19 mai 2010

En 1997 on savait faire rêver les jeunes

Un "orientateur" de l'éducation nationale tendit un jour cette revue à un adolescent malingre et acnéique... Ses yeux se mirent à briller... Clarence Boddicker avait trouvé sa voie.



On attend avec impatience l'analyse de cette cravate sur ILYS 3.0

5 commentaires:

  1. Je reconnais parfaitement Laurent Gerra

    RépondreSupprimer
  2. Memento marque un point...

    Par contre, l'Onisep s'est trompé dans mon cas (comme la plupart du temps en "Orientation"), ils m'ont envoyé dans un autre secteur, le BTP. Un secteur d'activité plus viril encore, plus rustre, plus magouilleur.

    Mais c'était une bonne école d'apprentissage, avant de s'attaquer aux marchés.

    Pour la cravate, effectivement, je laisse également le sujet aux analystes conférencier d'Ilys, qui pourront gloser à loisir.

    Clarence, cravate unie

    PS: Non mais qu'est ce que c'est que cet affreux bandeau quasiment illisible ? C'est du travail d'arabe ça K.

    Voilà ce que c'est que d'entrer dans la fonction publique ! Tu devrais avoir honte ! Feignasse !

    RépondreSupprimer
  3. c'est pas plutôt Candeloro en pleine gagne ?

    RépondreSupprimer
  4. sa voiE
    pas sa voiX
    et sinon le gus a l'air de tirer la chasse avec la main droite
    ou alors c'est un adepte du fist qui montre son ........membre
    ou encore .....

    RépondreSupprimer
  5. Je pencherais plutôt pour l'innommable Francis Huster. À défaut d'en avoir une paire, il a bien dû vendre son cul pour poser sur une couverture aussi repoussante avec une cravate pareille !

    RépondreSupprimer