Un intéressant documentaire, dans lequel, surtout dans la première partie, Jean Bricmont revient sur la transformation du discours de la gauche française, une fois le tournant de la rigueur négocié, vers un positionnement exclusivement moraliste.
Jean Bricmont : de la gauche morale
envoyé par clap36. - L'actualité du moment en vidéo.
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Intéressant. Mais mon intellectuel français préféré reste Marc Dutroux.
RépondreSupprimerClap 36. Ca vaut le coup d'oeil.
RépondreSupprimerUn (sous)Soral belge!
RépondreSupprimerIl est très pénible à écouter. Pourquoi il parle comme Darth Vader?
séb
Le tournant, c'est la real-politik. C'ets le concept qui tue l'idée de marxisme dans toute la gauche française…non, européenne.
RépondreSupprimerVous avez vu comment qu'il est gras et suffisant ce type ? Camper triple menton et bide en avant devant sa bibliothèque de salle à manger, si c'est pas de l'indécence commune... Pas étonnant que ce qui était visible depuis le gouvernement Fabius lui vienne seulement maintenant et lui permette de ce faire reconnaître par les potes à Dieudo . Entre neuneus normal qu'on s'auto-CONgratule...
RépondreSupprimer…donc, pour être crédible, il faut être maigre et au comptoir d'un bistrot. Ce que j'en conclus de l'inanité ci-dessus.
RépondreSupprimer(Pas dit que je le croyais, juste que s'il faut l'attaquer, autant le faire sur des vrais arguments. La gauche avait déjà perdu sa crédibilité, bien avant la rigueur. Là, elle s'est juste déculotté.)
Pour "être crédible" il suffit juste de ne pas ramener sa fraise 25 ans après la bataille. Si ces conditions sont réunies, même avec 130 kilos de graisse sur une serviette à Palavas-lesflots, on ne risque pas de passer pour un gros con interviewé par plus gros con que soi.
RépondreSupprimerChouette ! Enfin, on arrêtera d'analyser quoi que ce soit !
RépondreSupprimerPour tout dire : je n'ai pas pris le temps d'écouter les 21 min. jusqu'au bout. Ceci dit, il est toujours intéressant d'entendre les acteurs de l'époque, parties prenantes, se rendre compte qu'ils ont été floués. Pas sur le fond ; parce que finalement, on ne parle jamais de fond passé un certain stade politique, on maintient ce qui existe, mais même sur la forme.
C'est aujourd'hui que cette analyse est intéressante, parce qu'on se rend compte qu'il y avait encore des gens pour croire à une idée de société, à l'époque.
Ici, il a été trompé.
Mais plus personne n'a de projet aujourd'hui, à part aider les copains…
Mais tout ça a déjà été dit mille fois mon gros béta ! Mais comme la bande à Soral et Dieudo vise les petits jeunes de banlieue, forcément y a ce coté on se la joue "nouveau et intéressant" qui ressort. Remarque bien, ils ont pas tort, y a un public pour ça.
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