29 novembre 2013

Dites non à la bananisation !

Dans les bas-fonds de l'internet, on peut trouver le pire... Et quand je dis le pire, je suis loin d'exprimer tout le dégoût et la colère qui m'habitent. Penser qu'en plein XXIème siècle on puisse encore tomber sur des choses pareilles :


C'est ignoble !

7 commentaires:

  1. c'est surtout complètement délirant. Ca me rappelle ce que me disait une amie vietnamienne. Elle détestait les noirs parce que "la nuit, on ne les voit pas". Comme quoi, il suffit de peu de chose parfois. :-)

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  2. Ca c'est drôle (la bananisation du racisme: ah ah), par contre votre site reste bidon - le temps ne fait rien à l'affaire #citation d'enculé au goût de merde.

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  3. Rien à voir:
    http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/argentine-mariage-d-un-couple-de-transexuels-attendant-un-bebe-30-11-2013-3364485.php

    Philippe Muray doit être dégoûté d'être cané.

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  4. http://www.youtube.com/watch?v=KChIMaPRa_k&feature=c4-overview-vl&list=PL193124CE0D9A9804

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  5. Moive je trouve ça très rigolo
    Mais j'évite d'en faire état autour de moi
    Ça risquerait de me créer des ennuis
    Tu comprends, coco, le ouacisme, c'est sérieux !

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  6. Chénial !

    Et tout au contraire, M'sieur Clife, il FAUT en faire état, le jour, la nuit, à la pause de midi. Je traîne dans un milieu intello plein de coincés du cul, de Correcteurs et de Corrigés, et je crois qu'absolument personne ne se fait la moindre illusion sur ce que je pense, une poignée se réfugiant derrière l'hypothèse d'un provocateur maladif qui-ne-pense-pas-vraiment-ce-qu'il-dit.
    Le ouacisme en société, c'est comme la drague. Hésitez, camouflez, demi-mesurez, et le retour de manivelle est garanti sur facture. Assumez sans militer, c'est-à-dire sans chercher délibérément le conflit ni bien sûr la reconnaissance, "soyez" en bref, et neuf personnes sur dix goberont le cachou comme des grands, parce que c'est ça ou s'étouffer - concrètement, vous faire un procès dont ils n'ont ni l'énergie ni les ressources, ou vous provoquer pour un affrontement physique qui leur fait peur. Je concède que peser un quintal facilite pas mal la chose, mais c'est quand même secondaire.
    Ca fait des lustres que je travaille absolument tout mon entourage, à l'usure, au gros gag lourd, au blasphème ochouitzien, aux allusions kukluxklaniques évidentes, quitte à saluer en tendant un bras bien droit, et vous savez quoi ?
    CA PASSE.
    Dans une récente soirée pleine de gens bien élevés et qu'on croirait soucieux de leur excellente image, j'ai pu causer en toute décontraction d'apartheid volontaire, de plafonnement culturel par ethnies et autres horreurs pas républicaines, sans causer de scandale. Ca suppose d'être irréprochable sur le plan humain et professionnel, et d'apprendre à traiter des plus scabreux sujets avec calme, sans peur de choquer, sans se la péter, et sans donner l'impression qu'on est un énième sociopathe frotté de lectures clandestines.
    Monsieur Moyen est prêt à écouter les opinions les plus extrêmes si celui qui les lui présente n'est pas lui-même un extrémiste, s'il est manifeste qu'il n'a rien à vendre, et qu'il ne cherche à embrigader personne.

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    1. Tiens, oui, essayons
      Je pourrais toujours chercher refuge en Helvétie si on me discrimine pour mes opinions
      Mais on me dit dans le cornet acoustique que c'est la SEULE opinion dont on puisse/doive discriminer le porteur
      Pour avoir l'asile politrouk chez vous, ce sera pas blanc bleu, faudra que je me déguise en maquereau kosovar..... savoir si le conseil des sages des 13 cantons me renverra à Mitrovica ?

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