30 mai 2014

CGB Dimanche du 30 mai 2014


Pourquoi deux CGB Dimanche si rapprochés, s’étonneront nos abonnés ? Parce qu’il y a eu une erreur dans les plannings fournis à l’imprimeur d’une part. D’autre part parce que l’actualité va vite et que le CGB doit faire face aux médias du web, toujours plus réactifs.

Ce supplément sera disponible dans les kiosques d’ici 15 jours. Mais il nous faut dans l’immédiat révéler l’information de premier ordre qui constitue notre dossier central : déprimée par l’affaire Bygmalion et la nouvelle du détournement de 20 millions d’euros par l’UMP, Roselyne Bachelot a tenté d’attenter à ses jours en s’injectant pour 400 millions d’euros de vaccins anti-H1N1.

Déjà, lors de son intervention sur le plateau de Laurence Ferrari, elle s’était exprimée sur l’affaire et s'était montrée au bord du malaise. « Quand je revois les images, témoigne Laurence Ferrari, c’est évident, c’est un appel au secours que Roselyne nous envoyait. Mais sur le moment je n’ai rien vu. Personne n’a réalisé ».


Deux jours plus tard, Roselyne commet l'irréparable, n'arrivant pas à se faire à la possibilité que Jean-François Copé soit un politicien de peu de foi. Seule dans son appartement parisien, elle s’injecte le stock de vaccins périmés depuis 2009 ainsi que de fortes doses d’alcool.

Pour les Français, ce geste est inexplicable : pourquoi une talentueuse chroniqueuse d’émissions de divertissement prend-elle à cœur cette histoire de millions ? Les gens ne se rappellent plus et ne voient que la sympathique « tatie » qui se débine à la télévision. Mais Roselyne, elle, n’a jamais oublié. Sous ses dehors de légèreté, l'ex-ministre de la Santé a secrètement gardé le poids de la culpabilité... du plan de vaccination H1N1. Un milliard et demi d’euros. 94 millions de doses commandées dont 19 qui lui sont restées sur les bras. 400 millions d’euros pour acheter et détruire ces vaccins… Tout cela sur le dos de la Sécu et du contribuable français. « Ça lui collait à la peau, elle se sentait sale, honteuse », explique Laurence Ferrari. « Dans les émissions, on la voyait rigoler, s’accoutrer, se ridiculiser, faire rire tout le monde, mais c’était pour se protéger : dans l’intimité, elle vivait tout ça très très mal ».

Sans doute l'affaire Bygmalion aura fait rejaillir ces mauvais souvenirs. Soignée au Val de Grâce, Roselyne est à présent tirée d'affaire. Le moral, lui aussi est revenu : Roselyne est heureuse, elle a appris qu'elle tiendrait une chronique "lingerie" sur D8 à partir de septembre.

27 mai 2014

Le son du jour qui sauce avec les doigts


Ils ne joueront pas le Mondial 2017


Après la faute du N°10 Jean-François Bygmalion, c'est désormais avec deux attaquants en moins que doit jouer le FC UMPS. Autant dire que la tâche devient rude pour la qualification au Mondial 2017. Il faut réagir vite. L'entraîneur a d'ores et déjà demandé à deux remplaçants de s'échauffer sur le bord du terrain : Nasrine Le Pen, au poste d'attaquant, ainsi qu'un jeune talent des cités encore peu connu du grand public mais qui se fait appeler "3ème homme" dans les vestiaires.


25 mai 2014

Les gens qu'on déteste : les pastabriseurs


Le monde obéit à des règles. De grandes lois nous régissent, que nous ignorons parfois, mais qui n’organisent pas moins nos vies. L’homme se présente volontiers comme la créature qui s’affranchit de ces lois, alors qu’il ne peut que composer avec. Que risque-t-il, sinon ? La mort, la ruine ou, pire encore, le ridicule.

Nous ne manquons pas de raisons de détester nos semblables. L’une d’entre elles, parmi les plus éminentes, est leur tendance à ne pas respecter les grandes lois universelles. Et entre ces grandes lois, la plus couramment bafouée est peut-être celle qui prescrit que les choses sont faites pour un usage précis. La méconnaissance de cet usage, quand ce n’est pas son mépris affiché, est le propre du benêt, du plouc et du barbare (c’est parfois une seule et même personne). Prenons un exemple : les spaghettis.

22 mai 2014

Les heures sombres de Tarascon


*

Alors que le Président Hollande et ses ministres démontrent leur incapacité à inverser la moindre courbe, le cinéma français d'avant-guerre inversait déjà le salut nazi. Raimu, célèbre nazi méconnu et comédien emblématique de notre âge d'or, n'avait pas son pareil pour rappeler les heures les plus sombres de notre histoire. Mais pas comme le premier nazillon venu : il rappelait ces heures sombres dix ans avant qu'elles ne survinssent!

Cette photo tirée de Tartarin de Tarascon, film de Raymond Bernard (fils de Tristan) de 1934, parle d'elle-même. Elle devrait permettre à certains de démontrer que de tout temps, le Français fut fécond de surgir... le Français surgit du ventre immon... le Français d'où a surgi le ventre est... la bête féconde l'immonde Français du ventre est surgi, oui, c'est cela même !


19 mai 2014

Nos régions ont du talent


Faut-il réformer le territoire ? Faut-il supprimer les départements ? On peut se le demander lorsqu'on voit l'infinie richesse qu'ils ont permis de produire. De la Vendée au Béarn, de la Meuse à la Lozère, la France regorge de talents. Retrouvez-les grâce à cette carte de France des rappeurs.


18 mai 2014

Gloire à JVP !

Au début, j'avais voulu intituler ce billet "S'il te plaît, dessine-moi un cochon"... mais non, ce n'est pas sur ce site que vous trouverez des gens pour moquer notre futur grand Leader, JVP premier, maçon cosmique, qui veut censurer un peu plus le net.

Si tu ne viens pas à la Corée, c'est la Corée qui ira à toi

17 mai 2014

L'Europe saura prendre soin de vos enfants





Sources : 1 , 2 , 3

 

Le son du jour qui ne plombe pas ta journée


Petite chanson bien agréable du canadien Marc Jordan, tirée de l’album Mannequin (1978), mine de choses intéressantes dans le style jazz folk funky propre à la fin des 70’s.
Pour cet album, Marc Jordan était accompagné d’une flopée de musiciens épatants, Jeff Porcaro (batterie), Chuck Rainey (basse), Donald Fagen (claviers), Larry Carlton et Steve Lukather (guitare), Tom Scott (saxo), ce qui est bien. Album produit par Gary Katz, ce qui est encore mieux.



16 mai 2014

Réponse des sangs impurs



Je suis comme beaucoup de gens, j’aime Lambert Wilson. Il est ce qu’on est convenu d’appeler un grand acteur, c'est-à-dire que son registre est très large, son style bien identifié, et sa carrière remarquable. A un très bon niveau il est capable de danser, de chanter, d’être drôle ou tragique, sérieux ou léger. Il est l’héritier d’une certaine école et d’un certain style de comédiens très français, dont le charme personnel renforce encore le métier, pourtant solide. Tout ceci ne l’empêche nullement de dire d’énormes conneries.

Il vient de donner son avis sur la Marseillaise, vous savez, le chant qui servait d’hymne national quand ce pays était encore une nation. Comme la Taubira déclenche de justes reproches suite à son refus de chanter la Marseillaise (que même des citoyens aussi peu concernés que les footballeurs entonnent désormais), chacun en profite pour donner son avis sur un sujet qui s’en passerait très bien. Et selon Lambert, la Marseillaise est un chant « raciste et xénophobe ». Il précise que sa musique en est « fantastique », mais que ses paroles sont « d’un autre temps », et qu’on devrait bien sûr en changer.

Le nom maudit de nos pères



Quand ils ne peuvent plus faire l’Histoire, certains peuples font des histoires. C’est le cas des Français. En ce moment, les Français font des histoires avec la commémoration de l’esclavage. Autant l’esclavage ne pose plus de problème (au sens où il n’a plus aucun partisan affirmé de par le monde, sauf dans certains pays d'islam...), autant la question de sa commémoration ne va pas de soi. D’abord, que commémore-t-on ? L’abolition de l’esclavage, ou l’esclavage lui-même ? Se souvient-on de la loi d’abolition ou, par des cérémonies, veut-on qu’on n’oublie pas que l’esclavage a existé ? Les deux. Les autorités veulent qu’on célèbre les deux, et là est le problème. Si l’on fêtait le décret de Victor Schoelcher comme une avancée humaniste remarquable, pourquoi pas ? Un peu comme le 4 août et l’abolition des privilèges. Mais célébrer l’esclavage pour qu’on n’oublie pas qu’il a existé, c’est rendre la souffrance des esclaves totalement exorbitante par rapport à toutes les autres, et on se demande bien au nom de quoi. Pourquoi commémorer l’esclavage et pas les déportations, les villes passées au fil de l’épée, les pestes, les gibets, les conquêtes sanglantes, les populations décimées ? Pourquoi le Commerce triangulaire et pas Holodomor ? C’est de là que viennent, à mon avis, toutes les réticences ; c’est le péché originel de cette initiative boiteuse.

14 mai 2014

L’UE renforce le dispositif anti-migratoire à ses frontières


Si vous voyagez en Europe cet été, ne soyez pas surpris d'apercevoir un de ces panneaux lorsque vous franchirez une zone frontalière de l’Union : un message de bienvenue systématiquement agrémenté du portrait de Conchita Wurst (le gagnant de l’Eurovision 2014).

Campagne de promotion de la culture européenne ? Pas seulement. Il s'agit d'un volet à part entière de la politique d’immigration de l’Union. « Nous savons qu’à long terme, l’Europe est vouée à recevoir un flux de plus en plus massif de populations à la recherche d’une vie meilleure ou de conditions climatiques plus clémentes », explique Yves Pascouau, responsable du programme Immigration et Diversité. « L’Europe étant aussi un projet civilisationnel, il faut s’assurer que ceux qui viennent s’installer sont compatibles avec nos valeurs ».

En choisissant Conchita Wurst comme figure de l’Europe, l’idée est de « décourager les projets d’immigration » à court, moyen et long terme, auprès des « populations les plus traditionnelles » et populaires. « L’Eurovision est arrivée au moment où la situation en Ukraine chauffait. Nous nous attendons à voir, dans les semaines qui viennent, un afflux de réfugiés, d’immigrants clandestins, fuyant l’influence russe et s’imaginant que la mentalité européenne leur ressemble plus », explique Yves Pascouau. « Avec ces panneaux, notre message est de dire à ces gens : "réfléchissez, notre culture est différente, l’Europe a un projet qui n’est pas forcément à votre portée, nous sommes peut-être un continent riche, mais nous sommes aussi des gens un peu paumés…" ».

Si Yves Pascouau se refuse à parler « d’épouvantail », certaines voix se lèvent et dénoncent le caractère discriminatoire du programme. « L’excuse de l’Ukraine, c’est l’arbre qui cache la forêt », peste Olivier, président d’un syndicat étudiant. « Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain », poursuit-il. « Sinon, adieu veaux, vaches, cochons… ». Pour Olivier, le panneau « Conchita » est orienté contre certaines populations précises. « Il est évident que les premiers à rebrousser chemin ne seront pas des Norvégiens ou des Californiens, mais bien des musulmans, des Africains, des pauvres », conclut-il un trémolo dans la voix.

Le son du jour qui marche avec un tueur

13 mai 2014

Le coup du brunch

Comment vendre 20 euros de simples œufs brouillés ? Réponse : en les renommant « brunch ». Ajoutez-y un thé, un café ou un jus d’orange, et alors le monde se précipite ; et il repartira ravi d’avoir déboursé ce prix pour l’agréable moment dominical passé en famille ou entre amis.

Ardoise-brunch 


L’astuce n’est certes pas nouvelle : c’est l’éternelle histoire du jean troué ou délavé, vendu plus cher qu’à l’état neuf. Ou encore c’est l’histoire du dernier « lieu » à la mode, installé dans des décombres et meublé à la récup’, dont le service est inexistant et où le client doit faire tout lui-même, où les petits extras qui sont ailleurs offerts sont ici payants… mais où, en contrepartie, tout est beaucoup plus cher que dans le café standard d’en face qui fait correctement le job.

Repackagés selon la tendance, le cheap, le foireux, l’indigne, gagnent une nouvelle désirabilité, et peuvent à ce titre être refourgués non pas au prix du standard mais à celui du luxe. Le surcoût, en réalité, est celui de l’immatériel que l’on achète avec le produit : la soi-disant « expérience » attachée à l’acte de consommation.  

Longtemps, cette combine n’a fonctionné que sur un marché restreint :

12 mai 2014

Et ça, c'est de la paranoïa peut-être ?

Le CGB a désormais rassemblé suffisamment de preuves pour l’affirmer formellement : OUI, les élites du show business qui nous gouvernent par le biais d'une manipulation des instances démocratiques sont bien des lézards Illuminati immortels qui, sous leur apparence humaine, traversent les siècles (au moins depuis le cinquecento pour certains).

  Christophe-Colomb
Christophe Coluche - il inventa l'Amérique, le pétro-dollar, et le cancer en Afrique. Aujourd'hui il fait semblant d'avoir été tué par un camion.

sylvester
Sylvester Stallone (Stallonberg de son vrai nom) - il mit la Papauté sous tutelle du Grand Rabbin de Paris. Aujourd'hui il fournit le FMI en jeunes enfants à violer puis manger.

louis-xvi
Louis Boujenah de Bourbon - il organisa sa décapitation afin de livrer la France aux forces occultes révolutionnaires. Aujourd'hui il prononce des versets satanistes cryptés à travers des propos d'apparence anodine à Vivement Dimanche.

doug
Michael Douglas d'Arimathie - il remplaça le Saint Suaire par un faux et le déchira pour en faire des keffiehs qu’il donna aux Palestiniens, dans le seul but de monter les communautés chrétiennes et musulmanes l’une contre l’autre. Aujourd'hui, son rôle est de blanchir la réputation de la Finance internationale en tenant des rôles d'homme d'affaires et de haut financier honorable au cinéma.

Vous avez remarqué d'étranges ressemblances ? Signalez les à Complot@Watch ou en commentaires ci-dessous.

11 mai 2014

Piquons Giscard



Il est parfaitement inutile de dire du mal de Valery Giscard d’Estaing. Aux yeux des amnésiques, sa position d’ancien Président de la République lui confère la qualité de vieux sage, alors que son bilan personnel le range, aux yeux des autres, dans la catégorie des vieux cons. Valery Giscard d’Estaing, c’est une certaine idée de la médiocrité à la française. L’homme sait parler de tout mais ne comprend rien. Il brille dans le vide absolu. De l’avis de ceux qui l’ont fréquenté, on ne saurait trop le sous-estimer. Je mets d’ailleurs publiquement au défi le genre humain : qu’on me cite une chose excellente faite ou dite par ce crâne d’œuf, et je verse un an de salaire à la ligue mondiale pour le tatouage / piercing.

La dernière connerie de Giscard est révélatrice de cette médiocrité intellectuelle dont il est le parangon : il estime qu’en temps de crise, compte tenu de l’état merdique du pays, le 8 mai dernier, il aurait fallu travailler. Selon lui, pour redresser la France, cette vieille peau, ce jour ne devrait plus être chômé. Il n’y va pas assez franchement : il n’y a qu’un 8 mai par an, tandis que des dimanches, nous en avons plus de cinquante ! Si on veut redresser le pays, supprimons les dimanches chômés ! D’ailleurs, c’est ce que ses soi-disant adversaires socialistes sont en train de faire, en commençant par autoriser l’ouverture dominicale des camps d’achats de bricolage. Et en attendant pire… Le lundi de Pâques, quand on y pense, de combien de millions d’heures de taf il nous prive, l’ignoble ?

10 mai 2014

Les gens qu'on déteste : les méprononceurs



En inaugurant une rubrique intitulée « les gens qu’on déteste », j’ai conscience d’entreprendre une tâche immense. Je mesure le travail à accomplir, les responsabilités en jeu, le poids de la démographie mondiale et la disproportion des forces en présence. D’un côté, moi ; de l’autre, au bas mot, le reste du genre humain. Pas tout le genre humain, non, restons raisonnable, seulement les connards, les abrutis, les moules à gaufres, les têtes de con, les pénibles, les boursouflés, les pédantiques, les tarlettes, les nuisibs, les enflards, les mochetés, les sournois, les troncheux, les hyènes lubriques, les fils de poux, les piercés du nœud, les gobeuses, les qui-ne-comprennent-pas-qu’on-puisse-ne-pas-être-d’accord, les avaleurs de travers, les bourriques velléitaires, les répéteurs de refrain, les protesteurs de bonne foi, les éthiques sous décodeur, les fanatiques tolérants, les enjambeurs de vieilles femmes, les montreurs de plaies, les importateurs de djembés, les poignardeurs dans le dos, les señoritos à mutuelle, les briseuses de tabous et de mes couilles, les loucheurs en biais, les bâtisseurs de barbecue, les porteurs de keffiehs, les dénonceurs d’ordures, les bétonneurs joufflus, les sportifs, les trouveurs de marchés porteurs, les joueurs d’euromiyon, les faisans, les brebis du transhumanisme, les flatteurs de connes, les militants pour ton bien, les sots, les fats, les pimbêches cultivées, les positiveurs, les shampooineurs concernés, les emmerdeurs transgenres, les buveurs d’eau gazeuse, les astiqueurs de joncs, les élégants du survêt’ blanc, les incontinents du selfie, les lustreurs de concepts, les téléphages, les donneurs d’organe, les hystériques, les bigleux à Google glass, les ravis du lotissement, les fouteurs d’ambiance, les branlocheuses d’Iphone, les touristes hyperactifs, les filles trop grandes avec des pieds énormes, les tatoués sur le cou, les syntaxo-déficients, les optimistes, les-qui-emploient-sans-arrêt-le-mot-partage, les twitter-teufeurs, les afficheurs de conviction et les malpolis.

3 mai 2014

Steak tartare

Oh Capitaine mon Capitaine
« Ne bougez pas. Et préparez-vous à tout accident. »
« Aux passagers et élèves du lycée Danwon, s’il vous plait, ne bougez pas et patientez. »
Les ordres de l’équipage du Sewol alors que le navire sud-coréen est en train de sombrer sont clairs.
Pas de panique.
Appliquez les consignes de sécurité.
Tout ira bien.
Attendez votre tour.
Votre tour de crever.
L’efficacité du plan de sauvetage des passagers du Sewol crève les yeux à la lecture de l’image du capitaine en train de prudemment quitter le navire en caleçon.
« Ne bougez pas. S’il vous plait ne bougez pas et patientez. »
Bilan, résultat du match, le score ?
225 morts, 77 portés disparus.
En cas de problème, si vous voulez survivre, n’appliquez surtout pas les consignes des sécurité.
En cas de problème, si vous voulez survivre, neutralisez quiconque se dressera en travers de votre route.
Pas de panique, nous coulons. Le slogan de la modernité.
Dans le temps c’était : abandon ship ! Et : les femmes et les enfants d’abord !
On n’arrête pas le progrès…