Ils s'y sont pris à plusieurs, pourtant, et à bien des reprises... publicitaires, bas cinéastes, vendeurs de lessive, charlatans d'operette, répondeurs téléphoniques, ascensoristes, télévisuels, André Rieu et autres criminels... mais rien n'y a fait: le Printemps de Vivaldi n'est pas mort.
D'ailleurs, Julia Fischer le prouve par neuf:
Très belle interprétation mais grosse faute de goût pour la robe, ce n'est pas Janine Jansen qui aurait mis une telle serpillère pour interpréter du Vivaldi.
RépondreSupprimer" Très belle interprétation mais grosse faute de goût pour la robe, ce n'est pas Janine Jansen qui aurait mis une telle serpillère pour interpréter du Vivaldi. "
RépondreSupprimerIdem. C'est la réflexion que je me suis faite.
Vrai. Mais peu importe le flacon...
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