14 décembre 2010

Une justice gangbang


Pendant que le repris de justesse Eric Woerth prépare sa saison en affaires sur les sièges capitonnés de l'Assemblée Nationale, alors que Silvio Berlusconi est toujours le parrain en chef de l'Italie, en France, la justice vient de condamner une jeune fille pour avoir été sexuellement agressée par son voisin du dessus. La victime (pervers récidiviste), sortie des prétoires, prison avec sursis sous le bras, a en effet été autorisée par le tribunal à continuer à cohabiter avec sa salace voisine du dessous, et nous parlons bien de Kama Sutra...
La jeune femme qui vient d'interjeter appel, devrait à coup sûr se voir condamner à une injonction d'éloignement, qu'elle réclame injustement à cor et à cri contre sa victime, dans les semaines à venir. Nous pensons que ce serait un minimum... Nous rappelons à tous nos lecteurs, malgré l'adage nul n'est censé ignorer la loi, que l'agression sexuelle n'est pas un crime dans notre pays. Combien de jugements faudra-t-il pour enfin, définitivement réhabiliter le viol et banaliser l'attouchement sexuel ?
On attend impatiemment la prochaine journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, dont la juge de première instance, en l'espèce, doit certainement être, pour coroner le tout, du moins nous amusons-nous à le penser, l'un des plus beaux spécimens de militante engagée.

7 commentaires:

  1. et les policiers municipaux enchaînés dans leur commissariat hein ? Même pas une petite pensée émue pour eux.

    RépondreSupprimer
  2. "Toutes des putes! En ce qui concerne le viol, si elles le subissent, c'est, d'un point de vue heleno-marxiste, qu'elles le méritent! Et, sans se mentir, on sait très bien, depuis l'âge de pierre, qu'elles aiment ça!"

    Alain Soral, grand écrivain, sociologue de renommée internationale

    RépondreSupprimer
  3. La justice doit penser que ce fabuleux destin est somme tout bien normal au pays des Droits de l'Homme et du Psychopathe Dangereux.

    RépondreSupprimer
  4. Pas bien capté sur quoi se fonde le dernier paragraphe du texte. Dans l'article du Figaro y a marqué les juges et pas la juge. L'intime conviction que les nanas y sont quand même pour quelque chose ?

    RépondreSupprimer
  5. Maure Aline la coquine16 décembre 2010 à 00:23

    Franchement Anonyme ça craint ton truc. C'est pas beau d'obliger Soral à cracher le morceau. Il était peinard, décontracté du gland, à causer tranquillement des dialecticiens talmudico-sionistes qui font braire depuis 2500 ans et qui après s'étonnent d'avoir des problèmes et toi, on sait pas bien comment, tu viens le faire chier avec les putes, les femmes ou les morues... Je sais même plus à la fin tellement tu m'énerves.

    RépondreSupprimer
  6. "Pas bien capté sur quoi se fonde le dernier paragraphe du texte."
    le reportage de TF1...

    RépondreSupprimer
  7. OK c'est sur TF1, mais comme on peut pas le voir ce reportage, vous pourriez peut-être nous faire un digest ? Ca nous permettrait nous aussi de nous amuser à penser que "la juge" est un spécimen de militante engagée. Resterait ensuite à savoir pour quoi elle milite.

    RépondreSupprimer