Hommage, pillage, éloge du système D, exhumation de vieux titres, mort de la créativité, un peu tout ça surement mais le sample fait aujourd'hui parti intégrante de la musique moderne. Pépite ou sample cramé jusqu'à la corde le CGB voyage dans le monde de l'échantillonage.
Débutons en douceur avec Dusty Springfield déjà récupéréé par le roi du pillage cinématographique Tarentino et ici samplée sans vergogne par Dj Muggs pour le planant Hits from the Bong de Cypress Hill.
c'est la crise du religieux non ? le fils du prêcheur se défonce au bang avec la petite Mary Jane !
RépondreSupprimerlet's smoke that shit !
c'est la crise du religieux non ? le fils du prêcheur se défonce au bang avec la petite Mary Jane !
RépondreSupprimerlet's smoke that shit !
Euh oui le rap c'est du sampling, et ?
RépondreSupprimerJe suis plus choqué par les reprises d'anciens tubes des années 60 et 70 chez les vedettes préfabriquées par star ac et popstars. Car le pire c'est que comme elles ne vont rien créer par eux même, elles croient sincèrement que les musiques et paroles, qu'on leur apporte sur un plateau, sont le fruit d'un nègre tout ce qu'il y a plus original.
comment pourrir une chanson et la ringardiser à tout jamais. Heureusement ils n'ont pas encore decouvert le meilleur de Dusty Springfield. (i.e burt bacharach/Dusty Springfield : The look of love)
RépondreSupprimer