16 août 2006

Houellebecq de lièvre

Les vacances sont parfois troublées par des importuns comme Michel Houellebecq qui aime surtout faire parler de lui dans son blog poussif à l'approche de la rentrée littéraire, histoire de ne pas se faire damer le pion par Christine Angot (dont la chanson favorite est "You fuck like my dad" de Giant Drag).



L'écrivain au pantalon orange taché de pipi nous livre de lamentables réflexions au sujet de son "coup de gueule" sur le financement de son film en lèchant les boules de Claude Durand ou de François Nourrissier tout en poussant des cris d'orfaie à l'évocation d' une tribune d'Eric Naulleau (Nolot!)... Mais le pire n'est pas là... Il se situe surtout avec son évocation du grand Philippe Muray en tant que "sociologue" et "idéologue". Michel Houellebecq, qui n'a rien d'un écrivain, ne semble pas comprendre que Muray était un romancier car il décrivait le Réel. Houellebecq, ce geek abreuvé de science-fiction, n'a fait qu'effleurer la question "que se passe-t-il?" dans ses premier romans préférant le confort de la science-fiction, rêvant sa vie car défaillant devant le présent.

4 commentaires:

  1. ce pauvre Wellbeck n'est que la dame pipi du réel. Il ne voit le monde que des chiottes.

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  2. Qu'est-ce qui vous dérange à ce point chez Houellebecq? Son style? Ses idées?

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  3. Houellebecq n'a rien de "dérangeant", si son premier roman avait bien un petit quelquechose, on peut dire que maintenant c'est juste un petit consanguin qui poste en cachette sur subversiv qui aime se victimiser et "survivre en périphérie d'une zone hostile"... Bref le fameux retour à la campagne.

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  4. Ce qui me dérange c'est que c'est un gros con doublé d'un prétentieux. Et puis j'ai horreur de son misérabilisme petit bourgeois.

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