L'opacité est totale en ce qui me concerne.
Enfin, rassure-toi : je ne souhaite pas enfermer qui que ce soit dans une quelconque ligne de je-ne-sais-trop-quoi (dis donc, tu serais pas dans une école de journalistes, toi, des fois ?). Moi — contrairement à vous (collectif) — je ne colle d'étiquette à absolument personne. Pensez-vous que "tête de con" ou "babouin haineux" ou "député Vert" soient des insultes ? Non : ce sont juste des mots, des mots qui servent à susciter des images, des images qui font appel à votre fond culturel, à votre éducation, à votre sens critique, à votre... Bon, j'arrête de pisser dans ce violon, ça gonfle (le bois).
Ce que je vois — et puisqu'il faut te le dire ainsi, je me lance : ton petit black (pardon, enfant de citoyenneté française) est très touchant, et c'est bien dommage que deux ou trois gamins acéphales aillent tagger "nègre" sur son mur. Mais moi, tu vois, je vois toujours le second degré des choses : la manip', le poteau, le piège à gogos (t'as vu, je fais des efforts) je le flaire à 100 bornes. Et là, ma poule, c'est tellement énaurme ! Tiens, je me demande quelle aurait été ta réaction si on t'avait passé un petit reportage sur des gamins qui pleurent le suicide de leur père chômeur qui n'en pouvait plus de se faire traiter "d'enculé de céfran" en se faisant cramer sa pauvre chiotte de RMiste... Ah mais que je suis con : on risque pas de le voir, ce reportage-là.
Bon, cher tu, j'espère que tu vas pas encore t'énerver si je t'écris tout ça...
oui moi je tue-toi mon bon. je ne suis ni Milos, ni Altantis. Tu persistes avec ton vous. Tactique du persécuté ? Et tu me qualifies d'hystérique (tout au plus une froide colère)? Héhéhé. Mes propos n'engagent que moi. Je ne me cache pas derrière le groupe, je n'ai pas l'instinct grégaire.
"si tu connaissais ma vie" gnagna. Te voilà victime de tes procédés. L'air de pas y toucher ? Touché ! Tu es parfaitement libre de ne pas te remettre en question. Tu n'échappes pas à la critique que tu as opposée à Milos. C'est cela que je souhaitais mettre en exergue quand tu me parles de "nabophobie" (à ce propos, il ne me semble pas en avoir fait montre ; tout au plus ai je évoqué son fort ego mais les écrivains ne tirent ils pas du plus profond de leur narcissisme, le vin de leur encre)... Héhéhé.
C'est mieux la cohérence chez l'accusateur, chez celui qui pointe du doigt, drapé dans son idée fantasmatique qu'il a de lui-même. Et c'est fort utile au moment de la contradiction. ça le met au moins à l'abri de trébucher. Pointeur pointé ? Normal. Victimisation : t'es en circuit fermé.
"de la distance avec les mots" ? Mais c'est ton ton docte qui donne tout son sens à tes mots, mon bon.
"l'opacité est totale" ? oui, parce qu'elle est intentionnelle. J'assure en opacité, j'adore. Et ta prose indique bien clairement ô combien tu t'aimes, te trouves intelligent, cultivé, et, et... Et si seul. Tu es le meilleur d'entre nous Kalle.
Symptomatique chez l'agresseur qui se mue en victime de ne pas lire à fond les réponses qu'on lui oppose. Tu n'entends pas, tu t'écoutes trop. ta dernière mise au point était parfaitement inutile. Je suis également un champion dans le défonçage des portes ouvertes. Serre m'en cinq mister !
Un peu déçu. D'habitude, quand ce n'est pas opaque (désolé si ça fait un peu mal), c'est plus digeste. C'est quoi, ces "héhéhé" de débile mental ? Un genre que tu te donnes ? Une figure de rhétorique vue dans Pif le Chien ? Ah, j'oubliais la tentative de Lacanisation du discours : "je tue-toi" ! Excellente entrée en matière fécale (forcément fécale). Bon : mon ton docte, dis-tu... Eh bien vois-tu, mon ton docte m'amène à penser qu'il vaut toujours mieux être du côté du trottoir que les deux pieds dans le caniveau, à insulter ceux qui s'efforcent modestement (si, si) d'écrire sans insulter leur interlocuteur (mais maintenant, tu fais plus figure de joint torique que d'interlocuteur). Autre point : j'assume plutôt bien mon intelligence et ma culture, et suis ravi d'apprendre que je suis le meilleur d'entre vous (mais les autres seront-ils d'accord avec ton assertion... ah zut, c'est vrai : tu ne parles qu'en ton nom, tu es ton... architecte ? Moi je dirai plutôt "décorateur d'intérieur"). Pour finir, je me doutais un peu qu'en termes de défonçage, tu t'attaquais de préférence à des portes ouvertes : tu as raison, c'est plus dans tes cordes.
Bon, en ce qui me concerne, j'arrête ce post ici car j'ai le sentiment diffus que l'on ne va pas tarder à emmerder la compagnie... Les attaques perso (les tiennes, les miennes) ça devient vite lassant. Donc, si tu veux faire pipi une dernière fois sur le mur... Heureusement, nous aurons sûrement l'occasion d'échanger constructivement nos points de vue modérés ! Merci, CiGiBi !
très touchant. Quel discours du p'tit garçon et quelle maturité!
RépondreSupprimerMaturité, maturité...
RépondreSupprimerEncore une fois sa sent la manip' des gamins. Sans parler de la manip' politique qui doit exister sur place. Ils payent surement pour des querelles de clocher.
Querelles de clocher? Non, ce sont les petits qui ont voulu faire comme les grands qui se réunissent dans les salles polyvalentes non loin de Breitenbach...
RépondreSupprimerDes petits crétins complètement paranos à l'idée de voir l'alterité entrer dans leur petit cercle consanguin...
putain j'ai failli chialer !
RépondreSupprimervraiment un blog de tafioles
granomort, ici y'a que de la taffiole active : c quand tu veux pour te faire enculer.
RépondreSupprimerCe qui serait intéressant, c'est de connaître la date de diffusion du sujet : avant ou après le Parc des Princes ?
RépondreSupprimerEn principe, prévoyez une redif' vers avril de l'année prochaine.
Cela posé, ils sont très mignons, ces gosses. Pas comme leur père adoptif qui a une tête de con socialiste — mais un coeur 'gros comme ça" (dit-il, en montrant sa carte de Sauce Racisme).
C'est vrai : le petiot est à croquer (discrimination cannibale positive). Dommage qu'il parle déjà comme un député Vert (et vive la société multicolore !).
oh oui mais c tellement mal de juger Nabe sur sa sale gueule de blaireau hein Kalle ?
RépondreSupprimer... A cela près, cher ami — et c'est ce qui fait toute la différence — que Nabe, lui, écrit des bouquins et que c'était bien là le sujet de nos discussions antérieures (du moins le pensais-je...). Alors que là, mon bon, il ne s'agit de personne d'autre que d'un quidam à tête de.
RépondreSupprimerJe vous trouve très politically correct... ce n'est pourtant pas dans les habitudes de l'endroit, me semble-t-il.
on est politiquement correct quand ça nous chante et me fais pas dans le "cher ami" c'est pas l'jour.
RépondreSupprimertu assènes tes vérités entendues donc prévisibles :
_ aimer Nabe.
_ ne pas aimer Ferré.
_ qualifier un bougre ayant adopté deux petits africains de gaucho, en gros.
ton politiquement incorrect est très très correct, très dans les balises : bravo pour ton esprit critique Kalle. mes plates excuses pour le ton sec mais malgré ta politesse de forme je n'aime pas le ton de tes derniers posts. Comme si l'insulte était une question de vocabulaire.
PS : vraiment, je savais qu'en balançant cette vidéo, on aurait droit à ce genre de commentaires. Tu projettes et es extrêmement manichéen, mon bon.
cela étant dit, et assumé, ce reportage venait après le drame de St Cloud. Trouver dégueulasse le traitement que subissent ces gosses n'exclut pas de ne pas être dupe sur l'instrumentalisation du sujet. Si on n'est plus capable de compassion sous prétexte de ne pas sombrer dans le pathos, on est juste dans l'ombre stylistique. umbre, umbre qui a une sainte horreur de la logique. J'aspire à être mon propre architecte.
RépondreSupprimerune dernière chose pour que mon sac soit bel et bien vidé :
RépondreSupprimerau CiGBi, il est hors de question que nous nous enfermions dans une ligne éditoriale spécifique. Ici, il n'y a aucune concertation entre les rédacteurs. Nous avons des points communs bien sûr mais aussi des différences, des divergences de point de vue. Grand bien nous fasse ! Colle nous une étiquette, et tu es déjà dans l'erreur.
A titre personnel, ma radicalité opère dans mes contradictions.
ce gosse me touche. Tout simplement, je retrouve le gosse que j'ai été en lui. Tu peux le critiquer si ça t'amuse, mais pas me l'enlever. ça n'entre pas en contradiction avec mes précédents textes mais oui, c'est entendu en effet : c'est tellement mal de ne pas manier le manche systématiquement, tellement kitsch, isn't it ?
Tiens, le tutoiement maintenant. Après tout, tu es chez toi. Bon, alors si tu veux, ma poule.
RépondreSupprimerJ'enregistre ta réaction hystérique (tu me diras quand c'est le bon jour pour te parler), qui laisse douter de l'intérêt de lancer qqs précisions sur mes intentions. On dirait Taubira face à Le Pen. Pourtant, je veux croire que tout n'est pas fini entre nous, Christy, même si tu ne crains pas le ridicule en t'adressant à moi sur ce ton : "malgré ta politesse de forme je n'aime pas le ton de tes derniers posts". Excuse moi, M'sieur — je peux relever les yeux maintenant ?
Tu n'aimes pas le ton que j'adopte, donc : je suis un manichéen de l'extrême dis-tu et — pourquoi pas, vas-y, on n'est plus à ça près, un salaud de facho bouffeur de petit black ?
Ahlala... Si tu connaissais ma vie, et si tu savais à quel point elle dément ce que tu prétends apercevoir dans mes propos... Je pensais qu'au CGB, vous saviez prendre de la distance avec les mots, que vous aimiez jouer avec eux. Erreur ! Votre nabophobie maladive (apparemment tu es à ton tour gagné par cette haine supplémentaire) l'atteste bien : pour vous, les mots ne sont pas gentils quand ils sont méchants... merde, c'est beau comme du Lalane !
D'ailleurs à propos du bellâtre bêlant, il faudrait essayer de reformuler les phrases qui suivent car sincèrement — mais alors vraiment — je n'ai pas compris ce que tu voulais me/nous dire :
"Si on n'est plus capable de compassion sous prétexte de ne pas sombrer dans le pathos, on est juste dans l'ombre stylistique. umbre, umbre qui a une sainte horreur de la logique. J'aspire à être mon propre architecte." L'opacité est totale en ce qui me concerne.
Enfin, rassure-toi : je ne souhaite pas enfermer qui que ce soit dans une quelconque ligne de je-ne-sais-trop-quoi (dis donc, tu serais pas dans une école de journalistes, toi, des fois ?).
Moi — contrairement à vous (collectif) — je ne colle d'étiquette à absolument personne. Pensez-vous que "tête de con" ou "babouin haineux" ou "député Vert" soient des insultes ? Non : ce sont juste des mots, des mots qui servent à susciter des images, des images qui font appel à votre fond culturel, à votre éducation, à votre sens critique, à votre... Bon, j'arrête de pisser dans ce violon, ça gonfle (le bois).
Ce que je vois — et puisqu'il faut te le dire ainsi, je me lance : ton petit black (pardon, enfant de citoyenneté française) est très touchant, et c'est bien dommage que deux ou trois gamins acéphales aillent tagger "nègre" sur son mur. Mais moi, tu vois, je vois toujours le second degré des choses : la manip', le poteau, le piège à gogos (t'as vu, je fais des efforts) je le flaire à 100 bornes. Et là, ma poule, c'est tellement énaurme ! Tiens, je me demande quelle aurait été ta réaction si on t'avait passé un petit reportage sur des gamins qui pleurent le suicide de leur père chômeur qui n'en pouvait plus de se faire traiter "d'enculé de céfran" en se faisant cramer sa pauvre chiotte de RMiste... Ah mais que je suis con : on risque pas de le voir, ce reportage-là.
Bon, cher tu, j'espère que tu vas pas encore t'énerver si je t'écris tout ça...
oui moi je tue-toi mon bon.
RépondreSupprimerje ne suis ni Milos, ni Altantis. Tu persistes avec ton vous. Tactique du persécuté ? Et tu me qualifies d'hystérique (tout au plus une froide colère)? Héhéhé. Mes propos n'engagent que moi. Je ne me cache pas derrière le groupe, je n'ai pas l'instinct grégaire.
"si tu connaissais ma vie" gnagna. Te voilà victime de tes procédés. L'air de pas y toucher ? Touché ! Tu es parfaitement libre de ne pas te remettre en question. Tu n'échappes pas à la critique que tu as opposée à Milos. C'est cela que je souhaitais mettre en exergue quand tu me parles de "nabophobie" (à ce propos, il ne me semble pas en avoir fait montre ; tout au plus ai je évoqué son fort ego mais les écrivains ne tirent ils pas du plus profond de leur narcissisme, le vin de leur encre)... Héhéhé.
C'est mieux la cohérence chez l'accusateur, chez celui qui pointe du doigt, drapé dans son idée fantasmatique qu'il a de lui-même. Et c'est fort utile au moment de la contradiction. ça le met au moins à l'abri de trébucher. Pointeur pointé ? Normal. Victimisation : t'es en circuit fermé.
"de la distance avec les mots" ? Mais c'est ton ton docte qui donne tout son sens à tes mots, mon bon.
"l'opacité est totale" ? oui, parce qu'elle est intentionnelle. J'assure en opacité, j'adore. Et ta prose indique bien clairement ô combien tu t'aimes, te trouves intelligent, cultivé, et, et... Et si seul. Tu es le meilleur d'entre nous Kalle.
Symptomatique chez l'agresseur qui se mue en victime de ne pas lire à fond les réponses qu'on lui oppose. Tu n'entends pas, tu t'écoutes trop. ta dernière mise au point était parfaitement inutile. Je suis également un champion dans le défonçage des portes ouvertes. Serre m'en cinq mister !
Un peu déçu. D'habitude, quand ce n'est pas opaque (désolé si ça fait un peu mal), c'est plus digeste.
RépondreSupprimerC'est quoi, ces "héhéhé" de débile mental ? Un genre que tu te donnes ? Une figure de rhétorique vue dans Pif le Chien ?
Ah, j'oubliais la tentative de Lacanisation du discours : "je tue-toi" ! Excellente entrée en matière fécale (forcément fécale).
Bon : mon ton docte, dis-tu... Eh bien vois-tu, mon ton docte m'amène à penser qu'il vaut toujours mieux être du côté du trottoir que les deux pieds dans le caniveau, à insulter ceux qui s'efforcent modestement (si, si) d'écrire sans insulter leur interlocuteur (mais maintenant, tu fais plus figure de joint torique que d'interlocuteur).
Autre point : j'assume plutôt bien mon intelligence et ma culture, et suis ravi d'apprendre que je suis le meilleur d'entre vous (mais les autres seront-ils d'accord avec ton assertion... ah zut, c'est vrai : tu ne parles qu'en ton nom, tu es ton... architecte ? Moi je dirai plutôt "décorateur d'intérieur").
Pour finir, je me doutais un peu qu'en termes de défonçage, tu t'attaquais de préférence à des portes ouvertes : tu as raison, c'est plus dans tes cordes.
Bon, en ce qui me concerne, j'arrête ce post ici car j'ai le sentiment diffus que l'on ne va pas tarder à emmerder la compagnie... Les attaques perso (les tiennes, les miennes) ça devient vite lassant. Donc, si tu veux faire pipi une dernière fois sur le mur... Heureusement, nous aurons sûrement l'occasion d'échanger constructivement nos points de vue modérés ! Merci, CiGiBi !
merci pour tous ces beaux compliments Kalle sèche. ;-)
RépondreSupprimerEn tout cas le petiot il a bel et bien l'accent Alsacien !
RépondreSupprimerSinon chez ED j'ai acheté une bouteille de whisky à 7 euros 30 ! Vous vous rendez compte ! Et pour 75 cl en plus !
RépondreSupprimerdu JB ? faute : Kalle, en tant que petit bourgeois dandy ne boit que du Jack Daniels
RépondreSupprimermerde ! je dis ça je dis rien : Kalle, il préconise de boire quelle marque de sky Nabe ?
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