Certaines journées sont plus merveilleuses que d’autres. C’est ce que je me suis dit lorsque j’ai découvert cet article cardinal du site Rue89.com où il est question de spéléologie en terrains humides par de vrais passionnés. Il existe parfois, comme ça, des articles clefs en main, des petits bijoux de jubilations, de ces choses de la vie dont on ne peut passer à côté, du caviar à la louche offert gratuitement. C’est d’une évidence aveuglante que l’histoire surprenante de François, Juan Carlos et Nelly, la reuss de François, s’imposa à moi comme un colosse de Rhodes. Nos trois héros sont des explorateurs modernes, mais des fouineurs d’un type particulier. Ici, il ne s’agit pas de découvertes sur de vastes espaces inviolés, mais de chevauchées sauvages dans des interstices difficiles d’accès sans une certaine préparation physique en amont (et mental pour le spectateur). On est au coeur d’une pratique millénaire au fondement de notre civilisation, d’origine grecque donc, qui réinvestit le champ des possibilités d’expressions de soi, apparemment, par l’usage d’un poing enfoncé dans l’anus de son prochain. En osant un jeu de mots quelque peu grivois, nos trois personnages sont en quelque sorte des inspecteurs du fist.
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Avant d’entrer à vif dans le sujet, soulignons d’abord, les hautes priorités professionnelles de nos deux journalistes de terrain qui nous ont ramené ce débreffage brulant comme un thermomètre après une sodomie. Quand certains reporters de guerre perdent leur temps et un fric monstre aux frais de leur rédaction, pour souvent finir en otage et inquiéter tout le pays, d’autres partent en vadrouille au péril de leur coccyx, afin de nous excaver les grandes vérités de notre époque.
C’est donc à Assigny, dans le Cher, que nos deux folliculaires débarquent dans la maison d’hôtes La Fistinière où se déroule le théâtre des opérations, là où ça tire à tout va, où les troufions douillent sévères comme en Afghanistan.
Ça commence par l’histoire de François et de Juan Carlos, d’origine colombienne, qui tombe amoureux l’un de l’autre dans une soirée appropriée pour ce genre de fistivité.
En couple, leur hobby devient une obsessionpathologique névrotique maladive et alors apparait la saugrenue idée d’en faire un business juteux, vu que le marché est encore vierge, lui. C’est d’une mécanique bien huilée à la vaseline qu’ils ont monté ce pandémonium rural et en font profiter leur client de tout leur doigté en la matière.
Comme pour toute aventure palpitante, le péril peut surgir à tout moment d’un recoin sombre et les faucher de ses noirs desseins. Ces bourlingueurs bourrés d’audaces n’ont que deux peurs : le déchirement anal et du caca plein les doigts. Contre ça, que deux solutions viables existent : la délicatesse et le lavement.
C’est d’abord tout un art culinaire, la préparation d’un bon fist.
et moi aussi. Pis, ce passage que je trouve génial « Et puis autour de cet anus, il y a un individu tout de même ». Au-delà de la cocasserie de cette phrase, le besoin de le préciser me semble inopportun, suspect, comme glissé à son insu par un inconscient mal intentionné.
Un bon client qui a déjà neuf tampons sur sa carte de fidélité. Plus qu'un et un fist gratuit lui sera offert.
Le fist-fucking, à ne pas confondre avec le fisc-fucking du ministère des Finances qui lui ne consiste pas à toucher certaines glandes, mais à les foutres, est un art de plaisance mésestimé du grand public. C’est aussi une profession de foi. Il faut en vouloir pour se lancer là-dedans.
De tout temps, les vices et actes qui portent atteinte au bon sens sont toujours justifiés moralement au nom d’une pseudo-philosophie pour se masquer à soi-même le non-sens tragicomique de sa petite vie misérable et/ou pour que ça glisse comme du beurre aux yeux de l’agora. Le problème n’est pas que ces trois névrosés qui s’automédicalisent le mental à renforts de lubies post soixante-huitarde se prennent pour des proctologues amateurs, font s’k’ils veulent, mais qu’on puisse envoyer deux pisse-copie pour enquêter sur que dalle, le néant, vacuum, trou de balle, un je-ne-sais-pas-de-quoi-qualifier-ça,-merde !, qui n’est même pas un fait divers. Ce genre d’articles intimiste est le bas de gamme du journalisme, relayant ce métier de plus en plus inutile au rang de piaillement de palier quand la concierge s’en mêle.
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Avant d’entrer à vif dans le sujet, soulignons d’abord, les hautes priorités professionnelles de nos deux journalistes de terrain qui nous ont ramené ce débreffage brulant comme un thermomètre après une sodomie. Quand certains reporters de guerre perdent leur temps et un fric monstre aux frais de leur rédaction, pour souvent finir en otage et inquiéter tout le pays, d’autres partent en vadrouille au péril de leur coccyx, afin de nous excaver les grandes vérités de notre époque.
C’est donc à Assigny, dans le Cher, que nos deux folliculaires débarquent dans la maison d’hôtes La Fistinière où se déroule le théâtre des opérations, là où ça tire à tout va, où les troufions douillent sévères comme en Afghanistan.
Ça commence par l’histoire de François et de Juan Carlos, d’origine colombienne, qui tombe amoureux l’un de l’autre dans une soirée appropriée pour ce genre de fistivité.
En couple, leur hobby devient une obsession
« À l'époque, ils rêvent d'un endroit convivial et hygiénique, dédié à leur activité manuelle favorite avec à disposition tout le matériel nécessaire. Des préservatifs aux gants en latex. Cette idée ne va bientôt plus les lâcher. »Enthousiaste à l’idée de faire du pognon sur le dos des enculés, Nelly, la sœur de François les rejoint et s’occupera de la cuisine (féministe où es-tu ?), pendant que les deux tourtereaux en latex prendront en charge l’accueil des clients et la sécurité des égayments.
« Si quelqu'un a un peu trop bu, on le surveille car ça peut vite devenir dangereux. ».Ensuite, la gourgandine, de nature ouverte, participera aux réjouissances en donnant un coup de main et passera maitre dans le noble art du coup fourré.
« J'aime beaucoup fister des garçons. La première fois que je suis montée, François et Juan Carlos étaient un peu gênés, moi pas du tout. »précise Juan Carlos, dont Nelly boit les paroles cul sec, avant que François ajoute :
« Je l'ai toujours dit : Nelly c'est un pédé dans un corps de femme. Sexuellement, nos pratiques ne lui ont jamais posé de problèmes. Elle a cette mentalité très ouverte et accepte que la sexualité soit un jeu. »
« Le fait de prendre du plaisir par le cul avec une femme, ça les excite. »Ce que pense à peu près tous les hommes, mais pas dans ce sens-là.
Comme pour toute aventure palpitante, le péril peut surgir à tout moment d’un recoin sombre et les faucher de ses noirs desseins. Ces bourlingueurs bourrés d’audaces n’ont que deux peurs : le déchirement anal et du caca plein les doigts. Contre ça, que deux solutions viables existent : la délicatesse et le lavement.
C’est d’abord tout un art culinaire, la préparation d’un bon fist.
« Avant de faire un fist, on fait un lavement, donc il faut des aliments faciles à évacuer. Avec les tomates, il faut enlever la peau et les pépins. Il faut toujours des féculents. ».Ensuite, il faut savoir être soigneux avec l’anus de son client (il a payé quand même), d’une finesse de mouvements d’un pratiquant de Tai Chi Chuan et la précision mathématique d’un expert en mécanique des fluides. Ça ne se fait pas de deux trois coups de cuillère dans le pot.
« Les intestins c'est très fragile. À l'entrée de l'anus, si on force, il peut y avoir une déchirure, donc une infection. Pour éviter ça, il faut dilater. »On pourra remarquer deux choses. D’abord le zèle dont se fourvoie le journaliste à nous retranscrire au plus près de la réalité et avec le plus de détails et minutie possible une séance d’un bon gros fist bien lubrique. C’est à se demander s’il ne s’est pas branlé pendant ces racolantes déclarations,
« Il faut que les ongles soient bien coupés, limés, même si on porte des gants. Il faut utiliser un bon lubrifiant, attendre que les anneaux et le sphincter s'ouvrent successivement. Et puis autour de cet anus, il y a un individu tout de même, il faut être à l'écoute, savoir si ce qu'on lui fait lui plaît et surtout ne jamais forcer. »
« On peut y aller doigt par doigt ou assurer la dilatation par massage. Il faut toucher, caresser, voir comment ça s'ouvre et ne jamais brusquer. »
Un bon client qui a déjà neuf tampons sur sa carte de fidélité. Plus qu'un et un fist gratuit lui sera offert.
Le fist-fucking, à ne pas confondre avec le fisc-fucking du ministère des Finances qui lui ne consiste pas à toucher certaines glandes, mais à les foutres, est un art de plaisance mésestimé du grand public. C’est aussi une profession de foi. Il faut en vouloir pour se lancer là-dedans.
« Qu'il s'agisse d'une pénétration de la main ou d'un bras, pour se faire fister, il faut vraiment le désirer fort, sinon ce n'est tout simplement pas possible. »Cet article ne pouvait pas se finir sans une justification morale. Nos trois prospecteurs des abysses jouent la carte de la philosophie du plaisir charnel. Ce qui est surprenant, n’est-ce pas ?
« En tant qu'hommes, on peut avoir un plaisir fou par son cul en faisant appel à certaines glandes. C'est comme si on jouissait de la bite mais multiplié par mille. ».La sainte jouissance et le divin plaisir de nos glandes sexuelles sont encore une fois de plus au rendez-vous des apôtres du porte-crotte.
« Ce qui m'a plu dans cette pratique du fist, c'est le respect absolu qu'il y a entre les deux personnes. Le fait d'introduire la main dans les intestins de quelqu'un, c'est une pratique très intime. Plus intime ça n'existe pas. Tout est dans la confiance et le respect »Tout un bras dans les entrailles comme « art de vivre » et lien intime, profond et étroit entre plusieurs personnes. C’est beau comme du Angot.
« Il y a une grande recherche spirituelle dans cette sexualité. Je trouve de toutes manières que la spiritualité est partout, dans tout ce qu'on fait, on a pas besoin d'être entre les quatre murs d'un séminaire ou d'un couvent pour la vivre. Le message christique c'est l'amour. Aujourd'hui, j'ai l'impression de vivre ma vocation ici. »Et pourquoi pas Fais à ton prochain, ce que tu aimerais que l’on te fist ou Au nom du père, du fist et du saint-esprit, tant qu’on y est !
De tout temps, les vices et actes qui portent atteinte au bon sens sont toujours justifiés moralement au nom d’une pseudo-philosophie pour se masquer à soi-même le non-sens tragicomique de sa petite vie misérable et/ou pour que ça glisse comme du beurre aux yeux de l’agora. Le problème n’est pas que ces trois névrosés qui s’automédicalisent le mental à renforts de lubies post soixante-huitarde se prennent pour des proctologues amateurs, font s’k’ils veulent, mais qu’on puisse envoyer deux pisse-copie pour enquêter sur que dalle, le néant, vacuum, trou de balle, un je-ne-sais-pas-de-quoi-qualifier-ça,-merde !, qui n’est même pas un fait divers. Ce genre d’articles intimiste est le bas de gamme du journalisme, relayant ce métier de plus en plus inutile au rang de piaillement de palier quand la concierge s’en mêle.
Putain les fautes d'orthographe, c'est haram ! Je corrige :
RépondreSupprimerVous les chrétiens vous n'êtes que des dépravés, des débauchés ! Surtout vos prêtres, ces bergers qui aiment jouer de leur bâton avec les piti zonfants !
Cortex, le maître à penser de notre association "Forspa L'Aziza" a bien raison : il n'y a que l'islam qui vous sauvera de cette damnation.
http://www.youtube.com/watch?v=J0V_WQH_OHg
Comment va Paracelse, ça fait une paye ? Le lapin n'a pas fini enrobé de moutarde j'espère.
RépondreSupprimerMoi de mon ôté j'ai apostasié ! Enfin libre !
Tiens Para, un reportage sur la fistinière, avec visite de la chapelle fistine et le parcours de l'attrape-fion http://societe.fluctuat.net/blog/49375-a-la-fistiniere-camera-au-poing.html
RépondreSupprimerPour aller au fond des choses...
@ Al Mansour
RépondreSupprimerBen va bien, le para.
Félicitation pour ton retour dans le monde des mort-vivants (en sursis). Mais l'au-delà, c'est comme l'alcoolisme, y a de sévères risques de rechutes, alors gaffe.
@Gaby
Merci, patron. Je l'ai rajouté.
Fistrement bon ! Putain, mais qui c'est qu'a pété cet article ?
RépondreSupprimerL'empaleur a apostasié?
RépondreSupprimerTu te tournes vers le mur des lamentations sept fois par jour?
..quelle blague, on veut des preuves, un blasphème, un blasphème!
Mais putain aucune blague ne me vient qui soit au niveau de ce truc...la fistiniere, merde, la FISTINIERE...fistouille le chien... le parc d'attrape-fion... la grosse Maïté qui demande la permission d'enculer le client, c'est indétrônable.
RépondreSupprimeradieu, je m'y rend a genoux
Wow le stock de rouleaux Floralys XXL !
RépondreSupprimerBrought to you by Sopalin
ça laisse perplexe. Impossible d'éprouver autre chose qu'une abyssale perplexité face des types qui parle de fist-fucking comme d'un sport mâtiné de spiritualité. Un art martial.
RépondreSupprimerPour éprouver vraiment de l'horreur et du dégoût, il faut visiter le site, sur lequel on trouve des photos particulièrement cru. Là, on est loin du poétique ou du spirituel tout d'un coup.
Celui qui m'a fait le plus flipper dans le reportage, c'est le timbré qui dit "c'est quand le type vous supplie d'arrêter que la fête commence". Glaçant.
@-K-,
RépondreSupprimerHum. Difficile de répondre, apparemment mes messages passent à la trappe. Qui s'occupe de la censure ici ? Vous avez embauche un stagiaire ? Pendant que moi je me libère, d'autres sombrent dans la dictature du ciseau...
"Les excès de la liberté mènent au despotisme; mais les excès de la tyrannie ne mènent qu'à la tyrannie."
Paracelse t'es juste jaloux que ces deux fistés sont plus drôle que toi.
RépondreSupprimerLa chapelle fistine, merde. Je cri au génie.
De toute façon cet article n'aurait pas été complet sans un commentaire de moi même.
L'important, c'est l'Anus !
RépondreSupprimerC'est vrai l'important, c'est l'Anus mais juste après y a le slip. Et puis aussi les pédés et les pamplemousses floridiens. Heureusement queue derrière y a un éclair de génie.
RépondreSupprimerC'est pas possible, je rêve, c'est pas vrai, ça n'existe pas !
RépondreSupprimerMême à Groland ils n'auraient pas osé.
Voila comment ça finit avec les boules de pétanques : http://www.e-carabin.net/showthread.php?t=13395&highlight=p%C3%A9tanque
RépondreSupprimerAu passage le mec qui à forgé la cage il ne répondrait pas au doux nom de Chanal, où un truc dans le genre ?
RépondreSupprimerChauds bouillants ?
RépondreSupprimerffectivement , j'en suis resté sur le ....
RépondreSupprimerle camouflage de la merde qui pue sous les atours de la spiritualité grecque ( et plus ! chrétienne! le mec a failli aller au séminaire avant de devenir plombier . mais pas polonais)
la nécéssité d'enquêter , de rapporter , de prêter attention à cette....cette quoi , d'ailleurs?
pas perversion , ça n'existe plus les perversions
ou alors innocente
innocente ....manie
non pas manie
innocente marotte
innocente marotte rétribuée
mais ils ont du mal à payer les factures !
innocente marotte mal rétribuée
ce qu'ils taisent c'est qu'ils portent des couches. le sphincter est pété.
RépondreSupprimermais non chevreuil, pas besoin de couche suffit d'un mouton.
RépondreSupprimerPour les amateurs de caca & pets au jus, bon appétit !
RépondreSupprimer"y'a bon caca" (devise gay)
http://www.youtube.com/watch?v=cTuCqpStrxI&feature=related
RépondreSupprimerJ'avais pas regardé le film jusqu'au bout et j'avais manqué le morceau de piano de la fin... Séquence émotion...
RépondreSupprimerJ'ai réservé une chambre à la Fistinière pour 2 nuits du 16 au 18 Juillet au nom du CGB , j'ai senti que vous aviez du mal à franchir le pas ... amusez vous bien .
RépondreSupprimerLe bonheur c'est simple comme un coup de poing .
N'oubliez pas l'appareil photo.
biz.
Pourquoi pas !
RépondreSupprimerOn aura une ristourne si on prononce ton nom ?
Merci Thomas!
RépondreSupprimerJ'espère qu'on sera pas à nouveau à coté de la chambre des boyzs d'Ilys, moi les marches militaires pendant que j’assoie Paracelse sur un plot de signalisation, ça me déconcentre.
Si vous êtes sages, on vous donnera notre spectacle de guignol Paracelse Lestat et moi... Devinez qui fera Guignol et Gnafron... et qui fera le marionnettiste.
RépondreSupprimerParacelse , si tu donnes mon nom , j'appelle mon pote Tyson et c'est direct enchainement , gauche , droite , uppercul !
RépondreSupprimerCompris ?
Puisque Thomas nous invite, j'ai cherché l'adresse de l'établissement, eh bien figurez-vous que c'est très exactement situé dans le trou du cul de la France : http://maps.google.com/maps?q=Les+Amelots+18260+ASSIGNY&hl=en&ll=47.428087,2.768555&spn=10.705457,33.222656&z=5
RépondreSupprimerRéactions contrastées dans le livre d'or: cela va du "c'est cher, mais qu'est-ce que c'est bon" à "jamais pris un pied pareil" en passant par "décidément cela sent vraiment trop la merde!"
RépondreSupprimerA propos, les femmes animent-elles parfois certains ateliers ?
Oui, l'atelier " vaisselle et balais dans ton foyer ".
RépondreSupprimerJ'organise une soirée Ananus ( ananas dans l'anus) samedi 02 Juillet .
RépondreSupprimerRéservation conseillée .
@Paracelse
RépondreSupprimerSi je comprends bien, je vais à selle et puis on m'enfonce un manche à balai dans le fion jusqu'au trognon ?
Pour le balais, oui, mais elle fait la vaisselle dans ton fion.
RépondreSupprimerà une époque aussi lointaine qu'incertaine , le mensuel crapoteux "actuel" ( que mon pote f...b..., a décrit un jour comme "le paris-match pour les jeunes" ce qui n'était pas si mal vu) avait une rubrique "nouveau et interessant"
RépondreSupprimernul doute que la fistinière ( que l'on devrait débaptiser , ça me choque toujours un peu , on dirait finistère prononcé par un dyslexique , ce que sont peu être les pervers qui pratiquent le fist par rapport à la normalité , enfin , notre normalité )y aurait eu une belle recension
En voilà une idée qu'elle est bonne ! Et un produit de vaisselle de qualité cela peut aussi servir de lubrifiant.
RépondreSupprimerOui, et on économise l'achat d'un lave-vaisselle.
RépondreSupprimer" Fist à St Tropez , ça fait parti de l'ambiance à St Tropez ..."
RépondreSupprimerWaaaouhhh ; ce fil m'inspire .