Et ne venez pas me faire chier avec la libération ! Sans les ricains on aurait tous de superbes coupes de cheveux et de belles bottes bien cirées. Alors ta gueule Dantec !
6 janvier 2007
Salauds d’Américains !
On les savait déjà responsables du massacre des Indiens, de l’esclavage, du travail à la chaîne, du capitalisme, d’Hiroshima et Nagasaki, des Mac Do, d’Hollywood. Il nous restait à apprendre que c’est également à cause d’eux que, depuis 1978, nous n’avons plus le droit de boire de l’alcool à la télévision française ! Merci qui ? Merci Bukowski !
Et ne venez pas me faire chier avec la libération ! Sans les ricains on aurait tous de superbes coupes de cheveux et de belles bottes bien cirées. Alors ta gueule Dantec !
Et ne venez pas me faire chier avec la libération ! Sans les ricains on aurait tous de superbes coupes de cheveux et de belles bottes bien cirées. Alors ta gueule Dantec !
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Gloire à tonton Buck, sa prestation au pays des conneaux vaut autant que titin au pays des soviets.
RépondreSupprimerMais laissons hank en parler : "Ha ! Ha ! Ha ! Je me fous toujours dans des situations pas possibles. Mais quelle coterie de snobs ! C'était vraiment trop pour moi. Vraiment trop de snobisme littéraire. Je ne supporte pas ça. J'aurais dû le savoir. J'avais pensé que la barrière des langues rendrait peut-être les choses plus faciles. Mais non, c'était tellement guindé. Les questions étaient littéraires, raffinées. Il n'y avait pas d'air, c'était irrespirable. Et vous ne pouviez ressentir aucune bonté, pas la moindre parcelle de bonté. Il y avait seulement des gens assis en rond en train de parler de leurs bouquins ! C'était horrible... Je suis devenu dingue."
Une seule chose à dire : Cavanna, ta gueule.
On ne peut en vouloir à Bukowski, ce n'est tout de même pas lui qui a interdit l'alcool à la télé. C'est vrai que ça nous prive de la Chazal complètement pétée ou de la Chabot totalement schlass, à poil sur la table du débat, avec Raffarin et Gremetz qui se la joue au poker. Et puis je pardonne tout à Bukowski car il a écrit une des plus belles histoires d'amour dans 'Conte de la folie ordinaire'. Il faut également voir la superbe adaptation de Marco Ferreri avec Ben Gazzara (en alcoolique christique) et Ornella Muti (en pute mystique) avec cette réplique culte du poète "tu es la femme la plus vivante que j'aie jamais rencontré" et elle de lui répondre "Je veux te baiser, je veux te baiser jusqu'à ce qu'il ne me reste plus rien pour les autres". Après avoir lu/vu ça, tout le reste sent la mort, comme cette émission de Pivot où cirage de pompe, bienséance codifiée voire taillage de pipes intellectuelles sont de rigueur. Et les remarques insidieuses et désobligeantes envers le trouble-fête qui est si haut et si loin d'eux.
RépondreSupprimerLa seule chose de vraie dans cette scène, c'est bien Bukowski, les autres puent déjà le cadavre notamment ce vieux réac de Cavanna qui est même prêt à faire le coup de poing. Debord avait raison :
"Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux"
"Tout ce qui était directement vécu s’est éloigné dans une représentation"
Eh merde tiens je fais d'la pub pour mon blog (le nouveaux qui est plus joli que l'ancien), il y est aussi question de putes:
http://interferences.canalblog.com
En même temps, des belles bottes bien cirées...
RépondreSupprimer"Debord avait raison :
RépondreSupprimer"Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux"
J'ai l'étrange sentiment que votre connaissance "situ-situ" liée à ce billet tout doux est quelque peu faussée par l'incapacité des franchouilles à voir en Debord autre chose que l'annonciateur prophétique d'une société consumériste où chacun instrumentalise l'autre dans un jeu de miroirs invertis pervers.
Debord est une lopette, un écrivaillon bon pour les crypto-marxistes réactionnaires!
Brulons Debord specially when we play the piano drunk until our hand are bleeding!
>à voir en Debord autre chose
RépondreSupprimerNous t'écoutons : que faut-il y voir d'autre ?
>que l'annonciateur prophétique d'une société consumériste
Evidemment mon gars que ça se cantonne pas à une dissection prophétique de la société consumériste. C'est comme Le Perec des Choses.
Mais je ne vois pas bien les éléments qui t'ont permis, dans ce post et ses commentaires, de spéculer ainsi (pour ne pas dire fantasmer) sur notre supposée apréhension limitée de Debord. S'il y a quelque chose de faussé et de limité dans l'affaire c'est bien ta faculté d'analyse et d'interprétation.
Que ce soit dans la vidéo ou dans le commentaire de Bukowski, il s'agit bien plutôt de la question du réel et du problème de son vécu que de ta petite histoire de société consumériste. Viennent également se greffer autour
de cette question du réel, la question de sa représentation et évidemment le rôle joué par la télévision.
A moins que l'intérêt de ton commentaire n'ait résidé pour toi dans le fait de caser les mots "lopette" et "crypto-marxiste" et dans l'assouvissement d'une envie irrépréssible : montrer que tu n'aimes pas Debord et le traiter de lopette (ça lui fait d'ailleurs une belle jambe).
Auquel cas c'est pas la peine de te fatiguer à accompagner ça d'arguments
qui sont à côté de la plaque. Tu vides ton sac, si t'as mieux dedans tu le sors et tu lis la suite, sinon tu refermes le sac et tu casses.
>Debord est une lopette
Nous attendons tes arguments.