2 août 2012

Nouveau: la séducfion


Il y a quelques jours, me promenant dans les rues d’Avignon pendant son festival, j’ai vécu l’expérience troublante de pouvoir poser le regard non seulement sur les femmes qui y déambulaient, mais aussi, quelquefois, directement sur la raie de leurs culs. En tant que citoyen moyen, je me suis dit que je tenais là un privilège jadis réservé aux conquérants.

Détaillons la chose et tâchons d’être précis : les exhibitions fessières sont le fait des femmes jeunes, parfois des très jeunes filles. Les femmes plus mûres, moins soumises à la compétition sexuelle que le libéralisme des mœurs répand partout, restent assez discrètes. Pour l’instant. Ou peut-être luttent-elles avec d’autres armes, plus à leur main ? Depuis quelques années, les premiers jours de soleil semblent libérer une fureur exhibitoire qui prend chaque printemps un tour nouveau, et chaque fois une intensité plus forte. Un esprit mesuré comme le mien n’ose plus se demander « jusqu’où iront-elles ? », de peur d’entrevoir mentalement les réponses, et de finir à l’asile.
Si les années 1990 furent celles d’un retour des robes à fleurs, légères, printanières, campagnardes et bigrement suggestives, robes qui rappelaient les images des jeunes femmes de 1945, la donne a radicalement changé depuis l’irruption du tatouage, du piercing et l’abandon consécutif de presque toute pudeur corporelle. Mécaniquement, la sotte donnant beaucoup de prix au tatouage qu’elle s’est fait faire sur la hanche, elle ne résistera pas à l’envie de le montrer, dévoilant par conséquent une partie d’elle-même habituellement cachée. Et comme l’esthétique des films de boules trouve dans la population jeune des réceptacles enthousiastes, le tatouage féminin se porte dorénavant au creux des reins, sur le précipice pubien et bientôt peut-être, au beau milieu du fion. D’où la rage de tout montrer que l’on constate.

Pour tout homme normal, c'est-à-dire pas encore blasé, non moderne, le spectacle de sillons fessiers inconnus est une torture. C’est d’abord une torture physique de nature sexuelle, une stimulation qui ne sera jamais suivie d’effet. Une femme t’expose la raie de son cul sous la moustache, ouvrant les vannes de la testostérone dans ton froc, mais sous la surveillance zélée de la Loi : pas touche ! Charme de la liberté d’aujourd’hui, toute tentation est légitime, toute consommation se paie cher. L’Antiquité, très au fait de la physiologie humaine, qualifiait au moins la technique de Tantale de supplice. C’est aussi par conséquent une torture morale, au sens où l’homme-spectateur-involontaire se voit rabaissé au rang du petit garçon dans un magasin de jouets, exposé à une offre toujours plus agressive sans avoir le moyen de participer réellement à la fête.

Sur une petite place remplie de monde, où l’on buvait une bière à l’ombre des platanes, quatre pimbêches à raies publiques passent entre les tables, à la recherche d’une place libre où poser leurs derches. Littéralement, les gens attablés se retrouvent avec un quatuor de culs presque nus au niveau du pif. Soudain, j’entends une de ces garces dire aux trois autres « c’est bon, ça me soule, y’en a qui matent ! ». S’ensuit une brève engueulade avec un des occupants d’une table, à qui l’une des filles annonce « c’est pas dans tes moyens, bouffon ». Elle parlait de son cul, après avoir parlé avec. Drôle en soi, la scène devint instructive au moment où l’une menace « d’appeler les flics, putain » si les regards du genre humain ne cessent pas immédiatement de se poser sur ce qu’elle montre pourtant avec ostentation.


Plus encore qu'un narcissisme débridé, c’est la schizophrénie de notre époque qui s’étale ici. Schizophrénie du système qui donne la liberté de montrer (au nom de quoi l’interdirions-nous ?) et qui traque comme jamais celui qui regarde, celui qui commente, celui qui s’indigne. L’actualité parlementaire nous a averti que la loi sur le harcèlement sexuel est de nouveau opérationnelle, prête à servir. Les harceleurs sont prévenus, très bien. Mais qui prendra en compte les plaintes des gens ordinaires qui se considèrent harcelés par les adolescentes en débardeurs, les jeunes au nombril à l’air, aux hanches débordantes, ou celles qui déballent en public leur petit trésor culier ? Quelle cellule de soutien psychologique aidera les victimes des stimulations publicitaires, celles des unes de magazines, les gens agressés quand ils regardent un film réputé grand public avec leur grand-mère, et qu’apparaît subitement une paire de fesses en action, au milieu de gémissements surjoués ?

Notre situation s’apparente à la montée aux extrêmes de Clausewitz :
1) la liberté individuelle repousse sans cesse les limites de ce qui est permis,
2) après que la publicité et la mode ont fourni des modèles, le marché assure à chacun les moyens de faire ce qu’il veut (micro jupe, string, tatouage fessier, piercing vaginal)
3) le fond anthropologique de l’homme restant cependant le même, il se voit sans cesse contrainte de contrôler et retenir ses désirs, alors que tout vient en permanence les exciter
4) les partisans de la liberté, et surtout ses praticiens, réclament donc toujours plus de protection pour eux-mêmes, et de sanctions contre les salauds.

Nous en sommes même arrivés à ce qu’une apprentie ministre envisage d’abolir la prostitution dans un pays où le porno est illimité, gratuit et accessible en un clic sur Internet. Liberté des pornocrates et de leur impressionnant business ; sanction de l’utilisateur qui veut se faire faire une turlute, comme dans le film ! Quand on retrouve aussi souvent la schizophrénie dans un système, c’est qu’elle en est une perversion intrinsèque, comme celle qui consiste à autoriser la vente de véhicules dépassant le 200 km/h, en installant partout des radars tarés à 130…


Le libéralisme des mœurs offre énormément d’avantages. Il a aussi des inconvénients mais, pour des raisons de correction politique, il est interdit d’y faire allusion, sauf à dénoncer les cochons qui ne jouent pas selon les règles.
Une étudiante belge fait en ce moment parler d’elle avec un film présentant l’ignoble attitude de certains hommes à son égard, quand elle se promène par les rues de Bruxelles. Le film la montre victime d’insultes, d’insinuations, harcelée par des dizaines d’emmanchés en pleine rue. Les apostrophes sont tellement dégueulasses que beaucoup en viennent à douter de leur authenticité, et que ces choses-là n’arrivent pas en France. Ces choses-là arrivent, hélas, partout où il y a des hommes, des femmes, et de la frustration.

Entre les femmes qu’on agresse verbalement et les hommes qu’on excite incessamment, il ne reste bientôt plus de place pour la raison, pour un équilibre, une décence commune qui permettrait qu’on profite de l’incomparable spectacle des femmes, et qu’elles jouissent tranquillement d’être regardées, comme la nature les y dispose.



26 commentaires:

  1. kobus van cleef2 août 2012 à 23:05

    et je te cause pas de mes chose-frères gynécologues qui en voient et en sentent de toutes les couleurs.....

    moules rasées, tatouages labiaux....et les exigences.....il leur faut l'adresse du mec qui peut leur resserer la moulasse ou leur réduire les lèvres ou leur refaire l'hymen....pasque gonfler ou réduire les nichons , c'est plus l'exception, c'est devenu la règle.....genre mise en bouche, préalable indispensable à une vie sociale équilibrée c'est à dire revencharde et conformiste , où on fait tirer la langue des mateurs....

    dejà vu à quoi ressemble une chatte infibulée ?

    non ?

    j'en étais sûr

    hé bien d'ici quelques années ça deviendra la norme, et filles femmes et mères se baladeront avec du métal au fond de la culotte....ça promet au passage de la douane dans les aéroports.....les alarmes vont sonner souvent !

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  2. Salope !

    Alors comme ça on a une bite à la place du cerveau…,hein ! La prochaine fois qu'une femme vous sort cette connerie demandez lui de remonter son froc.
    En plus il y a des enfants en ville.

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  3. Merci pour dire si bien ce qu'on ressent tout bas (!) Moi qui pensait mettre fin à mes jours ce soir...

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  4. Très vrai.

    Moi j'ai solutionné ce problème, je me sert uniquement de ma main, fini les culs et cerveaux flasques, les pouffiasses strings apparent, l'imagination y a que ça de vrai, et les ampoules à la main aussi, heureux les ambidextres.

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  5. L'anecdote du troquet est intéressante -même si hélas peu surprenante-, mais le point de focal de cette histoire, c'est surtout la psychologisation intensive des rapports humains.
    Quasi psychiatrisation même.
    Et qui y échappe ? Même ici, je veux dire.
    J'ai déjà vu dans l'espace commentaires de CGB des rédacteurs de votre blog accuser sur la foi de trois mots des internautes (peut-être indélicats) de frustration.
    Frustration de planqué, of course.
    C'est l'insulte suprême et l'analyse psychologique réductrice la plus usitée..des pétasses dans un troquet, Soral sur Dantec, Dantec sur Soral, Xix sur un quidam commentateur...qui y échappe réellement ?
    Là où un professionnel de la psychiatrie met parfois des années à émettre un diagnostic précis sur un de ses patients, une micro phrase permet de te déterminer comme frustré et, quelque part, potentiel dictateur.
    On peut bien sûr faire le choix de chier sur la psychiatrie, mais dans ces cas-là on évite d'utiliser le kit pour débutant, sinon on est hypocrite.

    Quand le bling-bling, la psychanalyse de comptoir et Bernays rencontrent Cosmo sur fond de série télé américaine et de raillerie permanente.

    Moi, j'habite Paris, et ayant été élevé aux séries télé des années 80, aux comics de super héros et à "Chapeau melon et bottes de cuir", je reconnais que les vêtements serrés et les accessoires peuvent me monter à la tête.
    Ouais, par moment quand je marche dans la rue, je suis un frustré.
    Pas besoin qu'elles soient à moitié à poil...et d'ailleurs, il n'y aurait pas là un autre hic ?
    Honnêtement, des filles qui causent comme celles de l'anecdote du troquet et qui se vêtent de la même façon que les ignobles photos qui illustrent l'article sont-elles réellement désirables ?
    Pas vraiment, ce qu'on ressent c'est de l'embarras et du dégoût ; pas de désir ici, désolé.

    L'émancipation obligatoire n'est pas une bonne chose, mais des constantes culturelles ne pourront jamais donner la classe à des personnes qui en sont totalement dénuées.

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  6. Fais pas le con, Anonyme de 23h30, viens souffrir avec nous !

    KOBUS, imagine quand tes chose-frères vénéro auront découvert le secret du grossissement pénien... Les gonzes baladant leur engin par dessus le pantalon, comme un pan de chemise, histoire qu'on en profite...

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  7. Allons, padamalgame, ce genre de filles donnent l'impression d'être majoritaire car ce sont des "matuvu" en plus d'être l'incarnation absolue de la stupidité, et les filles biens ce sont les plus discrètes.

    une fois je m'en suis attrapé une, une tatouée à ficelle apparente, et au pieu, cétédlamerde, ça bouge pas et vous avez l'impression de vous tapez un cadavre, si j'étais médecin légiste j'aurai eu l'impression de faire des heures sup.

    le seul moment d'échange culturel était en position de levrette, en lisant ses tatouages au creux de ses reins.

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  8. Tutafé, JAMES, l'accusation de frustration est ridicule, car on ne saurait reprocher à quelqu'un de ne pas assouvir ses désirs (besoins?), ça n'a pas de sens. Du reste, comme le dit Camus, "un homme, ça s'empêche", c'est à dire que ça ne fait pas n'importe quoi, ça ne cède pas à ses envies de façon brutale, ça se maîtrise.
    D'un certain point de vue, le contrôle de soi et l'éventuelle frustration peuvent donc probablement être considérés comme marques de civilisation, et c'est peut-être ce qui manque aujourd'hui à nos connards tatoués et nos connasses en slip : ne pas laisser ses désirs engloutir la décence, le savoir-vivre, etc. (Ceci dit, je ne connais absolument rien à la psychiatrie, et j'utilise le mot frustration en dehors du sens qu'on lui donne dans cette discipline)
    Personnellement, je l'avoue, quand je ne cède pas à l'envie de foutre mon pied au cul à mes contemporains, je suis frustré. D'où des textes vengeurs !

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  9. Après la lecture de cet article, j'avais plein de vannes de culs, sur les grosses à gloss, les rachitiques à ratiches d'une fourchette, les lolitas allaitées ou les tatas à tatouages, mais il faut que ça change. Je ne vais pas indéfiniment passer ma vie à zaziner des lazzis sur les zizis.

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  10. kobus van cleef3 août 2012 à 23:47

    @ fantome de cendrars

    ça existe déjà , les plasties péniennes....
    pas franchement efficace ni fonctionnel
    les mamelles on peut les gonfler, pas de necessité fonctionnelle ...
    pour la zezette , il faut que le sang circule dedans, de façon discontinue et que l'urine puisse couler...avec corps étranger dedans,ça se complique...

    non,non , le gros zob en dehors, c'est de la légende...

    souvenons nous de ce que disaient les grecs antiques ( dont la nudité s'accompagnait de l'escamotage du gland sous le prépuce ) "avant , les athlètes avaient la fesse haute et la verge petite , aujourd'hui ils ont la fesse basse et la verge grosse"

    façon de dire "c'était mieux avant"

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  11. kobus van cleef3 août 2012 à 23:51

    @ james

    frustration ?

    non ,non

    sens du ridicule atrophié....plutôt.....

    se balader la raie à l'air , ça peut valoir le coup pour se l'aérer , en gros pour que ça sèche plus vite , voyez ?
    mais chez une fille étanche , normale quoi, point n'est besoin
    du coup, lorsqu'on voit une moukère avec la raie à l'air ( et non la raie au mur) on se dit qu'elle a un excès de sécrétions culières....d'où moiteur , odeur...pouacre....

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  12. @James : "tu n'invoqueras pas le nom de Xix en vain" disent les Écritures.

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  13. Trouvé sur un forum :
    Les gros pénis n'ont pourtant pas toujours fait rêver. Pour les Grecs, un homme viril devait être doté d'un petit sexe. Pour Aristote, un organe trop long était même synonyme de stérilité ! Aujourd'hui encore, chez les indiens Desana-Tukano, en Colombie, seuls les hommes dont le sexe a la taille d'un colibri peuvent accéder à un statut socialement valorisant. Le regard porté sur la taille du sexe de l’homme a donc varié selon les époques, les cultures…
    ————
    Ça par contre c'est de moi :
    Un jour dans une émission télé j'ai eu une explication sur les statuts de la Grèce Antique affublée de petites bites.
    Ce serait lié à l'esclavage, l'esclave noir (plutôt bien équipé), était considéré de par la taille de son membre plus proche de l'animalité que le grec.
    Si il y a des cultivés pour confirmer ou infirmer (?)

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  14. avec le voile ses problèmes ne sont pas de mise et la frustration est absente

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  15. Pour l'homme mahométan ! Mais pour la femme sans possibilité de séduction ? Et de toute façon, je ne suis pas certain que le muslim ne soit pas une centrifugeuse à frustrations.

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  16. Il y avait des esclaves chez les Grecs mais ce n'était pas des noirs Module Etrange. C'étaient d'autres européens et le plus souvent même d'autres Grecs.

    Pas besoin d'avoir un africain à poil sous les yeux pour se faire la réflexion concon "grosse bite = grosses pulsions = animalité".

    D'autant que les noirs à grosse bite c'est un mythe, suivant les sources les bites blanches/noires se valent, les noirs sont devant d'1cm, pas un truc de malade, et même l'inverse selon Durex.

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  17. Momo, je ne fais pas partie de la caste à laquelle tu quémandes conseils, toutefois, j'ai bien envie de l'ouvrir quand même, c'est pas tous les jours dimanche hein.

    sur le sujet, les avis ... divergent.
    en vrac, commençons par : Priape, dieu de la fertilité, des jardins et des troupeaux.
    monté comme un âne, fils d'Aphrodite, père inconnu (Zeus, Dyonisos voire Adonis, on n'est pas sûr (on meurt bien saoul)).
    représenté avec un sexe gigantesquement bandant. on raconte qu'Hera la malveillante l'aurait doté de ce membre difforme en raison de sa jalousie de la trop bonne Aphrodite.
    étrangement, ce bon Priape ne pouvait pas encadrer l'utile animal, on en sacrifiait pour lui.
    plusieurs explications de cette haine nous sont données, dont la plus fameuse : une embrouille avec un âne doté de parole par Dyonisos en comparant leur engin.
    Priape buta l'benêt destrier en constatant ses attributs.
    du coup les statues de ce dieux ont le gourdin bien raide.
    les sculptures antiques pour nombre sont des offrandes aux dieux. cette religion ne reposant sur aucun texte sacré, les mythes sont souvent multiples.


    à cette époque dans cette région du monde, les canons de beauté gravitent autour de la beauté naturelle et parfaite. les artifices ne comptent pas.
    les grecs sculptaient non seulement le bois le marbre le bronze, mais également, et surtout, leurs propres (dans tous les sens du terme) corps.
    ils ont le culte du corps, les hommes doivent être musclés et volumineux.
    les sculptures sont la représentation de cet idéal de beauté.
    idéal vers lequel il faut tendre. vers lequel il est possible de tendre.
    et autant on peux se faire gonfler les cuisses et les pectoraux, autant la queue, c'est plus compliqué...
    même de nos jours évolués.
    donc la taille de la bite n'entre pas dans les canons de beauté, car on ne peut la faire évoluer par ses efforts, intellectuels ou physiques.
    "nous" sommes en plein dedans, je vous invite à vous renseigner sur les jeux olympiques antiques. juste un petit mot sur les athlètes, considérés comme de vrais héros : "(...) Une autre cité n'hésite pas à abattre une partie de ses murailles pour faire entrer son champion par une porte par laquelle nul autre n'est jamais passé auparavant"
    c'est ce qui me parait le plus juste.


    on peut lire parfois des gens évoquer la fragilité des extrémités, et pour éviter la détérioration du précieux, ils le faisait petit.
    il est vrai que nombre de statues ont perdu leurs mains, bras, jambes. mais la raison citée n'est pas sérieuse.
    d'une part, beaucoup de sculptures étaient destinées aux temples, et elles n'avaient pas en bouger.
    d'autre part, pour celles qui en sont toujours dotées, les doigts sont souvent précis et détachés les uns des autres.

    on entend effectivement parler de rapport à la bestialité / sagesse.
    représenter les hommes (et les dieux surtout, n'oublions pas) tel quel montrerait leur sagesse, la domination de l'esprit sur les instincts.
    leur humanité en somme.
    aussi, certains prétendent que ce serait dû à une représentation juvénile, synonyme de santé, force, vitalité, fertilité.


    Enfin, même si la bien pensance finira par vouloir nous faire avaler (sic) que toutes les bites se valent, naissent libres et égales toussa toussa, dans les faits, nous savons bien que les peuples ne sont pas lotis de la même manière.
    pourquoi la Nature a fait évolué les uns et les autres différemment sur le sujet, je n'en sais foutre rien, mais ce qu'il y a de certain, c'est que ce n'est pas en quelques petits siècles que les grecs ont vu leurs sexes grandir, car je peux vous dire que j'ai moi même connu un grec ...
    qui m'avait dit qu'il en avait une grosse, je ne l'ai pas vue hein, pas d'analgame.

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  18. Il y a la noble frustration qu'on s'inflige, et celle qui est infligée par un vieux dieu sénile et vicelard (qui consiste par exemple à empêcher des hommes d'avoir des rapports sexuels avant de pouvoir se marier).
    Cf. les hordes de frustrés égyptiens qui se précipitent pour fourrer leurs doigts dans des orifices de passantes (voilées ou pas) quand ce ne sont pas des orifices de fillettes, de petits garçons, de chèvres ou de poules.

    On est loin de l'homme camusien.

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  19. kobus van cleef4 août 2012 à 22:27

    enfin, tant que les filles s'exposent mais que c'est pas la mienne, hein
    la putinisation des filles d'occident est à peine croyable et serait même jouissive si on était des spectateurs extérieurs...
    mais le hic, c'est qu'on est en plein dedans

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  20. Intéressant, ok je veux bien pour l'Africain qui serait à peine plus équipé que les autres…


    "MON CUL!!"

    Y en a qui ont fait l'armée ici je suppose; un mec de la chambrée (1,70cm donc pas une armoire) une demi-baguette entre les jambes, perso jamais vu ça chez un européen.
    Ensuite, c'est quand même pas moi qui fait les castings de boules, j'ai pas la berlue ! mais dans la catégorie grosse teub y a pas de chinois ?
    C'est même un peu raciste d'ailleurs quand on y pense, ils sont quand même 2 milliards :))
    Et les libérés du cul, les passionnés de la partouze, échangistes, ect… sur qui ou plutôt sur quoi fantasme les femmes (?) l'andouillette de Bamako
    La preuve : http://youtu.be/EAz3tkI6k2Q

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  21. Hé, Module étranger, vise un peu ça et appelle la Halde :

    http://www.jeanmarcmorandini.com/article-289957-l-homme-au-plus-grand-penis-du-monde-se-fait-fouiller-a-l-aeroport-pour-colis-suspect.html?page=1

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  22. Bon les mecs, on va se calmer ! Un peu de délicatesse, bon sang ! Bien que ce soit surprenant, on a quand même quelques lectrices au CGB, alors arrêtez de disserter longuement sur les différentes formes de sgegs depuis l'antiquité... surtout entre mecs ! Ce n'est pas un forum Gay ici.

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  23. C'est la faute des bannières homosexuelles que vous m'obligez à produire à la chaîne, ça !

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  24. Pour participer au refroidissement général et au retour à l'hétéro-normé du débat voici ma théorie sur ces histoires de gros zgegs noirs : le mythe du noir à grosse queue viendrait de leurs proportions au repos. Venant de contrées chaudes ou l'organisme n'a pas peur de perdre des bouts pour cause de gel des extrémités ils sont prédisposés à se balader avec la bite à l'aise, quand celle des blancs ayant bien pris note des différentes possibilités offertes aux membres en cas de froid extrême attend le moment M pour se déployer.

    Quand aux asiates, là je crois que les racontards, les études, les marques de capotes et les films pornos sont malheureusement d'accord : ils ont tiré la courte paille.
    Drame de la consommation de soja, timidité anthropologique, acharnement divin, les pistes sont multiples.

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  25. kobus van cleef6 août 2012 à 10:10

    ouhé...l'aut' .....forum gay , il attige un peu ,non?

    on se renseigne , c'est tout.....

    que les gourdasses libérées ( mais de quoi , hein, de quoi sont elles libérées ? personne ne m'a jamais dit de quoi)se tripotent le maujoint en espérant la queue de l'esclave sénégambien qui leur repassera tous les plis de la moniche bien bien .....why not

    mais que le plaisir soit uniquement physique....j'ai un peu de mal à le concevoir

    bien sûr y a des récepteurs à stimuler , des boucles reflexes à enclencher , des sécrétions à provoquer

    mais sincèrement , je pense pas que ça s'arrête là , ni que ça commence là

    plus j'avance en âge ( demi centenaire , là , et une sylve immaculée qui grimpe de mon nombril vers mon thorax )plus ma queue est grosse au repos et plus elle tarde à être en action.....

    quel est exactement le rôle de la taille du zguègue dans l'espèce humaine ? l'utilité , je veux dire , d'un gros zob par rapport à un plus modeste ou à un minuscule comme les asiates ( quoique...) ? est ce que ça permet d'engrosser plus de fumalles , d'asservie plus de moukères?

    bon, on pourrait penser que la possession d'un gros zob soit indispensable à la multiplication des générations ? un peu comme les gros seins ou les grosses fesses chez la femme ?
    contre exemple , les noiches !
    là bas, elles sont livrées sans
    sans fesses , sans seins, sans cuisses ( à tel point que ma fille, sèche comme un os , fait figure de pulpeuse extrème , fantasme de gardien de harem )
    et les hommes sont aussi livrés sans
    ( voui , les chiottes sont agencés de telle sorte que.....je sais, la curiosité est un vilain défaut , mais c'était une curiosité quasi anthropologique quoi )

    et d'ailleurs si c'était le cas, je veut dire si la taille du pénis faisait la fertilité du truc , y aurait plus un seul noiche sur terre
    ou si la taille du zob faisait la jouissance de la moukère, y aurait plus une seule noichesse a s'accoupler avec un jaune , elles auraient toutes foutu le camp en afwique

    est ce le cas ?
    y a-t-il des charters de mignonnes bridées se posant à bamako , la ciprine ruisselant sur les sièges des avions ? que nenni

    alors ?

    bref

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  26. Ah, voilà un article très intéressant. Je suis content de ne pas être seul. En effet, j'avais déjà théorisé, dans mon humble cervelle, le concept de "harcèlement passif" féminin.

    Avez-vous écouté France Culture ou France Inter cet été? Moi qui n'écoute plus ces radios depuis fort longtemps, j'ai eu la curiosité d'y retourner. J'ai été servi: Pornographie et Féminisme tous les jours. Deux exemples significatifs:

    - Un dimanche (jour du Seigneur), à midi (!!! heure où les enfants sont réveillés, il me semble, et où la famille s'apprête à passer à table), une émission sur France Culture où l'on parle de pornographie, comme d'un domaine culturel valable...

    Le lendemain soir, sur France Inter, le "téléphone sonne" avec une féministe qui explique à ces salauds d'auditeurs-téléphoneurs qui disent 'quand même ces filles qui s'habillent à moitié nues, elles pourraient faire attention, après faut pas qu'elles s'étonnent' qu'ils sont plus ou moins des fascistes, et que la rue, après tout, est "à tout le monde" (dixit la connasse en question).

    Oui, la rue est à tout le monde. Justement.

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