18 octobre 2008

Mi-figue mi-raisin


Spire

7 commentaires:

  1. Ouaih ! c'est comme cet Antoine, Directeur du Cancer à l'institut philosophique...
    tout dans son dressage, son cadre professionnel grégaire, ses copinages germano-pratins, son ascendance petite bourgeoise social-démocrate, sa mauvaise digestion enfin, tout le conduit à recycler ses minables disserts de khâgne en agitant de vieux débris philosophiques (liberté, responsabilité)... tout le détermine à faire ça et néammoins il est coupable ! Vieux sophiste, vieux joueur de flute !


    le génie, la race, l'instinct... nos fesses ne sont pas les leurs

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  2. ça confirme ce que j'ai toujours dit, les cons sont congénitaux, mais ça ne les excuse en rien!

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  3. et à postériori, c'est bien fait pour leur gueule.

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  4. Euh normalement quand on fait de la dialectique, il y a une synthèse...

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  5. Un noir nommé « Petit Prince » arrive en France d’un pays au ciel inclément. Son dieu est cruel parce qu’il lui a donné la vie, et que la vie est un sac de merde ; mais il aime son dieu car la merde, c’est le sens de la vie. En France, le ciel est plus clément, alors il fait des enfants et ses enfants vont à l’école… A l’école, le professeur leur dit :

    - Le bonheur est un droit, et vous avez droit au bonheur. Si on ne vous le donne pas, prenez-le : tel est le sens de notre hymne national.

    Les petits de « Petit Prince » grandissent rapidement ; mais à leur plus grande surprise, ils ne reçoivent pas le bonheur auquel le professeur avait dit qu’ils ont droit. Alors les enfants de « Petit Prince » veulent faire la révolution à leur tour, ils cassent des bagnoles et ils écrivent : « liberté ! » sur les murs en grosses lettres rouges. Cela attire l’attention de la police qui les emmène au poste et leur répond :

    - Vous êtes des sauvages ! Vous grandissez dans la merde et vous la répandez. Vous naissez français et vous nous forcez à vous considérer comme des étrangers. Ne vous a-t-on donc jamais appris à l’école que vous étiez déjà libres ?

    L’un des gosses voudrait lui expliquer que c’est sa liberté de lui casser la gueule et que c’est le sens de l’hymne national mais il n’a pas le temps parce dès les premiers mots c’est lui qui est corrigé… A l’étranger, de déception, dans le pays de « Petit Prince », on se met à huer la Marseillaise... La France entière, devant son poste de télévision, observe la colère gronder. Alors seulement, la tête chenue du grand arbre de la nation s’aperçoit que des nuisibles s’attaquent à ses racines. Les gardiens de la culture française se penchent sur le dilemme que leur ont soumis les policiers :

    - Ignorants ! s’écrit l’un des plus vieux philosophes… Relisez vos classiques ! Ils ne sont ni libres, ni enchainés ! Ils sont les deux à la fois, en proportion… totale ! Aussi, vous avez tort de croire qu’ils n’ont pas de chaînes à briser autant qu’eux ont on tort de briser leurs chaînes.

    Et là-dessus, le visage illuminé de satisfaction intérieure, le philosophe se rendort pour mille ans.

    Quelle est la morale de cette histoire ?

    Même aux hommes de gauche, la sénilité apporte toujours son lot de sagesse… Lorsqu’arrive le temps d’abattre une idole, autant choisir la plus puissante et épargner celle qui est en position d’infériorité. L’idole des barbares, c’est le déterminisme. Mais chez nous la grande plaie, c’est la statue de la Liberté !

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  6. Et toujours la même population d'auditeurs: 60tenaire retraité-camif de l'Eduknaz qui vote Modem.
    RAB des bagnoles qui brûlent moi ce qui me fait chier c'est que le "système" ait 100% déterminé que je doive payer la retraite de ces branleurs. J'aimerai bien retrouver ma liberté à 100 % là...

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  7. Images dignes du réalisme socialisme néo-expressioniste : visages de vieux plongés dans l'ombre (au fait pourquoi c'est éclairé comme un spectacle au Petit Parisien ?)

    En plus ces nuls prennent des notes ; les cons, y la même chose dans les fiches philo de "Femme Actuelle".

    Et Spire il est déterminé par quoi : son bout de zizi coupé et son gros nez? Les Juifs nous avaient habitués à mieux en matière de dialectique cabalistique.

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