18 septembre 2015

Compte à rebours

réfugiés
Toc-toc et tic-tac tic-tac tic-tac
Hier soir, le Duel entre Thréard et Macé-Scaron chez Galzi sur Itélé. Ils parlent grandes migrations. Très vite, l’horreur est là : quasi-totale adéquation avec l’ami Joseph de Marianne. Patatras ! Rendons à César. C’est-à-dire que Joseph Macé-Scaron se retrouve en totale résonance avec le Cultural Gang Bang. Ça y est. Nous y sommes. Le point de Grande Jonction a toujours été celui du non retour... 

« Il faut stopper les réfugiés », déclare Thréard, tandis que Macé-Scaron tempête : « C’est trop tard ! Nous sommes rattrapés par l’Histoire ! » Adieu Gay pride, Techno Parade, Fête de l'Huma, Cochons ! Et oui, la fin de l’Histoire ne pouvait être avant la fin de la petite histoire contemporaine : colonisation, guerre d’indépendance, rétrocolonisation. Flux et Reflux. Bien sûr, derrière « l’appel d’air » créé par Angela Merkel et fustigé par nos deux éditorialistes, derrière l’hystérie paroxysmique et terminale humanitaire à laquelle nous assistons, des principes économiques, des régimes de retraite à payer, des coûts de la main d’œuvre à abaisser pour être concurrentiel au level mondial, des Palpatine à la Gattaz qui déclarent : « Les réfugiés sont une chance pour la France. » Pas un artiste à la Main tendue pour s’offusquer que le patron du Medef soit sur la même ligne qu’eux. Pas un soupçon, un doute, l'ombre de l'ombre d'un... Normal, c'est la nuit sans lune et le brouillard black out. Leur petite entreprise connait dorénavant la crise. A quand les mp3 d’or ? Les petits kapos du camp sont là… En vérité je vous le dis : c'est chacun pour sa gueule et Allah limite.
Les junkies de la scène tètent les matrices à la source...


Pierre Gattaz esclavagiste
Pierre le Grand... Fou !
Le jour d’avant, lors de la minute FaceCam du Petit Journal, la rédaction d’un petit journal de lycée ou d’un collège quelconque prend la parole.

 PLAY.

C’est la 1st Generation de Wayward Pines, plutôt, son vrai moment du faux. Car nos petits babtous aux têtes de boloss, prendront tous les risques pour… disparaître. Se suicider. Parmi l’équipe, seulement deux représentants de la diversité habilement positionnés par les metteurs en scène du Spectacle autour de notre oratrice, de notre prédicatrice de 15 ans. Prédicatrice, on baise nos mots. La scène est flippante.  Nous voyons là le conditionnement à visage humain, l’embrigadement magistral, la trépanation profonde. Digne d’une secte, d’illuminés. Des marionnettes, des zombies, des victimes de viol mental. Des tas de boue. Des marchandises produites en série. Des produits. Des purs produits de l’idéologie humaniste dominante. Des aveugles. Des moutons qui sautent à pied joint du haut de la falaise dans la gueule du loup. Un bel exemple des prouesses obscures de la chaîne de montage de l’Éducation Nationale. La voix de son maître travestie en esprit rebelle, militant, insoumis, critique, au-delà du point critique. C’est quoi le projet ? C’est la grande partouse de Sense 8. Tout le monde doit baiser avec tout le monde. Les Trans traits d'union. Tout le monde doit consommer chacun. Ça s’arrête là. Parole de vamp. Ça ne va pas plus loin. Anguéla et son opinion publique ne valent pas mieux. Les Allemands, après avoir marché sur la gueule de l’humanité au XXème siècle, se perdent dans l’extrême inverse. Les opposés s’attirent. Ça sent le fer des shrapnels et les balles dum-dum. La caricature de l’Allemand rigoureux, froid comme une lame qui sort du congélo, est une aberration analytique. L’Allemand, un taré émotif qui n’aura décidément jamais le sens de la mesure. C’est le romantisme wagnérien ? C’est l’autoflagellation luthérienne ? C’est l’automutilation. La morbidité partout dans l’inconscient collectif. L’allemand est kaput, mais tant qu’il restera des Merco, des BM et des Audi, l’arbre cachera la forêt noire de cendres…Walking Dead, c'est pour demain, c'est-à-dire tout de suite là maintenant.

He déconne pas Manu, arrête de t'mettre des claques. Ouais non rien...
Valls, son récent non-discours sur la question des réfugiés à l’Assemblée fut un sommet de passivité. « Absolument vide », comme l’ont bien relevé nos deux éditorialistes. Normal. Ici en France, nos pantins manipulés aux manettes refusent de prendre le problème des grandes migrations à bras le corps pour cause de scrutin des Régionales. Incroyablement grotesque. Fantastiquement criminel. L'aberration faite myope. La pensée yaourt au caramel. Les réfugiés, le dernier décor de gauche des socialistes. Leur dernière couche d’enduit. Leur dernière guirlande lumineuse pour une lanterne appelée Les Lumières.Leur motivation est d’une incongruité absolument obscène : garder une image de gauchos. Le gaucho, l’insecticide de la pensée. Ils ont tout misé sur l’émotion, tandis que nous venons de passer la croisée des chemins, le dernier carrefour où il eut été possible d’éviter le pire. Évidemment, dans les situations de cette envergure, c’est de sang froid dont il faut faire montre.
On ouvre ! crie Anguéla. Anguéla murmure on ferme... aussitôt, c'est-à-dire beaucoup trop tard. Nous, on restera ouvert, même le dimanche…Politique de petits épiciers. Politique d'arabes du coin.

N’ayez pas peur, intiment-ils.
Clausewitz : La peur est le sentiment de préservation du corps.
Soyez courageux enjoignent-ils.
Clausewitz : Le courage est le sentiment de préservation de l’âme.
La boucle est bouclée, le serpent s'est mordu la queue jusqu'à la gueule. Venin auto-immune. La société mutile ses cellules. Ils ont bradé les âmes, toutes nos âmes…
Grande Surface Douce France : tout est sold out.
Lâcheté et pusillanimité sont les deux mamelles du machab.
N'ayez pas peur, ceci n'est qu'un abattoir...
...
Un son disjoncteur.
Plombs pétés.  
Conditions historiques du KO détectées.
Vision infrarouge : dégagement de chaleur nucléaire, champignons multiples en expansion célérité lumière noire, intensification exponentielle y exposant XXL.
Inutile de relever vos tablettes, on s'écrase dans 3, 2, 1, oups, désolé.
Fission, rupture, mélange létal. 
Définissez le chaos : système non causal sol-air antipersonnel de masse.
Faites péter les prothèses connectées. 
Communautarismes dopés au pouvoir de l’arc-en-ciel : The Program de tous les Grands soirs à venir.
Qui sait encore faire quelque chose de ses dix doigts ?
Effet freezing pour l'homo de masse à la masse.
Verrou comportemental à double tour.
Fuite en avant pour sauve-qui-peut.
Le stock est-il encore une option ?
Respirez sept fois, c'est tout le temps qu'il faut pour se décider. HagaCourez !
Sur la route, voyager léger ?
Le repli est une option stratégique de premiers secours.
Les lingots ne valent déjà plus de l'or.
Jette-ta-putain-de-gourmette-Bernard. 
Ils disent : J’ai beau jeter de l’huile sur le feu, je n’arrive pas à l’éteindre. 
Les derniers hommes rient.
Fous, ils tournent en rond dans la nuit qui les consument.
Le fin du fin de la fin, ça sera "bon ben voilà ma couille : This is the end."
Les Doors de l'Enfer sont sorties de leurs gonds.
Bientôt il faudra troquer dents pour crocs.
Ne serait-ce qu'un neurone sur thermostat survie, combat.
Mantra : Je suis celui qui restera debout à la fin, Je suis celui qui restera debout à la fin...
Attention un barbu à nous l'a dit il y a plus de 100 ans qui paraissent 10 000 : Rien de violent comme les ruptures d'équilibre...

1 commentaire:

  1. "Les junkies de la scène tètent les matrices à la source..."
    Ce qui, somme toute, ne change pas de l'habitude.
    Et les brebis sont mal gardées. Le loup entre.

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