D’ailleurs, il ressemble assez à Brasillach, le Demorand. Sinon, bravo pour la référence subtile à Baudelaire, « Ne suis-je pas un faux accord / Dans la divine symphonie, / Grâce à la vorace Ironie / Qui me secoue et qui me mord ? »
D’ailleurs, il ressemble assez à Brasillach, le Demorand. Sinon, bravo pour la référence subtile à Baudelaire, « Ne suis-je pas un faux accord / Dans la divine symphonie, / Grâce à la vorace Ironie / Qui me secoue et qui me mord ? »
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