19 novembre 2009

Mailorama : les chevaliers de la manche


Samedi 14 novembre, l’émeute a gagné le très chic VIIème arrondissement de Paris. Mon Dior ! On a tremblé dans les contre-allées du champ de Mars malgré l’imposante présence de l’école militaire, certes aujourd’hui tristement moquée par cet inénarrable affront esthétique qu’est le musée de la paix : après la Pyramide du Louvre, Paris engouffrée dans l’oxymoron urbanistique... Passons. Certes, point de quoi mettre notre Tour Eiffel les quatre fers en l’air, nous vous le concédons, mais quelques voitures sur toit tout de même, sans compter ce pauvre mobilier urbain qui n’en finit pas et qu’on ne finit plus de payer. Mais l’espace urbain n’est-il pas propre à l’exercice du vandalisme ? Le réel ludique de nos villes ne se terre-t-il pas dans les dégradations des vitrines d’abribus et des panneaux de métal mou ? Et les crocodiles de la charité, qui avaient rameuté là quelques 5 000 personnes pour une distribution gratuite d’argent gratuit, ne méritaient-ils pas qu’on portât dans leurs rangs, l’insurrection individualiste, racailleuse et antifestive, le jet de pierre, puis l’index pointé du buzz friand de scandale spectaculaire ? Allons, quoi de plus efficace en l’occurrence, pour mettre à bas les masques des « bailleurs de balivernes » de Rentabiliweb et de sa filiale Mailorama ?! Samedi dernier, les coups de pub ont plu, et au racolage solidaire et festif, faussement charitable, a répondu la mendicité agressive…



Mendicité agressive (source : melty.fr)


Mailorama.fr est un site Internet de pousse à la consommation. Sa particularité ? Son concept intègre parfaitement le contexte de crise économique, à l’instar des sites rueducommerce.com et radinsmalin.com. La précarisation est en expansion et les pouvoirs d’achat se frustrent de se dégrader en « vouloir d’achats » dans les cerveaux lobotomisés, fétichistes du nouveau, des consommateurs en mal de surconsommation de pompes à virgules ou bandes, d’outils hightech de communication en réseaux fibroptiqués et ondesatellisées, et de simulacres de meubles déco en carton pâte, papiers mâché et crépon. Mais Cyril Dubreau, chef de produit chez Rentabiliweb Europe depuis 2006, est arrivé comme le messie avec « son concept », tout à la fois chasseur de spectre du découvert et du surendettement, et parade aux éventuelles velléités d’épargne du consommateur flippé au carrefour du pendu des boulevards de la ramasse ou de la rue : sur mailorama.fr, plus vous dépensez d’argent et plus vous en gagnez !


Au service comptabilité de Rentabiliweb


Non, Cyril Dubreau n’a pas réinventé le miracle. Monsieur Dubreau est juste une hure de plus de la clique à braquage nouvelle génération qui voudrait vous voir raquer torche lorgne et vous entendre lui dire : « merci pour le coup de main ». Sur Mailorama, plus on débite et plus on crédite ? On joue sur les mots, on joue sur les sommes, les pourcentages et la virtualité d’une monnaie de singe : on prend l’aspiration de la dématérialisation et on pousse à la nanogabegie, à la dilapidation petite main, à la banqueroute riquiqui.


En plus, l'est bien roulé le cashback


En effet, l’argent gagné par les adhérents de Mailorama n’est qu’une prime à la dépense. Il s’agissait de réinventer les bons cadeaux et de régénérer le bon geste commercial face à la fidélité du chaland : le cashback est né, et parce que c’est un anglicisme qui sonne et qui tonne, ça fleure bon l’implacabilité conceptuelle mathématique, ça flirte même avec une magie blanche strassée, empailletée. Plus qu’une prière : un sortilège, un charme ! Empaillé le gogo ! Mailorama n’est pas une entreprise humanitaire. C’est une interface de carte de fidélité transannonceurs. Exemple tiré sur site : un cashback de 10% vous est crédité sur votre compte mailorama pour un achat à plus de 50 euros, soit 5 euros, à faire valoir sur les produits des 137 partenaires du site.


Compte mailorama


Mais Mailorama, c’est encore plus qu’une arnaque au miracle. C’est une abdication corps et âme à la consommation, un pacte à la petite semaine avec un Diable, toujours malin, mais devenu bigrement mesquin, car pratiquant sans rougir le tison du micropaiement. Le micropaiement, c’est la preuve que le Diable délocalise son Enfer sur terre. Plus une âme qui vaille ! Plus rien à croire, qu’aux coûts modiques ! En effet, le site propose de vous envoyer des emails de ses différents partenaires, entendez par là des publicités, rémunérés à la lecture (0,01 euro par lecture), à la visite (0,02 euros par visite), en participant à des jeux concours ou en s’inscrivant à des newsletters publicitaires (2 euros et plus ! nous annonce-t-on !).


Votre âme à 0,01 centime d'euro ? L'heure de Faust-er compagnie !


Cyril Dubreau a réinventé la pub : vous serez dorénavant en totale acceptation, en demande même. Finie la passivité ! On adhère, on acquiesce, on… réclame ! Sur Mailorama, la menace publicitaire a lancé son blitz ; le secret de sa vitesse dans les flatteries flatulatoires à l’avidité, la convoitise et l’avarice ( !), aux bas instincts. Les vautours fondent en cercles concentriques sur la charogne prête pour l’extase exquise de la mesquine saignée qui les laissera exsangues… Au CGB, nous travaillons actuellement très activement pour calculer le nombre de centaines d’années qu’il faudrait à un utilisateur lambda de Mailorama pour faire fortune, et sur le nombre de semaines qu’il lui faudrait pour finir en maison d’aliénés…


Décidément, c'est vraiment des enculés les écureuils (logo de Mailorama)...


Tout est toujours une question de psychologie. Vous préférez être embauché à 10 000 euros nets par mois toute votre vie, ou toucher une somme multipliée par deux chaque jour pendant un mois, sachant que le premier paiement s’élèvera à 1 piètre centime d’euro ? Mailorama et sa maison mère pratiquent un fameux et fumeux retournement de cette question piège, au demeurant révélatrice de lâcheté, de bêtise et de petitesse... L’homme numérique, l’homme des nombres a encore du chemin à faire pour dompter ses penchants au mystique. Il n’y a plus rien à croire, mais il faut le voir cet occultisme parfaitement concubiné à une algèbre élémentaire : l’algorithme, cette alchimie... Le paravéritable, simulation de vérité, gagne manifestement du terrain sur le mensonge…


Stéphane Boukris : " Shyhock m'a enseigné le commerce, l'abbé Pierre le marketing !"


Cyril Dupreau et ses collègues sont des stratèges à stratagèmes. Des porteurs de sac à malices, des dealers de poudre de perlimpinpin, des enfarineurs. Tartes à la crème ! Et les noms ronflants des actionnaires de Rentabiliweb, société fondée par Jean-Baptiste Descroix-Vernier, 407ème fortune de France (57 millions d’euros), sont bien plus que des indices : Bernard Arnault, PDG du groupe LVMH, ou encore Stéphane Boukris, l’abominable saute-dessus des idées perverses à gros potentiel économique (créateur entre autre de faismesdevoirs.com, putain de CV c’ui-là) ; Jean-Marie Messier, Alain Madelin siègent à son conseil d’administration, et ces noms tintinabulent également désagréablement à nos oreilles… Rentabiliweb serait une société à but lucratif humanitaire ? Tous ces joyeux lurons ayant fait la preuve par le passé de leur probité et de leur désintéressement ne seraient réunis là que pour une chose : votre bonne fortune ? Oui, c’est le cas : votre bonne fortune, mais toute votre bonne fortune, par petits bouts, petit à petit… Peau de lapin et peau de chagrin ! Et cette personne morale qui se drape derrière des voiles de dignité, ce n’est que pure anecdote si elle amasse également des billes sur le marché très juteux (hum) des sites dits « pour adultes ».


Archimède n'aurait pas été de la file


Entreprise morale et compatissante vous dit-on pourtant ! Voyez : elle fait sa promo à coup de distribution d’argent sur la voie publique ! Riche idée de Monsieur Boukris, très au fait de notre société, qui recèle tant de traqueurs de gains sous ongle, de prospecteurs de filons sur billets à gratter. Mailorama, c’est la bourse à la loterie ! Une couverture à la manche ! Il n’y aura pas de perdants à ce jeu, là est sa seule règle apparente, mais il n’y en aura pas pour tout le monde… Bingo outre Atlantique ! Un carton ! A réitérer ! A Paris, samedi dernier : dans chacune des 5 000 petites bourses rouges de Mailorama, des sommes allants de 5 à 500 euros, pour un total somme toute modique de 100 000 euros sur le tapis. En ces temps de crise, de dogme du pouvoir d’achat, de sacrifice aux heures supplémentaires, de travail coûte que coûte, tandis que le système n’a plus de cesse de broyer de l’emploi et de pressuriser par sa publicité le consommateur, d’usure encravatée, de dettes obligatoires, qui ? qui pourrait réellement résister à cette offre charitable, à cet appât du gain facile ? Stéphane Boukris, il l’avait la réponse : personne. Et nous aussi nous l’avions : surtout pas nos jeunes encapuchés de banlieue aux badigoinces relevées et montrant crocs, qui ont mis le bran-le-bas dans ce nouveau grand barnum caramélisé aux bons sentiments, aux bonnes intentions, à la festivité et à la convivialité, à la solidarité. Bien fait pour leurs mouilles ! Bilan ? Trois personnes en comparution immédiate, trois autres en gardav prolongée, une bien maigre récolte… Et 5 000 mendiants qui s’ignoraient. Une profession de foi : la manche ! Mais il était dit que ces coquins de Rentabiliweb feraient tout pour avoir le dernier mot. Des excuses et le all-in au bénéfice du Secours populaire ! Une larme à l’œil ? Plus une réaction aux gaz lacrymo que la cause d’une émotion…


Le Conseil d'Administration de Rentabiliweb en route vers le Secours populaire



Reste une question en suspens : comment le préfet de police de Paris, Michel Gaudin, a-t-il pu autoriser la tenue de cette manifestation ? Outre-Atlantique, sur le continent de l’irresponsabilité publicitaire, on ne dispose pas de l’article R 642-4 du Code Pénal françois et rabat-joie qui dispose : « Le fait d'utiliser comme support d'une publicité quelconque des pièces de monnaie ou des billets de banque ayant cours légal en France ou émis par les institutions étrangères ou internationales habilitées à cette fin est puni de l'amende prévue pour les contravention de 2e classe », soit d'un maximum de 150 euros, somme qui ne risquait pas d’émouvoir les organisateurs. En France, cet événement était illégal. Et Michel Gaudin l’a même déclaré comme tel la veille tout en ne l’interdisant pas. Mailorama avait formulé une demande de « manifestation statique », qu’il ne pouvait, selon ses dires, refuser. La manifestation n’avait rien de statique dans son programme : elle comportait trois étapes et un bus avec hôtesses en shorts dedans… Mais là n’est pas même la question : un préfet de police a le pouvoir discrétionnaire d’interdire une manifestation susceptible de provoquer un trouble à l’ordre public, tout du moins doit-il prendre toute mesure utile pour l’anticiper (les organisateurs n’avaient prévu que dix malabars pour assurer la sécurité des mendiants s’ignorant). On voit mal le moindre drôle à képi à Paris, encore moins en banlieue, penser une seule nano seconde que ce genre d’événement eût pu se dérouler dans la convivialité et le respect de l’autre… Les pouvoirs publics ont une nouvelle fois fait l’étalage de leur irresponsabilité (de leur corruption ?).


Préfet de police de Paris


La conclusion de cette histoire est tronquée. La société Rentabiliweb s'est dite « consternée de voir qu'une opération festive et, encore une fois bon enfant, peut être organisée sans aucun trouble à l'ordre public au Canada ou aux Etats Unis, mais ne peut apparemment pas l'être en France». Salauds de Français ! Voilà. Aucun constat sur le fait qu’aujourd’hui, quasiment aucune manifestation ne se déroule plus sans incident en France. Tant qu’à émettre un jugement de valeur sur cet événementiel vicieux et avilissant, profondément abject et immoral… Au moins pouvons-nous fièrement dénoncer l’insuccès de l’opération de ces nouveaux marchands de Venise : « entre 5 et 7 000 personnes », finalement, un échec cuisant.
« Chacun sait que ces intendants de la joie publique s’épuisent à dilater le cœur du pauvre et s’exterminent à désoeuvrer le malheur. » (Le désespéré de Bloy). Si vous voulez trouver la dernière idée marketing qui fera de vous un génie pour les patrons dévorés par les dividendes et les journalistes philogrobolizés par la compromission, cherchez-la dans les ordures.

22 commentaires:

  1. Excellent. Le genre d'article qui fait la nique à tout ce qu'on a pu lire dans la poussive et subventionnée presse officielle.

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  2. Merci Il(ys) Sorpasso. Subventionnée donc salariée, achetée donc vendue.

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  3. bonjour,

    tr`s bon artcile mais je pense qu'il y a une confusion entre Stéphane Courbit, le type de la télé réalité et d'endemol et actionnaire de rentabiliweb...bref une grande fortune française et Stéphane Boukris, le petit merdeux en photo qui a créé faismesdevoirs...

    Seule modification à apporter

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  4. Très bon papier Le(s)tat !


    " Aucun constat sur le fait qu’aujourd’hui, quasiment aucune manifestation ne se déroule plus sans incident en France."

    Exact. La violence fait dorénavant partie du paysage. En imputer les fautes à ses auteurs est simpliste, vouloir les identifier est raciste, y trouver des solutions efficaces est populiste voir fachiste. Le simple fait d'en parler lorsque la réalité ne colle pas aux clichés au médiatiquement compatibles est hautement suspect.
    Un peu comme le chômage et les désastres boursiers, la violence devient un phénomène météorologique : pas de coupables, pas de solutions. Après le réchauffement climatique, le réchauffement des comportements. Les accommodements raisonnables et autres budgets-banlieue ouverts tels des parapluies sous une pluie acide.
    Problème : le parapluie fond. On rame sévère pour trouver de temps en temps un noir tabassé par des skins, les gens savent très bien qui se cache derrière les noms masqués du journal et n'en peuvent plus de voir leurs représentants incapables de résoudre un problème pour lequel ils ont 36 solutions prêtes à l'usage.

    La pluie acide passe les trous avec perte et fracas, le plus petit hameau du berry n'est plus épargné par les faits divers faits des divers. Je ne vais pas vous faire part de l'histoire de la seule famille d'un petit village paumé ayant des petits-enfants métisses et parisiens, dont l'un d'eux massacra son ex-compagne locale (enceinte) à coups de couteau avant de rouler sur le cadavre et de le jeter dans un puit, aidé de deux comparses, mais je pourrai. « Ce sont toujours les mêmes » dit le méchant français raciste qui prend pourtant la peine de ne pas dénoncer le coupable de tous visibles de peur de passer pour … raciste.

    Un bon tiers de "nos" jeunes est désormais composé de jouisseurs compulsifs autistes et sadiques revendiquant l'appartenance à des pays tiers.
    Leurs références culturelles appartiennent désormais à la sous-culture "jeune" la plus omniprésente et la plus courtisée par les marchands et les politiciens.
    Le monde cosmopolite d'au-dessus encourage le monde cosmopolite d'en-dessous à broyer le populo moyen, ce con de descendant de ce con de peuple qui avait tant réussi à grapiller à ses élites jusque-là ... Fallait bien qu'il paye un jour.

    Toutes les atteintes à la liberté seront justifiées une fois le peuple réduit à l'état de troupeau de moutons anthropophages.

    Nous n'entendrions pas combien leurs exactions violentes portent des messages sociaux ?
    A tous les professionnels des médias qui nous rabâchent sans cesse ce lieu commun je voudrais dire que le nombre de gens entendant leur message ne cesse de croître, d'ici 2-3 ans même le berger le moins desservi par les ondes communicantes l'aura clairement entendu.
    Le problème est que ce qu'ils perçoivent, eux, n'est pas un message mais bien le bruit de la guerre civile à venir.

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  5. Ah merde ! Acte manqué sûrement... Merci Cherea. Pas le temps pour te lire Bab, je reviens t'à l'heure !

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  6. jouisseur compulsif autiste et sadique mais de souche19 novembre 2009 à 16:42

    @ Babouche

    Putain la tartine ! Se lever à 4 heures de l'après-midi pour lire que c'est toujours la faute aux bougnoules, c'était bien la peine de me fatiguer ! Tiens, ça me fait penser à ce truc qui passait à la radio y a de ça un un petit moment. C'était chanté avec un fort accent suisse. Sans doute par un con, mais quand même y avait du vrai.

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  7. @ j'aurai bien aimé rajouter pervers mais ça faisait un poil chargé

    Je te paye une tartine au p'tit déj' et toi tu râles ? Français va!

    "Tiens, ça me fait penser à ce truc qui passait à la radio y a de ça un un petit moment. C'était chanté avec un fort accent suisse. Sans doute par un con, mais quand même y avait du vrai."

    C'est moi ou une bonne moitié des commentateurs du CGB ont pris pour passion les messages incompréhensibles ?
    C'est quoi ta chanson patate ? Chuis pas madame soleil !

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  8. Pervers plus le reste19 novembre 2009 à 20:17

    Qui c'est qui râle ici ? Et pour ta réponse, faudrait d'abord demander poliment.

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  9. Tu te plains de "patate" pauvre petit tapin anorexique ?

    Fais-toi pousser un peu de cuir sur ton papier calque...

    Ou alors c'est une sorte de jeu de rôle ? J'ai l'impression d'être sur un autre planète là.

    -patate !
    -ouh ! méchant !

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  10. Pouah ! A quand les attentats dans les écoles de commerce, qu'on en finisse ?

    Excellent article, sinon.

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  11. Pervers plus le reste20 novembre 2009 à 11:10

    "-patate !
    -ouh ! méchant !"

    Vous êtes effectivement sur un autre planète. Pourquoi devrait-on se plaindre ou même râler ? Dans ma tête on est là :
    - un pour rigoler.
    -deux pour la décence ordinaire et la politesse qui va avec. Enfin quand elle a court...

    Voilà pour vous sous merde et n'y revenez pas !

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  12. Et un et deux et trois zéro20 novembre 2009 à 13:13

    @ Amiral

    Vous n'y pensez pas sérieusement j'espère.

    "5 Ecoles françaises présentes dans le top 10
    10 Ecoles françaises présentes dans le top 20
    17 Ecoles de management françaises sur 50 Ecoles font aujourd’hui partie du classement du Financial Times 2009"

    http://www.doc-etudiant.fr/blog/classement-financial-times-2009-masters-management

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  13. "5 Ecoles françaises présentes dans le top 10
    10 Ecoles françaises présentes dans le top 20
    17 Ecoles de management françaises sur 50 Ecoles font aujourd’hui partie du classement du Financial Times 2009"

    Un effet de "la pensée 68" ou la faute aux bougnoules ?

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  14. @Patate

    On peut rigoler ET être vulgaire.
    Même quand je râle je rigole, pas comme toi qui, très poliment, pinaille de manière très chiante.


    Quand à la décence ordinaire elle est très bien ou elle est, faudrait voir à ne pas l'user pour rien.

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  15. Et bien puisque tu nous y invite, continuons de pinailler. En tout cas je suis heureux d'apprendre que finalement tu râlais. Par contre je n'ai pas bien saisi ou t'avais su être drôle. T'aurais un exemple, pour qu'on se marre un peu ?

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  16. "Quand à la décence ordinaire elle est très bien ou elle est, faudrait voir à ne pas l'user pour rien."

    Je dirais même plus. Elle ne s'use que si l'on s'en sert.

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  17. Vous avez pas fini de vous chamailler là ?!

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  18. Mais j'adore me chamailler !

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  19. Et puis une société qui ne se chamaille pas est une société qui n'avance pas. Toc. (vlan)
    Pareil à toutes les échelles.
    Le conflit c'est la vie !

    @Dupont&Dupond

    Les pros de l'humour, z'avez qu'à m'inventer le comic decency !

    On va se fendre la poire en faisant des petits "hum hum hum" sans hausser le ton, j'imagine, un vrai délire !

    "Alors c'est l'histoire d'une sainte-nitouche..."

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  20. Chanceroom.com fait dans la surenchère ! Ils ont carrément envoyé des SDF autour du stade de france pour demander de l'argent aux gens pour parier sur leur site ... c'est scandaleux ! Quand la pub se sert de la misère comme gagne pain .

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  21. Ah les bâtards. Au fait, c'est quand le prochain concert des Enculés ?

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