Tu aimes Jennifer ? Naturellement, tout est toujours une question de parabole, de courbes qui ondulent, de ces vallées qui font saliver. Tu les aimes hein ces belles petites princesses brunes, sensuelles, au teint mat, doré ? ADN glam à UV, frais et acide comme un pamplemousse floridien ! L’humanité s’enfonce tête la première baissée dans le plus lumineux obscurantisme de tous les temps, nos démocrates nous démontrent à longueur d’ondes qu’entre eux et un taliban, c’est freudickement vôtre, qu'il n’y a pas si loin, et Jennifer, pionnière des déesses Niké de la Star Academy, émission télé crochet de boucher découvreuse de talents prêts à emballer sous vide, prêche dans le désert d’une plage de La Baule inondée de beaufs à Sholl… L’après de la modernité consume ! Il brûle et cancérise les peaux. Jennifer révèle l’holocauste bikiniaire entre écrevisse et crustacés ! Au soleil, son premier et unique tube à mes yeux et ceux du monde est une flamme chaude qui saura guider à n’en pas douter les pas des derniers humains nyctalopes jusqu’à la fin de la nuit de la fin.
Comme Jennifer Bartoli ayons le courage de nos opinons : dizons non à tous les mélanomes immondes et courons alanguis de dessus nos serviettes de plage Bob l’éponge vers cette aube de monoï que nous méritons pas plus tard qu'immédiatement.
Au soleil est une chanson choc, coup de poing, qui nous donne toutes les clefs de la femme de l’après modernité et subséquemment de l’union contemporaine encore possible pour goûter à l'eau de vie de l’amour salvateur transhistorique. La femme est désormais un homme comme les autres, complexe plateforme métamorphique entre l’homme et le surhomme qui a donc dorénavant aussi lu Nietzsche. « Ce qui ne me tue pas me rend forte. » Dieu est mort, tout est possible, y compris pour cet invincible bouc émissaire de l’homme : la femme.
« On pourrait en venir aux mains. » La lutte pour l’émancipation sera violente mais... sensuelle ! Grande force infaillible des femmes... Jennifer joue atout ! L’amour, ça doit être la guerre, et pas un congrès platonique de pacifistes ! Quant à l’égalité, elle ne sera pas la fin en soi. « Je suis à celui qui me transporte ». Jennifer s’aliène ? Non, elle réclame les transports, la jouissance, l'orgasme, l'espace-temps en 10 dimensions, son dû, à un homme devenu sur-femme en ne comprenant rien à Friedrich... Jennifer montre le chemin du demi-tour, que l’homme postmoderne métrosexualisé ne trouvait pas. Il était là, juste derrière...
Jennifer clame la primauté de la liberté en se donnant de respecter les lois qu’elle s’est prescrite... « Je reste tant que l’on me supporte, ou je reprends seule le chemin. » La liberté, comme le bonheur et la randonnée n’est que question d’équilibre ; il est une mise en danger délibérée de soi : « Malgré les risques que cela comporte ». Aussi infantilisé que soit l'orang-outang à collier de perles qui s'est porté volontaire pour le prochain jeu apéro, il restera toujours responsable de son propre bonheur, quoi qu'on lui ait promis. Alors si l’homme persiste à ne pas faire l’affaire, elle ira chercher ailleurs, même seule, sa serviette de plage à l’épaule comme Arthur Dent, en quête du prochain Cœur en or à générateur d’improbabilité infinie ! Dites 42 semble nous souffler la belle. Il pleut des cachalots et on est pas encore le 21 décembre 2012… « Avec toi j’irais bien, même sans toi j’irais bien. »Le Logos est l’igni-tial. Le feu de la parole performative immole. Et Jennifer s’offre en sacrifice, car elle sait la purification Fahrenheit et la riposte pyromane : « Au soleil, m’exposer un peu plus au soleil, Quand le cœur n’y est plus, brûler ce que l’on adore Et réchauffer son corps au soleil. » Jennifer nous encourage, colle son pied dans les couilles à tous les Georges Tron de la terre, en livrant la réalité détourée au réel : « Malgré tout l’amour que je te porte Toi tu n’y entends vraiment rien Notre histoire que le diable l’emporte. »Le Diable, reflet sans tain d’une image trafiquée, va pas s'gêner ! Nous ne savons rien. Nous sommes aveugles. Dieu dit : Que les Ray-ban à verres polarisés soient ! Et le Progrès nous offrit une issue de secours... Lunettes noires pour nuit sans lune.
Comme Jennifer Bartoli ayons le courage de nos opinons : dizons non à tous les mélanomes immondes et courons alanguis de dessus nos serviettes de plage Bob l’éponge vers cette aube de monoï que nous méritons pas plus tard qu'immédiatement.
Au soleil est une chanson choc, coup de poing, qui nous donne toutes les clefs de la femme de l’après modernité et subséquemment de l’union contemporaine encore possible pour goûter à l'eau de vie de l’amour salvateur transhistorique. La femme est désormais un homme comme les autres, complexe plateforme métamorphique entre l’homme et le surhomme qui a donc dorénavant aussi lu Nietzsche. « Ce qui ne me tue pas me rend forte. » Dieu est mort, tout est possible, y compris pour cet invincible bouc émissaire de l’homme : la femme.
« On pourrait en venir aux mains. » La lutte pour l’émancipation sera violente mais... sensuelle ! Grande force infaillible des femmes... Jennifer joue atout ! L’amour, ça doit être la guerre, et pas un congrès platonique de pacifistes ! Quant à l’égalité, elle ne sera pas la fin en soi. « Je suis à celui qui me transporte ». Jennifer s’aliène ? Non, elle réclame les transports, la jouissance, l'orgasme, l'espace-temps en 10 dimensions, son dû, à un homme devenu sur-femme en ne comprenant rien à Friedrich... Jennifer montre le chemin du demi-tour, que l’homme postmoderne métrosexualisé ne trouvait pas. Il était là, juste derrière...
Jennifer clame la primauté de la liberté en se donnant de respecter les lois qu’elle s’est prescrite... « Je reste tant que l’on me supporte, ou je reprends seule le chemin. » La liberté, comme le bonheur et la randonnée n’est que question d’équilibre ; il est une mise en danger délibérée de soi : « Malgré les risques que cela comporte ». Aussi infantilisé que soit l'orang-outang à collier de perles qui s'est porté volontaire pour le prochain jeu apéro, il restera toujours responsable de son propre bonheur, quoi qu'on lui ait promis. Alors si l’homme persiste à ne pas faire l’affaire, elle ira chercher ailleurs, même seule, sa serviette de plage à l’épaule comme Arthur Dent, en quête du prochain Cœur en or à générateur d’improbabilité infinie ! Dites 42 semble nous souffler la belle. Il pleut des cachalots et on est pas encore le 21 décembre 2012… « Avec toi j’irais bien, même sans toi j’irais bien. »Le Logos est l’igni-tial. Le feu de la parole performative immole. Et Jennifer s’offre en sacrifice, car elle sait la purification Fahrenheit et la riposte pyromane : « Au soleil, m’exposer un peu plus au soleil, Quand le cœur n’y est plus, brûler ce que l’on adore Et réchauffer son corps au soleil. » Jennifer nous encourage, colle son pied dans les couilles à tous les Georges Tron de la terre, en livrant la réalité détourée au réel : « Malgré tout l’amour que je te porte Toi tu n’y entends vraiment rien Notre histoire que le diable l’emporte. »Le Diable, reflet sans tain d’une image trafiquée, va pas s'gêner ! Nous ne savons rien. Nous sommes aveugles. Dieu dit : Que les Ray-ban à verres polarisés soient ! Et le Progrès nous offrit une issue de secours... Lunettes noires pour nuit sans lune.
Facile ! Fais nous la même avec ça pour voir
RépondreSupprimerhttp://www.bide-et-musique.com/song/7772.html
Bel effort ! j'ai bien aimé le style.. mais le sujet est un peu une perte de temps. la photo de cette potiche en dit aussi long que le clip... Et s'agit pas franchement d'être un génie pour cerner la cocotte.. Du coup, faire l'éxégèse de son "tube", c'est un peu comme pisser dans un violon.
RépondreSupprimerm'enfin.. je vous en veux pas!
Tiens j'ai justement pisser pas plus tard qu'hier dans le violon d'une ado qui s'était mise en tête de fêter la musique. Marrant non ?
RépondreSupprimerUne belle perte de temps que cet article.
RépondreSupprimerS'il t'a fait perdre ton temps Francis, alors il n'aura pas été vain. et c'est toute l'humanité qui dit merci Batpat !
RépondreSupprimer"Jennifer, pionnière des déesses Niké de la Star Academy"
RépondreSupprimerCelle ci, je l'encadre