Les trois monstres,ils avaient en effet à peine figure humaine surtout après avoir été livrés à la foule venue nombreuse assister à l'application de la justice citoyenne, ont été supplicié à 15h (heure de Béthune) en présence des plus hautes autorités de l'Etat. Pendus haut et court à l'entrée du Parc des Princes, théâtre habituel de leurs forfaits et ce à titre d'exemple et pour favoriser le "vivre ensemble" d'après un Bertrand Delanoe visiblement ému.
Les yeux bandés, menottés dans le dos, les fers aux pieds, T-shirts IBMIT (In Bernard Mendy I Trust) et écharpes "AntiMarseillais" fièrement arborés les ultras ont confié leurs derniers mots au CGB :
Je suis triste de mourir à 17 ans mais au moins ne verrai-je pas le PSG en ligue 2 nous a confié Gaëtan pendant que Stéphane regrettait leur acte c'était une erreur cette banderole, consanguins, pédophiles, chomeurs nous sommes allés trop loin c'est vrai mais comment pouvions nous savoir qu'ils savaient lire ?
juste avant d'être livrés au bourreau Granomort sorti de prison pour l'occasion.
Un dernier "Marseille Marseille on t'encule"
hurlé en choeur et la planche se dérobait sous leurs pieds.
Bernard Laporte réfléchissant au meilleur moyen qu'un tel acte ne se reproduise plus nous confiait à son tour la tolérance la différence ça s'apprend tout petit, je souhaite que dès l'année prochaine chaque enfant de CM1 se voit confier la préservation de la mémoire d'un petit enfant ch'ti mort d'une indigestion de moules frites. Le CGB s'associe évidemment à cette proposition afin que hum afin que quoi déjà ? Ah oui afin que plus jamais ça.
Au CGB, nous sommes tous des pédophiles consanguins... Ah non, merde, c'est pas ça...
RépondreSupprimerNous sommes tous des ch'tits !
Voilàààà.
Signé : Ch'tit Kroulik
En revanche, petite erreur, Granomort n'est pas en taule, il patrouille gard du nord.
RépondreSupprimerExcellent !!
RépondreSupprimertout naze !
RépondreSupprimerTrès bon! La mémoire des enfants ch'tis morts d'une indigestion de moules frites, c'est un condensé très drôle, et surtout très exact de l'ambiance surréaliste de Franceland en ce moment.
RépondreSupprimerNon, je m'insurge. Les supporteurs présents, n'arboraient en aucun cas de T-shirts IBMIT, mais ils avaient simplement le maillot floqué à leur prénom: Kévin, Didier et Kévin.
RépondreSupprimerLes Kévin ont pris cher cette année...
Clarence, tempérament pravda