Soyons nuancés : la recherche addictive d'authenticité exotique caractérise les connards qui nous entourent.
23 juin 2018
14 juin 2018
Médine au Bataclan : une histoire de tombeaux
Médine : sous le barbu, le bu-bar |
Mauvais
goût.
Le mauvais
goût.
Un mauvais
goût dans la bouche.
Après Black
M dans la nécropole de Verdun, Aujourd’huiFeueFrance-Prod présente : Médine,
l’islamo-rappeur au Bataclan.
Médine,
programmé dans feue la Mecque du achipé-achopé.
Feu. Le
Bataclan est mort un Vendredi 13. Lagardère garde le corps. Il a égaré le
rapport d’autopsie.
Les oreilles
qui sifflent. Certains s’insurgent.
D’autres crient : Shieldwall !!! No Pasaran la censure !
D’autres crient : Shieldwall !!! No Pasaran la censure !
Parmi eux,
Mathieu Kassovitz.
Soutient à mes deux amis @BelattarYassine et @Medinrecords face à la connerie humaine. Continuez à faire beugler les chiens de garde. Vous êtes la France d’aujourd’hui et du futur et ils ne peuvent rien y faire. Ça les rend dingue et ça me rend heureux. Merci à vous.— mathieu Kassovitz (@kassovitz1) 10 juin 2018
9 juin 2018
Mamoudou Day
Mamoudou Unchained |
Pardon
?
« Bilan des courses pour François Hollande : « Ne touchons jamais les lois sur la nationalité. »
Plait-il ?
« Comme il l'explique dans son livre, François Hollande nourrit également des regrets sur une séquence qui a ébranlé la gauche, jusqu'à ses plus proches soutiens : la déchéance de la nationalité, annoncée devant le Parlement réuni en congrès à Versailles après les attentats du 13 novembre 2015. À la différence des jours qui ont suivi les attaques terroristes précédentes, l'ancien chef de l'État percevait « qu'il n'y avait pas de consensus politique, car nous étions à quelques mois d'une élection présidentielle (sic) ».Pour retrouver un sentiment d'unité nationale, il a donc mis en avant « cette mesure qui ne paraissait pas inadaptée » : « À la fin de mon discours, tous se lèvent ! Même les frondeurs ! » Entre la droite qui ne souhaitait pas de réforme constitutionnelle et les citoyens français qui se sentaient visés, le président a finalement renoncé quatre mois plus tard, « trop tard ». Bilan des courses pour François Hollande : « Ne touchons jamais les lois sur la nationalité. »
« Bilan des courses pour François Hollande : « Ne touchons jamais les lois sur la nationalité. »
Plait-il ?
« Comme il l'explique dans son livre, François Hollande nourrit également des regrets sur une séquence qui a ébranlé la gauche, jusqu'à ses plus proches soutiens : la déchéance de la nationalité, annoncée devant le Parlement réuni en congrès à Versailles après les attentats du 13 novembre 2015. À la différence des jours qui ont suivi les attaques terroristes précédentes, l'ancien chef de l'État percevait « qu'il n'y avait pas de consensus politique, car nous étions à quelques mois d'une élection présidentielle (sic) ».Pour retrouver un sentiment d'unité nationale, il a donc mis en avant « cette mesure qui ne paraissait pas inadaptée » : « À la fin de mon discours, tous se lèvent ! Même les frondeurs ! » Entre la droite qui ne souhaitait pas de réforme constitutionnelle et les citoyens français qui se sentaient visés, le président a finalement renoncé quatre mois plus tard, « trop tard ». Bilan des courses pour François Hollande : « Ne touchons jamais les lois sur la nationalité. »
Clic-clic. Le bruit des verrous à double tour. Comme un chien qu’on aurait armé jusqu’aux crocs. Le bruit de l’effet cliquet.
8 juin 2018
7 juin 2018
Génération Y et glottophobie
L’époque est à l’inculture et l’inexpérience satisfaites, à l’amateurisme, comme en témoignent ces incessants éloges de la « génération Y ».
La génération Y, ce sont ces jeunes « nés avec internet » - comme si c’était un mérite à mettre à leur actif - qui entrent dans la vie professionnelle avec « une vision du travail bien différente de celle de leurs aînés » : ils sont curieux, touche-à-tout, ils s’ennuient rapidement si on ne leur donne pas de nouvelles choses à faire, ils réclament de l’autonomie et vite, ne sont « pas à l’aise avec la hiérarchie » (ils veulent être « inspirés plutôt que commandés »), ils sont désireux de comprendre avant d’obéir et n’hésitent pas à mettre en doute les méthodes qu’on leur enseigne, etc. etc.
La génération Y, ce sont ces jeunes « nés avec internet » - comme si c’était un mérite à mettre à leur actif - qui entrent dans la vie professionnelle avec « une vision du travail bien différente de celle de leurs aînés » : ils sont curieux, touche-à-tout, ils s’ennuient rapidement si on ne leur donne pas de nouvelles choses à faire, ils réclament de l’autonomie et vite, ne sont « pas à l’aise avec la hiérarchie » (ils veulent être « inspirés plutôt que commandés »), ils sont désireux de comprendre avant d’obéir et n’hésitent pas à mettre en doute les méthodes qu’on leur enseigne, etc. etc.
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