Un prof de mes amis m'a passé ce document. Il enseigne en ZEP de banlieue et a un jour trouvé ce papier dans son casier.
Une bonne femme s'improvise "coach" pour élèves et, sans doute pistonnée par l'encadrement, propose ses services aux lycéens. Qui paye ? C'est toute la question... mais je vous laisse savourer le lexique anglo-saxon de cette faiseuse de winners :
Quand il ne reste plus rien dans les temples du savoir, les marchands commencent à s'y installer (je n'en dirai pas plus sur le patronyme de la donzelle ni sur son CV à base de PNL/care/citoyenneté et autres fumisteries de marabouts 2.0).
nulle mention des honoraires demandés par la préceptrice
RépondreSupprimer" nulle mention des honoraires demandés par la préceptrice "
RépondreSupprimerUn coup de pied au cul de l'heure. Tarif syndicale.
Quand il n'y a plus d'adultes, alors commence le règne des experts
RépondreSupprimerC'est pour son CV, elle habite une ville bourgeoise, c'est là qu'elle a son cabinet. On voit les mecs d'HEC faire pareil avec des stages dans l'humanitaire
RépondreSupprimer( ceci dit, y'a bon les subventions )
RépondreSupprimerCe qui est surtout incroyable, c'est que ce genre de "coach" ait pignon sur rue: j'en veux pour preuve le "inscrivez-vous auprès de votre conseiller d'éducation", ce qui sous-entend que son offre est publiée dans l'établissement et que le dit "conseiller d'éducation" (de mon temps, on appelait ça un préfet de division) est de mèche.
RépondreSupprimerEn gros: "on sait que ça marche pas mais ne vous inquiétez-pas, il y a des heures d'accompagnement déductibles fiscalement".
Et c'est encore nous qui paye!
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