Y'a-t-il un gendarme dans la salle? Un chef? Un maître? Un guide? Nous ne sommes que des (libres) échangistes après tout, rien d'autre... Nous voulions la partouze globale, pas le pouvoir!
Obama! Pleaaase! Parle-nous!
Dark Philippe Muray
Je voudrais présenter des plus plates excuses au nom de la France à tous les voleurs, violeurs, délinquants et dealeurs de nos cités, au sujet des propos insultants et des mots « racailles et karcher » proférés par Nicolas Sarkozy pendant les émeutes de novembre 2005.
Ségolène Royal
Le corbeau a encore sévi. Une nouvelle lettre de menaces a été envoyée à Nicolas Sarkozy. Cette fois-ci le courrier n'était pas accompagné d'une, mais de deux balles, selon le parquet. La lettre a été envoyée ce jeudi à l'Elysée.
Un peu plus tôt dans la journée, le député UMP du Nord, Christian Vanneste a également reçu un courrier du même type. «Nous allons vous abattre sans aucune retenu, sans aucun état d'âme (...) Le NETTOYAGE ET SA SECURISATION COMMENCE...», dit le courrier.
C'est la nouvelle polémique du moment et qui nous vient cette fois de la réacosphère via l'abominable, le terrifiant, le sadique, l'armageddonnesque François Desouche.
Ne soyons pas surpris que Dailymotion la supprime en masse et que You Teub la bloque. Seul ce phacochère de Schneidermann a apparemment le droit avec son « Arrêt cardiaque sur images » de nous diffuser un petit bout de séquence où une « spécialiste » se chargera de nous expliquer ce qu'il faut en penser.
Cette journaliste, en l'occurrence une petite jouvencelle, a douté sérieusement de l'authenticité de cette vidéo (ensuite elle capitule, mais le doute plane encore). Salaud de Desouche !
Car voyez-vous, notre bon camarade François (quoi que) aurait magouillé avec un chauffeur de la Ratepeu, loué un bus, se serait acoquiné avec quelques racailles grassement soudoyées, aurait demandé à quelques-uns de ses admirateurs de se laisser maraver pour la bonne cause, puis aurait récupéré le film, l'aurait trafiqué avec After Effect dans un studio de la plaine Saint-Denis et attendu quelque temps avant de balancer la monstruosité sur la toile. Salaud de Desouche !
Car on peut faire confiance à une stagiaire journaliste d'à peine vingt printemps, certainement pas gauchiste et certainement pas à ce poste par piston.
Les associations antiracistes ou La Halde ont encore frappé. La Halde avec cette tête à claques de Sihem Habchi, présidente de « ni putes, ni soumises » et de l'association « trop connes et pas bonnes ».
Les carrosses devaient toujours suivre le même itinéraire et devaient respecter les horaires fixés, les départs ayant lieu tous les demi-quarts d'heures de leur terminus même si ceux-ci étaient vide. Les passagers devaient payer leur place cinq sols, d'où le nom des carrosses à cinq sols. Les carrosses publics portaient mal leurs noms, une catégorie de personnes ne pouvant pas profiter de ces moyens de transports. Louis XIV avaient pourtant laissé le libre accès sur ses lettres de patente mais le Parlement de Paris, voulant marquer leur privilège, n'accepta d'enregistrer ces dites lettres uniquement en interdisant l'accès des carrosses aux " soldats, pages, laquais et autres gens de bras".
Les carrosses à cinq sols obtinrent un fort et rapide succès, mais l'interdiction d'accès à une partie de la population, amena une impopularité montante. Les carrosses eurent de moins en moins de clients et l'entreprise tomba en difficulté financière. Ils augmentèrent leur tarif et passèrent ainsi à six sols, mais rien n'y fit, l'entreprise ferma complètement en 1679.
Il est dommage qu'on n'ait pas ultérieurement maintenu cette interdiction aux "gens de bras" posée par le Parlement de Paris : ça aurait évité à certains petits blancs de se faire passer à tabacs sur les lignes de la RATP.