23 septembre 2009

Le secret le mieux gardé de la Vème République


Extraits du roman :

C’était le 15 mai 1976. Le château de Windsor sera le théâtre d’un de mes plus délicieux souvenirs. J’étais venu en voyage officiel sous le prétexte d’une alliance stratégique entre la France et le Royaume-Uni au sujet des conséquences économiques de la future Union Européenne. En vérité, j’étais là pour assouvir une pulsion irrépressible pour le cul le plus convoité de la civilisation occidentale.
Notre histoire commença deux ans auparavant, lors de mes prises de fonctions présidentielles à l’Élysée. Élisabeth m’appelait à intervalles constants, m’entretenant des affaires du monde et des intérêts géopolitiques entre nos deux puissances. Au fil des mois, un lien affectueux se noua et nous nous noyâmes au fur et à mesure dans une intimité profonde et troublante. [...]
Depuis quelques mois, je ne pensais qu’à elle, à sa prestance royale, son charme langoureux, la douceur de son accent anglais teinté d’espièglerie. Tout le contraire d’Anne-Aymone, ma pauvre femme. […]
J’entrais par la porte dérobée de sa chambre nuptiale, dégagé du fardeau du protocole royal. Tout avait été organisé à l’avance, jusqu’à l’assassinat, pour le bien de la Couronne, du seul domestique au courant de ma petite expédition nocturne. […]
Elle était là, devant moi, en nuisette de soie transparente. Ses juteux mamelons et ses petits seins en forme de poires auvergnates se dévoilaient pour mon unique plaisir. Ses yeux luisaient d’une douce malice. Le spectacle de ses lèvres purpurines m’enivrait d’une chaleur torride. Je n’avais plus qu’une seule pensée, clairvoyante, lumineuse, imposante. J’avais envie de la pécho et de lui faire le cul.
Elle s’approcha de moi avec une insolente excitation. Elle défit la boucle de ma ceinture tout en m’embrassant du regard.
— Mister Président, je veux voir la grandeur de la France.
Elle abaissa mon pantalon ainsi que mon caleçon à l’effigie de Marianne.
— Par la grâce de Dieu, quel beau pays !
Mon sang ne fit qu’un tour. Je l’empoignai par le cou et la jetai sur le lit. Sa respiration s’emballa. Son regard exprimait la démence, le vice dans toute sa monstruosité. Je le retourna sur le ventre et releva sa nuisette.
— maintenant, Votre Altesse, je vais vous montrer à quel point la France peut être puissante et bourrin !
— Oui, Valéry, prenez-moi comme une souillon !
[…]
C’était à ce moment d’extase que je lui giclai dans le cul. J’ai cru remplir tout un château d’eau.
Élisabeth, elle, était pratiquement dans le coma, les yeux révulsés, en train de planer au-dessus des vastes plaines de l’Auvergne.[…]

9 commentaires:

  1. Eh bin dis donc. J'aurais jamais osé ça.

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  2. C'est le vieux fantasme français, niquer les anglais.

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  3. "C'est le vieux fantasme français, niquer les anglais."

    Merde alors, la vieille était un inverti ???

    Je me disais aussi, cette manie de mettre des gants me rappelait un certain animal des bois sodomite...

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  4. "C'est le vieux fantasme français, niquer les anglais."

    Tiens, je me demande qui a bien pu entretenir ce fantasme! Les intégristes musulmans, probablement.

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  5. " Tiens, je me demande qui a bien pu entretenir ce fantasme! Les intégristes musulmans, probablement. "

    j'adore les commentaires n'ayant aucun rapport et qui dénote les obsessions de ses auteurs.

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  6. VGE remplacera Flacke Lorentz lors de la prochaine tournée de Rammstein. Bück dich!

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  7. Que Sa Très Gracieuse Majesté m'excuse de m'être abandonné à cette lecture infamante...je vais de ce pas écouter 15 fois le God Save The Queen pour me faire pardonner.

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  8. Bah moi, je l'ai acheté ce bouquin !

    C'est de la grande littérature pornographique. Et n'en déplaise aux chastes, VGE en a une grosse !

    Oui, grâce à Valérie, la fierté française peut reverdir (et ensemencer) !

    Et pour ceux qui douterait encore du "mojo" de notre ami centenaire, sachez qu'une vidéo de ses ébats est disponible:

    VGE et les préliminaires

    Clarence, pornographe averti

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