Liberté d’entreprise, libre et saine concurrence… Ententes frauduleuses et abus de position dominante… Libéralisation des marchés et augmentation des prix. Quand le paradoxe est orchestré (avec ou sans Johnny) par des businessmen propriétaires de média ou leurs partenaires annonceurs pompes à fric. Toujours du juge et partisme…
Nos trois plus gros opérateurs de mobile ont été pris il y a un certain temps maintenant, les mains et les pieds dans le pot de confiture de la fake concurrence. Big cake ! Du coup, les plaintes en nom collectif débarquent en France. Les assoces de consommateurs chapeautent. Bien ! On nous dit progrès et on pense : « UFC que Choisir » fait la force.
Ouais… Seulement Madonna chante faux et le Medef, les avocats « represent yo en force » et le gouvernement de concert, ont tous sorti le bleu de chauffe pour protéger leurs intérêts. Ils ne sont pas prêts à franchir le pas de la négociation collective des litiges sous le prétexte fallacieux que notre société, elle, ne le serait pas, prête... Ah bon ? Ah, ces progressistes qui traînent leurs savates pour encore un p’tit sou, un dernier p’tit sou.
En effet, chaque plaignant verra sa négociation réduite à l’échelon individuel, ce qui veut dire que tout aboutissement de litige sera issu de la confrontation sempiternellement déloyale du pot de terre contre le pot de fer. Gain de thune pour les grands patrons escrocs, plus d’affaires pour les avocats, ménagement de la chèvre et de la chèvre pour le gouvernement. Arnaque, crime et téléphonie. Le droit : la loi du pouvoir. De quoi voir Orange de tout ce SFR mais Bouygues, qu’est-ce tu veux ?
Tu tiens la forme!!
RépondreSupprimer"Les class actions", encore une marotte des médiacrates pour quelquechose qui se révelera sans contenu et dangereux pour la démocratie.