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Frontière suisse |
A leur initiative, les Suisses se sont posé une question cruciale et y ont répondu. C’est non.
Naturellement, partout, le monde du oui, du béni oui-oui, du
oui en force, s’est instantanément alarmé.
Aussitôt, les menaces ont salué cette odieuse expression
d’un peuple encore souverain.
Partout le dégoût.
Partout le dégoût.
Les petits Suisses veulent gâcher la fête ?
Ils ont dit non. C’est à dire qu’ils ont dit oui.
Oui au référendum «
Contre l’immigration de masse. »
Les Suisses ont répondu oui au contrôle de leur destinée en
tant que peuple, oui à la préservation de leur écosystème contre l’invasion, la
submersion programmée par le système marchand mondialisé, oui à leur survie et
à leurs conditions de vie.
Aussitôt, les menaces ont salué cette expression odieuse
d’un peuple encore souverain. Wolfgang Schäuble, ministre allemand des
Finances : « Ce vote va créer
de nombreuses difficultés pour la Suisse dans beaucoup de domaines. » La
Commission européenne a « regretté » :
« Nous examinerons les implications
de cette initiative sur l'ensemble des relations entre l'Union Européenne et la
Suisse. » Fabius, un qui avait dit non à un moment, pour voir : « On va revoir nos accords avec la
Suisse. Activer la clause guillotine… »
Le coffre-fort du monde n’a pas fini de se gausser. Ils ont des listes…
Le coffre-fort du monde n’a pas fini de se gausser. Ils ont des listes…
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"On va revoir nos accords avec la Suisse." On compte sur vous. |
Ils ont dit oui. C’est à dire qu’ils ont dit non.
Dans les rues helvétiques, les indignés ont exprimé leur
honte et demandé « le droit de
séjour pour tous partout ! » Ils s’étaient assemblés en masse :
500 à Berne, 300 à Lucerne... Le théâtre granguignolesque médiatique envoie
ses loupes.
Condamnation, partout.
La Suisse a parlé. Elle s’en est donné les moyens et elle a
dit : non !
Aussitôt, les menaces ont salué cette expression odieuse
d’un peuple encore souverain.
Non à l’immigration de masse. Non à L’IMMIGRATION DE MASSE !
Comme un thaï qui aurait dit non au tsunami ?
Le peuple suisse a dit non à sa disparition programmée dans
les conseils d’administration de Bruxelles, Berlin, Paris.
Les réactions du système, binaires, stigmatisantes, anathémisantes,
attestent une fois de plus de la conspiration en œuvre partout contre les
peuples.
Les réactions du système, binaires, stigmatisantes, anathémisantes,
attestent une fois de plus de la puissance du levier idéologique antiraciste,
cette authentique falsification au service de l’aliénation généralisée.
Ceci est une guerre.
Les Suisses, feus ces neutres, ont dit non.
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L'Empire contre-attaqué |
Brouillage de masse.
Echo, Papa Charly Tango. Ici le CGB. Reste-t-il des survivants ?
Les deux mamelles de la mondialisation : le profit, le
contrôle.
Le profit en masse, le contrôle de masse.
Le vent de mai. Un pet foiré. Destination Mad in China.
Immigration de masse. Immigration de masse dans des
économies jetées sciemment dans la crise pour le profit, le contrôle.
Création mécanique du chômage de masse.
Suractivation massive du lumpen prolo.
Précarisation de l’emploi pour tous.
Salaires à la baisse.
Déconstruction des législations protectrices du travail.
Les monstres du docteur Frankenstein actionnaire majoritaire
attaquent.
Conspiration partout contre tous, l’homme, la vie, le vivant.
Besoin de consommateurs ?
Besoin d’une démographie dynamique ?
Besoin de logements ?
De relance de l’économie par les marchés publics ?
Besoin de faire de la place, besoin de tabula rasa ?
Besoin de tout raser ?
Après nous, le déluge. Le déluge est après nous. Courez.
Jusqu’à quand la démographie dynamique ?
Jusqu’à quand l’importation de peuples qui commencent à
jouer de la concurrence ?
Jusqu’à quand la loi du Marché ?
Veau d’or et grain de sable.
La montée des communautarismes n’est pas un phénomène
spontané, c’est un phénomène connecté.
La montée des communautarismes n’est pas une maladie, c’est
un symptôme.
La montée des communautarismes est au mieux un golem, au
pire une préméditation.
Ex Machina…
Jusqu’à quand la déconstruction, le démantèlement, la
destruction, la prise d’otage culpabilisante par le couloir humanitaire ?
Développement durable du terrain vague. L’Alzheimer est une
fête ! Le no man’s land d’activité. Le grand nul part partout.
Activez les brouilleurs.
Dépêchez les commandos Communication.
Tactique habituelle : cernez, approchez en cercles
concentriques, resserrez, serrez, nettoyez les centres de résistance.
Mission soumission.
Pas de quartier.
Pas de condition.
Le oui totalitaire, partout.
La Bureaucratie tentaculaire ne négocie pas.
Elle a tous les pouvoirs.
L’avenir de l’homme, un formulaire B52 fourré au fond de la
gorge.
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"N'ayez pas peur les enfants, ceci est un suicide assisté." |
Partout la mort.
Conte pour enfant européen : il était une fois un
girafon euthanasié…
Né dans ces abjections qu’on appelle zoo, il a été mis à
mort pour cause de patrimoine génétique défaillant (il n’aurait pas pu se
reproduire). Son corps a été exhibé pour dissection publique, les enfants aux
premiers rangs, face caméras. On apprend que le girafon a ensuite été donné en
pâture aux lions du zoo. Circuit fermé. Rien ne se perd, surtout pas l’horreur
érigée en mode de pensée. Le grotesque tue, partout. Tout se recycle dans les
boyaux digestifs de la pensée inversée, sauf la raison, et la décence camarade.
Enzymes neuronaux, ph acide, aucune vie possible. Une histoire pour créature
made in Union Européenne. Comme une parodie gore de conte pour enfant.
Partout la mort...
« Le droit de
séjour pour tous partout ! »
Dissection publique des peuples, des Nations. En attendant
de nourrir les lions.
Institutions technocratiques indignées. La Nation, c’est la
guerre.
Associations antiracistes, cris d’orfraie. La Nation, c’est
le génocide.
Consortium médiatico politique, cris d’horreur. La Nation,
c’est raciste.
L’antiracisme, calibre magnum, munitions perforantes dum
dum’s day.
« Le droit de
séjour pour tous partout ! » Expression ultime, morbide, suicidaire,
de l’idiotie utile.
« Le droit de
séjour pour tous partout ! » Revendication flanquée du logo du
libéralisme économique de masse ; floqué à l’encre sympathique. Au
royaume des collabos béats, l’illettré aussi est un serf. Echo, Papa Charly
Tango. Ici le CGB, reste-t-il des survivants ?
L’immigration de masse, c’est la traite de l’homme, en
masse.
L’immigration de masse, c’est l’esclavagisme pour tous, ici
et maintenant.
La Nation, c’est une station de métro.
La Nation, c’est Fort Adamo.
La Nation se meurt. La Suisse, l’Islande, derniers bastions.
« Le vrai moment
du faux »…
« On peut garder le mot quand on a changé son
contenu. »
« In girum imus nocte… »
On tourne en rond, cloués au manège par les anathèmes.
L’antiracisme est une falsification.
L’antiracisme est un faux et un usage de faux.
L’antiracisme est une complicité. Tout pour la production, tous pour l’exploitation.
Leur partage c’est celui de l’esclavage encore et toujours,
plus que maintenant.
Ad vitam. Ad patres. Adéquat.
Trafic d'êtres humains. Humains trafiqués.
Trafic d'êtres humains. Humains trafiqués.
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Croix presque gammée |
Les deux mamelles de l’Union européenne, du grand
Marché : la traite de l’homme, la destruction massive de l’écosystème.
La contrepartie : la babiole, la sur-survie en
croissance exponentielle.
Notre poubelle qui êtes jusqu’aux cieux.
Le Système court à notre perte.
Non, ceci n’est pas de la concurrence déloyale, de la
submersion culturelle, un reflux historique, une métastase antihistorique, ceci
est un droit de séjour.
Non, ceci n’est pas de la précarité, ceci est la génération
Y.
Non, ceci n’est pas la destruction de la conscience
ouvrière, la victoire finale dans la lutte des classes, ceci est une délocalisation
dans une dictatu… Merde. Coupez au montage. La mondialisation, c’est l’amitié
des peuples et une chance pour chacun.
Non, ceci n’est pas une menace de mort, ceci est un bulletin
de vote.
Le Système court à notre perte.
La corne d’abondance, les cornes de cocu.
Le Système est l’ennemi des peuples.
Ces peuples qu’il ensevelit sous l’immigration de masse.
Il condamne toute expression d’autodéfense nationale.
« Faire monter
l’ennemi sur le toit. Retirer l’échelle. » Sautez.
Si vous n’êtes pas avec lui…
« Deux ne peuvent
déjà plus se contredire… »
Entendez l’unanimité.
Si vous êtes contre lui…
« Un ne peut pas
se prouver… »
Voyez l’inhumanité.
Zéro.
Le meilleur tour du Système est d’avoir fait croire qu’il
n’existait pas.
Qu'est ce que ça veut dire "refouler de la goule", un peu hs, juste ce petit mot pour vous dire bravo pour ce site jouissif, dont les propos sont si sensés, vive la France qui réfléchit. Vive internet qui permet des découvertes de trésor. bonne continuation et vive la Suisse qui sait ce qu'elle veut.
RépondreSupprimerMichelle de Narbonne