26 mai 2012

La jeunesse a de l'avenir

11 commentaires:

  1. Et en plus à ce prix là , même les chômeurs peuvent en profiter ! La boucle est bouclée . Merci Popôle .

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  2. Rhôôôôôô! Vous êtes cons! Mais qu'est ce que c'est drôle!

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  3. Je parie que ce sont des Lady Boy (la preuve le tatouage sur le bras de celle de droite)

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  4. Il se pourrait bien, en effet, que ces jeunes là soient mieux armés pour les entretiens d'embouche... ils sont en terrain connu.

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  5. kobus van cleef28 mai 2012 à 23:19

    sur l'organe un chosetributeur prétendait que la submersion ethnique allait faire baisser le tarif des pipes sur les maréchaux

    question de concurence à la baisse , un truc comme ça , voyez

    ceci dit c'est recevable seulement si on est habitué des dames des maréchaux , en gros , si on ne rejette pas la sujettition ethnique

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  6. Rouvrez les maisons closes , bordel ! merde à Marte Richard salope féministe ! pour nous c'est au bord du periph avec des thons, et pour les bourges c'est les belles filles de l'Est à 4000 la nuit avec toutes options
    FK, extra-ball, massages , spa et tout et tout…

    "Salauds de pauvres"

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  7. Pour les putes l'Allemagne c'est la paradis .
    Si tu aimes ta femme ne met jamais les pieds là-bas !

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  8. Décidément, dans nos sociétés, le sexe représentait bel et bien un second système de différenciation, tout à fait indépendant de l'argent; mais il s'agissait d'un système de différenciation au moins aussi impitoyable. Les effets de ces deux systèmes étaient d'ailleurs strictement équivalents. Tout comme le libéralisme économique sans frein, et pour des raisons analogues, le libéralisme sexuel produisait des phénomènes de paupérisation absolue. Certains faisaient l'amour tous les jours, d'autres cinq ou six fois dans leur vie, ou jamais. Certains faisaient l'amour avec des dizaines de femmes, d'autres avec aucune. C'est ce qu'on appelle la "loi du marché". Dans un système économique ou le licenciement était prohibé, chacun réussissait plus ou moins à trouver sa place. Dans un système sexuel où l'adultère était prohibé, chacun réussissait plus ou moins à trouver son compagnon de lit. En système économique parfaitement libéral, certains accumulaient des fortunes considérables; d'autres croupissaient dans le chômage et la misère. En système sexuel parfaitement libéral, certains avaient une vie érotique excitante et variée, d'autres étaient réduit à la masturbation et la solitude.

    Le libéralisme économique, c'était l'extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société. De même, le libéralisme sexuel, c'était l'extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société. Sur le plan économique, Raphaël Tisserand appartenait au camp des vainqueurs; sur le plan sexuel, à celui des vaincus. Certains gagnaient sur les deux tableaux; d'autres perdaient sur les deux. Le trouble et l'agitation étaient considérables.

    http://youtu.be/EGKlDDd-VqA

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  9. kobus van cleef2 juin 2012 à 22:49

    @ thomas

    que les chômistes longue durée en profittent, ça me défrise
    élitiste dans l'âme, je me contrefous que des mendiants sexuels aillent gicler entre des cuisses mercenaires, mais républicon et ancien gauchiasse , j'ai , comme dominique grosse boutique, la prostitution en horreur

    @ étrange module ( référence à dune?)

    c'est le libéralisme sexuel qui a créé cette vénération du sexe facile, immédiat et récréatif

    pas que je conteste cet aspect du sexe , voyez

    mais son aspect immédiatement récréatif et gratifiant paraît un peu tiré par les cheveux....
    difficile de croire que 100%des rapports avec une nouvelle partenaire sont couronnés de succès...
    loin de moi l'idée du/de la partenaire unique, de la fidélité et de tout ce bouzin médiéval destiné à attacher l'homme à la femme pour faire prospérer la société, faire des mioches, les élever...d'ailleurs les mariages médiévaux ne duraient pas lerche , guerres, épidémies,enlèvements, morts en couches,esclavage, malnutrition, accidents, ça interrompait brutalement le cours de la vie à deux.....

    simplement la consommation compulsive façon dominique grosse boutique ( strauss kahn grosse bécane)ne doit pas être si gratifiante que ça puisque , par définition, on recommence de façon infinie

    on a même inventé des trucs pour triquer ( riche allitération, truc pour triquer)qu'on distribue avec générosité aux chefs tribaux pachtounes ( les ceusses qui font le cul des petits garçûs là bas dans ces régions bientôt retournées au chaos originel) et on a inventé le corollaire , la sexodépendance...
    qui se soigne, malgré tout....
    sans viagra

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  10. kobus van cleef a dit…
    "@ étrange module ( référence à dune?)
    Affirmatif .
    ————
    N'en ce que j'aime dans ce film c'est que c'est un peu mon parcours.
    Dans mon cas c'est pas la sexodépendance, mais plutôt la sexo-abstinence.

    La fréquentation de temps à autres de prostituée me dégoute, et le rapport qualité prix est très mauvais en plus, c'est un pis-aller.

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  11. kobus van cleef6 juin 2012 à 18:42

    @ module etrange

    j'en cause sans savoir

    jamais je n'ai eu recours à ces dames mercenaires au grand coeur

    enfin....il paraît que les anciennes respectueuses l'étaient...mais c'est pas avéré....le fait est que les jeunes déesses est-européennes et les boutique-mon-cul négroïdes ne donnent pas cette impression....les unes sont craintives, les autres causent comme à abidjan agressives , dans l'attente du grotto

    de fait je ne peut pas juger à propos du rapport qualité prix

    je me souviens que fascisme fun en avait causé , de façon désopilante en comparant le prix de la passe au smic horaire....

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