L'article du Figaro, intitulé sobrement "Lettres de menaces : un corbeau aigri et maniaque" est un exemple d'investigation:
Depuis bientôt dix-huit ans, Thierry J., ancien mécanicien en invalidité, menait une existence presque paisible dans une modeste maisonnette, au fond d'une impasse. Le corbeau présumé y vivait avec sa compagne, Ariane, secrétaire médicale. Selon son entourage, il sortait peu, ne participait jamais à la vie sociale du village. Jusqu'alors inconnu de la police et d'allure tranquille, il avait l'habitude de se promener dans les rues du village.(...)Il était énervé pour des problèmes de stationnement gênant, de crottes de chien ou de jeux de ballon des enfants des voisins. Il n'avait pas toujours tort. Depuis ces derniers mois, il venait moins réclamer.» À l'évidence, Thierry J. passait le plus clair de son temps sur Internet et devant la télévision.
Un fou, un maniaque qu'on vous dit!
"Jusqu'alors inconnu de la police et d'allure tranquille, il avait l'habitude de se promener dans les rues du village."
RépondreSupprimerEnorme
Un déséquilibré, de toute évidence.
RépondreSupprimerPutain, on a raté un possible membre d'exception.
RépondreSupprimerMoi je dis, SOLIDARITE pour Thierry !
RépondreSupprimerEt tous les fous maniaques qui pestent contre les crottes de chien et les ballons des marmots !
Clarence, promeneur solitaire débonnaire
Je dirais même plus, FRA-TER-NI-TÉ avec Thierry...
RépondreSupprimerEncore une victime de ses mauvaises lectures... On a retrouvé un exemplaire du dernier livre de Régis chez lui et le CGB en page d'accueil.
RépondreSupprimerIl est temps de légiférer pour que "plus jamais ça".
"À l'évidence, Thierry J. passait le plus clair de son temps sur Internet et devant la télévision."
RépondreSupprimerFaut dire, vieux réac' qui passe à l'acte c'était pas assez sexy. Alors que vieux réac' accro à internet, là tout de suite on titille un nouveau mythe : l'affreuse réacosphère fabrique des agents dormants prêts à toutes les folies ! Tremblez !!!
PS :Un corbeau qui se fait prendre un jour de grève des postes, c'est quand même le pompon.