Tous ceux qui pensent que Prosper Bensoussan (alias Philippe Clair) est le roi incontesté du navet français se trompent. En réalité, c'est un génie du cinéma, un prince de la légèreté, un ciseleur de gags extraordinaires... et un acteur surdoué.
Il n'en finit pas de s'auto-panthéoniser devant un interviewer incrédule...
"Buster Keaton", "Fellini burlesque" etc..
quand on pense qu'Hollywood est passé à coté de ce mec!
Interview fort intéressante. Rien que le côté shalala poi poi à l'ancienne de Prosper, ça vaut son pesant d'or.
RépondreSupprimerCependant, il ne faut pas perdre de vue que ce type faisait honnêtement son boulot de tâcheron du cinéma : même s'il se prend un peu pour un génie comique, personne n'a jamais essayé de nous fourguer un alibi intello-social pour nous faire avaler son succès. Car ce succès était réel, puisque ses films faisaient des entrées, et basé sur le ressort le plus fort qui soit : la connerie humaine.
Aujourd'hui, Danyboon avec ses Chtis ou Omar avec son film dont le nom m'échappe ne font pas autre chose, mais on nous les fait passer pour des génies sous prétexte que les films sont techniquement corrects.
A l'époque de Prosper, les mauvais films étaient très mauvais et les bons films très bons. Aujourd'hui, les mauvais films cotoient les bons dans une sortes de marécage de médiocrité jamais vraiment nulle ni vraiment brillante.
Prenez au hasard 1984, année de "Par ou t'es rentré..." : c'est aussi l'année de Scarface, Il était une fois en Amérique, Amadeus, Les Ripoux...
Prosper Bensoussan...comment ce type a pu côtoyer la misère aussi souvent, rien que son blaze est un pléonasme!! Ce témoignage confirme en tout cas les dires d'une de mes connaissances expert en loutres argentées: ces bêtes sont de redoutables prédatrices, mais elles ont tendance à se bouffer entre elles dans la même niche écologique...
RépondreSupprimerA ce propos, rien à voir, mais Jean François Copé attaque un de ses petits camarades de l'UMP qui l'accuse d'avoir engraissé sa "famille" élargie en sufacturant de la "com"...
SupprimerOn pourrait d'ailleurs se demander si à plus de 7.50€ de l'heure, la "com" n'est pas déjà en état de surfacturation avancée.
Rien à voir non plus mais s'en prendre au fils d'une juive séfarade et d'un proctologue séfarade (qui a dit atavisme?!!), en le traitant d'escroc de surcroît, je trouve que ça rappelle LHLPSDNH!
SupprimerQuoiqu'on pense de cette affaire, le Dr C. n'en est pas à son coup d'essai, demandez à François FION il a encore du mal à s'asseoir. Pour convertir la sueur du smicard et la connerie contributive du militant en valeur ex nihilo à redistribuer aux p'tits copains en espèces trébuchantes, plus fort que la com' y a que le marché de l'Art...au-dessus c'est Jérusalem.
SupprimerArrétez, c'est odieux,autant que ça :
Supprimerhttp://www.argusdesmontres.com/jaeger-lecoultre/jean-francois-cope-100-000-eur-au-poignet-11-10-2013-1742581_936.php
Plop, à propos de Bensoussan
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=PbQpJqeumF8
:)
oui pauvre François DUPUIS...il est devenu à moitié bredin depuis cette expérience et a lancé un site traitant principalement d'immigration de racisme anti-blanc...
Supprimerà vendre sa merde, il me fait penser au personnage qui vend les étoiles et les pyjamas dans "hitler=ss" de Vuillemin.
RépondreSupprimer"la connerie du siècle"... il a la même gueule.
SupprimerL'homme n'était pas seulement un réalistateur de grand non-talent, c'était aussi un comique qui savait exploiter une veine assez "terroir"....
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=HheqW1LE420
Et dans un style dieudonnesque :
http://www.youtube.com/watch?v=HheqW1LE420
aye aye aye,
Si Bensoussan avait réalisé le premier "Alien" à la place de Ridley Scott, la purée d'nous autres, la gueule que ça aurait eu...
RépondreSupprimerProsper youp la boum
RépondreSupprimerc'est le roi des films qui puent la pisse.
Un de ses chef d’œuvre, Le Führer en folie, avec Alice Sapritch et Michel Galabru
sans oublier les inoubliables, Tais-toi quand tu parles et Rodriguez au pays des merguez,
c'est autre chose que ces bouses d’Apocalypse Now ou Midnight Express,
mais il est sympa Proper, jamais de pleurnicherie ou de propagande dans ses films, son seul crédo, le cul et la rigolade, il y a que ça de vrai dans la vie.
Du très grand cinéma comme je voudrais encore en voir réaliser aujourd'hui.
RépondreSupprimerUn résumé de sa carrière peut se trouver sur l'excellent site Nanarland :
http://www.nanarland.com/acteurs/acteur-philippeclair-philippe-clair.html
Et en plus il a dirigé du beau monde, il a même débauché Jerry Lewis !
Erratum: le papa de JFC est ashkénaze contrairement à sa maman. Depuis le temps que le peuple élu nous vend le métissage, on notera qu'il nous montre l'exemple...il faut avoir souffert à Limoges pour comprendre.
RépondreSupprimerC'est vrai que le mariage d'un ashkénaze avec une séfarade... on atteint la limite ultime du concept de métissage kasher.
SupprimerLe métissage kasher étant un métissage au sein de sa propre communauté, avec des gens de la même couleur de peau et de la même religion.
C'est un concept talmudique qu'on peut tout juste tenter de traduire par "métissage endogame".
Y voir un oxymore serait une odieuse pensée antisémite.
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Oui, et pourquoi ne pourrait on pas reconnaitre le génie de Philippe Clair, Guillaume Gallienne vient bien de gagner cinq Césars?
RépondreSupprimerNon aux discriminations ! Nous avons tous le droit d'être des génies !
SupprimerGuillaume Gallienne est nettement plus drôle et sait écrire un dialogue drôle.
SupprimerQuant à son film, je le trouve intéressant en cette période d'expérimentation de l'éducation transgenre décomplexée. Les LGBT ont d'ailleurs détesté.
Sa mère fait figure de loufdingue à éduquer son fils comme une fille / nos zélites font figure de loufdingues... tout va bien.
Tout à fait d'accord avec M.Kroulik, j'ai l'impression que le malaise du héros vient plutôt de l'impossibilité à trouver une figure paternelle consistante et satisfaisante (virile en somme) qui lui permette de sortir de son rapport oedipien fusionnel malsain avec sa mère. Ce film fait allusion de manière à peine voilée aux conceptions freudiennes de l'homosexualité comme trouble du développement affectif par peur panique de la différence sexuée. Peu importe mes délires psychanalytiques, mais en tout cas ce film rend hommage à sa façon à la complexité de l'âme humaine par opposition aux divagations patasociologiques des transgenres. Et surtout il nous parle de la difficulté d'aimer et d'être aimés par les gens tels qu'ils sont et pas de godemichets dans le fion. Rien que pour ça il est à rebours de l'époque et ne méritait pas d'être souillé par autant de Césars.
RépondreSupprimerLe godemichet, bientôt au programme des cours d'EPS.
SupprimerLors de l'initiation à la GRS, on va remplacer les massues par des gods, la balle par une boule de geisha et le ruban par une corde de bondage.
Au moins on saura quelle muzak passer....
SupprimerDu bon gros twerk qui colle aux godasses et fait transpirer les bombasses de l'école privée d'à côté....
Surtout si ça ennuie les proviseurs.....
Et pour les filles?...ah oui zut c'est vrai que ça n'existe plus!
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