Extrait du documentaire de Cathy Sanchez, « La Cité du mâle ».
Lorsque l'on confond virilité et ultramachisme et que l'on généralise la femme (norme) à la salope (exception), pour légitimer son comportement de barbare, à peine plus réfléchi qu'un simple primate.
Lorsque l'on confond virilité et ultramachisme et que l'on généralise la femme (norme) à la salope (exception), pour légitimer son comportement de barbare, à peine plus réfléchi qu'un simple primate.
Le machisme dans "La Cité du mâle" de Cathy Sanchez
envoyé par rue89. - L'actualité du moment en vidéo.
Cité des Bosquets, 18h00, banc du square.
Parce qu’il avait la fringale capricieuse, Mohamed Makak trifouillait l’épaisse toison de son pote Christophe Cheetah. Il goba quelques parasites capillaires en attendant que sapute chienne lopsa soumise femelle, Géraldine Guenon, lui aboule, à heures fixes, sa grappe de bananes quotidienne.
Seulement, aujourd’hui, elle était un peu en retard.
— La grosse pute, suis sur qu’elle est avec de la bite, dit Mohamed Makak, se grattant sous l’aisselle et le haut du crane.
— Cousin, faut la fonceder, dit Christophe Cheetah, les avant-bras ballants qui trainaient au sol.
— T’as raison, gronf gronf, vais voir si elle rapplique, la chienne.
Parce qu’il avait la fringale capricieuse, Mohamed Makak trifouillait l’épaisse toison de son pote Christophe Cheetah. Il goba quelques parasites capillaires en attendant que sa
Seulement, aujourd’hui, elle était un peu en retard.
— La grosse pute, suis sur qu’elle est avec de la bite, dit Mohamed Makak, se grattant sous l’aisselle et le haut du crane.
— Cousin, faut la fonceder, dit Christophe Cheetah, les avant-bras ballants qui trainaient au sol.
— T’as raison, gronf gronf, vais voir si elle rapplique, la chienne.
"La Cité du mâle" de Cathy Sanchez - extrait avec Okito
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Mohamed Makak se leva et entama la montée du chêne massif, derrière le banc. Il se balança de branche en branche et d’arbre en arbre jusqu’à atteindre la façade de la tour C, qu’il escalada d’une dextérité sauvage. Ayant atteint la cime du bâtiment, Mohamed Makak rugit de son puissant larynx, le cri de ralliement de sa compagne, en tambourinant sur ses puissants pectoraux : GRRRRRRRRRRRR, BOUGE-TOI LE CUL, SALOPE.
Celle-ci, docile, sortit avec la grappe de bananes par la fenêtre de sa chambre et se hissa le long d’une liane jusqu’au sol de la savane bitumeuse. Puis, elle escalada à son tour la façade de la tour C pour rejoindre son mâle dominant.
Celle-ci, docile, sortit avec la grappe de bananes par la fenêtre de sa chambre et se hissa le long d’une liane jusqu’au sol de la savane bitumeuse. Puis, elle escalada à son tour la façade de la tour C pour rejoindre son mâle dominant.
"La Cité du mâle" de Cathy Sanchez - extrait avec Rachid
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Mohamed Makak lui arracha la grappe des mains et la cogna comme un sourd pour son impardonnable retard. Géraldine Guenon, désolée, et pour se faire pardonner, l’embrassa d’un mignonnet baiser d’esquimau avec son petit museau. Mohamed Makak, loin d’être une lopette, la rossa une seconde fois et la sodomisa pour l’exemple, devant la meute de primates du quartier venu assister au spectacle.
C’était la fabuleuse histoire d’une journée typique de Géraldine Guenon,au zoo de Thoiry à la cité des Bosquets.
C’était la fabuleuse histoire d’une journée typique de Géraldine Guenon,
Il faut qu'il se dépêche de se taper sa sœur le dernier, 28 ans qu'il se retient, il a le cerveau trépané au jus de couilles rance.
RépondreSupprimerJe ne pense pas qu'une tonsure puisse être épaisse...
RépondreSupprimerExact. J'ai confondu "tonsure" au lieu de "toison". Je ne l'ai même pas remarqué à la relecture. Merci.
RépondreSupprimerCornelius n'a jamais manqué de respect à Zira, arrêtez avec vos comparaisons foireuses
RépondreSupprimerPuisqu'on parle de la planète des singes, y'a un gorille qui s'appelle "Zaram"...
RépondreSupprimerJe dis ça, je dis rien.
Je vois bien Jean Rochefort faire la voix off du documentaire animalier en lisant votre texte.
RépondreSupprimerCe documentaire a été déprogrammé d'Arte pour éviter de mettre en danger les jeunes filles interviewées, enfin officiellement. Connaissant Arte et leur soif inextinguible de vivre-ensemble, j'ai des doutes.
RépondreSupprimerUn reste de cadavre de rue 89, non?
RépondreSupprimerTrouver des débiles à Vitry c'est pas très dur, pousser le cliché à ce point c'est du grand arte!
La science avance!
Ouais, grave, c'est rien que du cliché d'abord, pis vous, vous propagez ça et c'est à cause des gens comme vous qu'y a une mauvaise image de la banlieue, d'abord. Alors qu'en fait, c'est pas comme ça, c'est plein de joie multiculturelle, mais ça des fachiss' comme vous, vous pouvez pas comprendre. Vous vous rendez pas compte qu'avec cette vidéo financée par George Bush et TF1, vous vous faites les vecteurs des mythes islamophobes diffusés par le sionisme mondial. Bande de sales impérialistes.
RépondreSupprimerEst-ce si différent de ce que disaient nos aïeuls ?
RépondreSupprimererreur, les singes sont beaucoup trop haut dans l'arbre de l'évolution pour qu'on les compare à ça. Je pencherais plus pour un comportement de canidé, de petit canidé, à l'esprit grégaire et qui n'attaque pas si la meute fais moins de 10 individus, genre roquet de gouttière à poil ras, queue coupée, grande gueule mais court sur patte, et qui comprend 2 mots, attaque et coucouche panier.
RépondreSupprimerNos aïeuls étaient embourbés dans un conformisme social d'une rigidité à peine concevable aujourd'hui. En occident de l’ouest, normalement, cette rigidité masculine a disparu pour malheureusement faire place à une rigidité féminine. Ni l’une, ni l’autre ne me convienne. Que les femmes aient pris du poids et gagné en liberté, j’en suis très heureux, mais quand elles nous font la guerre des sexes alors qu’elle n’a plus de raisons d’être, non ! À côté, des mentalités qu’on croirait ressurgi du passé, mais qui viennent en fait d’autres latitudes, vous savez ces fameux Suédois qui foutent le dawa, qui compensent en machisme barbarisant ce qu’ils n’ont pas en réflexion, n’obtiendront pas mon émerveillement.
RépondreSupprimerFaut être cohérent. On ne peux pas fustiger la violence des banlieues et trouver que quelques bribes de leurs mentalités ne sont pas si mal quand elles font échos à notre propre passé. La virilité n’a rien à voir avec ces comportements et mentalités néronienne. Je me vois mal être un dictateur avec une femme parce que ça fait « mâle », surtout mouton enragé, mais je me vois mal être le jouet des caprices d’une dictatrice bourgeoise. On peut très bien être décent avec la gente féminine et hausser le ton lorsqu’elles sont casse-couilles. Soral, dans son livre sur les gonzesses, ne dit rien d’autre et je le vois mal se comporter en salopard avec sa femme, mais je le vois mal se faire tenir en laisse par celle-ci.
le deuxieme interviouvé cherche ses mots
RépondreSupprimervisiblement il peine à expliquer
"une salope c'est ........c'est......." en fait il n'en sait rien
faut concevoir le degré d'acculturation de ces pauvres bougres à qui nos bas-bleus de la fac de socio ont refusé une saillie hygiénique ( ta mère ) qui aurait peut être pu les entrainer sur la voie du womantisme
mesdames de l'ehess ; un bon mouvement !
vous êtes vaches avec eux et pleins d 'a priori : qu 'est ce qui vous permet d 'être SURS mais vraiment SURS a 100 % que ce sont des cons?
RépondreSupprimerfaut pas juger sur les apparences non plus. Si ça se trouve, non, vraiment, sérieux ,si ça se trouve, et bien c 'est des types super. En plus.
vous me direz que je n 'ai regardé que les cinq premières minutes. ok mais ça suffit pour ne RIEN conclure, non?
"je le vois mal se comporter en salopard avec sa femme, mais je le vois mal se faire tenir en laisse par celle-ci."
RépondreSupprimerLe rapport avec le couscous ?
@ Généalogie de la morale
RépondreSupprimerSoral et sa femme aiment bien le couscous.
Paracelse a raison. Ce n'est pas parce qu'un nombre impressionant de mecs, aujourd'hui, se comportent comme des carpettes avec leurs copines et avec les femmes en général qu'il faut revenir à l'âge des cavernes sous prétexte que "au moins, eux, c'est pas des pédés". Se "gratter les couilles" et cracher par terre, sans parler du reste, ne veut pas dire être viril.
RépondreSupprimerLà où je suis en désaccord avec Para, c'est que Soral tombe en plein là-dedans, quand il raconte que les jeunes mâles musulmans sont "victimes" de la "propagande" féministe, quand manifestement pas mal d'entre eux, en tout cas ceux de banlieues, ont des postures d'hommes préhistoriques.
Sinon Soral adore effectivement le couscous. Et sûrement la charia.
C'est quoi des postures d'hommes préhistoriques ? Quelqu'un a des photos ? D'époque j'entend.
RépondreSupprimerNe pas confondre charia et chorba
RépondreSupprimer@Droit comme un i:
RépondreSupprimerC'est comme ça:http://choualbox.com/Img/20100215141855X.jpg
Dilemme de gauchiste, formidablement jouissif :
RépondreSupprimerAimer la "diversité" et ses traditions ou respecter la femme et la liberté outrancière de faire n'importe quoi avec son corps, sans aucune gène.