
L'écrivain au pantalon orange taché de pipi nous livre de lamentables réflexions au sujet de son "coup de gueule" sur le financement de son film en lèchant les boules de Claude Durand ou de François Nourrissier tout en poussant des cris d'orfaie à l'évocation d' une tribune d'Eric Naulleau (Nolot!)... Mais le pire n'est pas là... Il se situe surtout avec son évocation du grand Philippe Muray en tant que "sociologue" et "idéologue". Michel Houellebecq, qui n'a rien d'un écrivain, ne semble pas comprendre que Muray était un romancier car il décrivait le Réel. Houellebecq, ce geek abreuvé de science-fiction, n'a fait qu'effleurer la question "que se passe-t-il?" dans ses premier romans préférant le confort de la science-fiction, rêvant sa vie car défaillant devant le présent.
ce pauvre Wellbeck n'est que la dame pipi du réel. Il ne voit le monde que des chiottes.
RépondreSupprimermais il écrit tout de même.
RépondreSupprimerQu'est-ce qui vous dérange à ce point chez Houellebecq? Son style? Ses idées?
RépondreSupprimerHouellebecq n'a rien de "dérangeant", si son premier roman avait bien un petit quelquechose, on peut dire que maintenant c'est juste un petit consanguin qui poste en cachette sur subversiv qui aime se victimiser et "survivre en périphérie d'une zone hostile"... Bref le fameux retour à la campagne.
RépondreSupprimerCe qui me dérange c'est que c'est un gros con doublé d'un prétentieux. Et puis j'ai horreur de son misérabilisme petit bourgeois.
RépondreSupprimerBonjour, ici Johnny Poulet.
RépondreSupprimerJe viens de lire toute entière la page sur le bla(u)gue de Mike Houellebecq, et j'ai l'impression que c'est un fake, comme disent les jeunes qui parlent couramment franglais. Bientôt, ce grand écrivain va nous parler de la porte de son frigidaire qui ferme mal, ou de sa chaise qui est restée sous la pluie. Evidemment, il le fera avec un style tel que nous serons subjugués. Il faut pourtant, parce que nous sommes tolérants, accepter que Houellebecq existe, c'est un peu la faute à la Machine. Son existence et sa médiatisation doivent avoir un sens, sinon il ne serait pas là, avec un tel écho. Moi, Johnny Poulet, je m'interroge encore. Quelque part, je souffre.