31 mai 2008

Génération porno

Afin de mieux connaitre ses lecteurs (et surtout les raisons obscures qui les ont poussé à franchir le Rubicon de la réacosphère !), le CGB a récemment commandé une enquête auprès des instituts Louis Harry's et Opinion Way. Les résultats du sondage sont pour le moins surprenant ... En effet il s'avère que près de 95% de notre lectorat est arrivé sur le CGB en tapant sur Google "bon plan partouze à Forbach" (véridique !). Les 5% restant étant composés des membres du CulturalGangBang et d'une dizaine de psychopathes internés en QHS (bien qu'il soit parfois difficile de distinguer les deux). Face à ce terrible camouflet plus qu'accablant et qui n'honore pas la qualité des nombreux articles postés sur le blog, le CGB se devait de réagir ! En guise de réponse, l'ensemble de la rédaction CiGiBiste vous propose de découvrir en exclusivité mondiale l'interview de Jeanne Marie M. étudiante à Paris (sic).



Jeune étudiante de 18 ans interviewée anonymement pour le documentaire "À l'école du X" de Ella Cerfontaine diffusée sur Arte le 27 mai 2008 (Thema "Génération Porno").

Bande de p'tits salopards !

12 commentaires:

  1. Je vois d'ici un labrador qui va bien s'amuser.

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  2. C'est quoi son petit nom? Syphilis

    Sinon moi aussi, j'ai fait le lien avec le cabot! Le mari elle veut pas... à moins qu'elle baise ses gosses??? Entoucas je plains les enfants qui vont devoir sortir de cet utérus tout sale... ouachh...

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  4. Toute la bourgeoisie s'encule, c'est la mondialisation heureuse !

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  5. Il faut aussi être disponible concrètement (avoir du temps) et intérieurement (n'avoir pas d'autres préoccupations) pour baiser autant de partenaires et être accro à la consommation des corps. Ca reste une addiction de bourgeoise névrosée tout ça. C'est pas la fille qui bosse à l'usine ou au supermarché qui a le loisir à longueur de semaine de se transformer en garage à bites.

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  6. A noter le paradoxe d'une féministe ultra qui en revient à la bonne vieille dichotomie mère/pute. Etrange liberté que celle-là. Il faut vraiment se mépriser pour avoir un tel comportement.

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  7. Des filles qui refusent la levrette ?!
    Où ?!!!

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  8. Au delà de la "propagation" du porno chez les filles (ces fameux chiffres"), le cas de cette nénette me semble bien banal: une excitée du cul comme il y en a depuis toujours, chez les hommes comme chez les femmes. Si le mot (et la chose) partouze existe depuis longtemps, c'est forcément qu'il existe aussi des femmes qui y participent, non? Sans même compter les phénomènes de découverte de la sexualité, habituels eux aussi à l'âge de cette fille, qui entraînent certains "débordements" quantitatifs...
    Ces expériences récentes, vu son âge, ne la mettent pas à l'abri de l'ignorance, d'ailleurs: elle dit des conneries sur la levrette (NOX, tu confirmes, hein?)alors que c'est la chose la mieux partagée du monde! Si elle persiste, j'envisage même de la dénoncer à la CNIL (Commission Nationale Levrette Internationale)!

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  9. Le problème de cette pauvre fille c'est qu'elle est frigide et pense qu'en multipliant les expériences elle va réussir à activer son plaisir. Elle le dit elle-même : "mon plaisir c'est celui de l'autre", "la levrette ça fait mal", "la sodomie je comprends pas le kiff". Elle fait un tas de trucs sans même comprendre pourquoi elle les fait, avouant même qu'elle ne peut pas prendre de plaisir car gênée par la cérébralité de l'acte.
    Les cérébrales ne jouissent pas, tout le monde sait ça.

    J'ai donc plus envie de la plaindre que de la retourner. Sinon bonjour l'anonymat avec le masque à 2 balles et les précisions sur le fait qu'elle habite le 16è et qu'elle étudies à Langues-O (juste à côté, donc). Si avec ça elle vient pas de se mettre toute sa fac aux fesses...

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  10. Hé, comment tu parles de ma sœur, toi !

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  11. Beboper, je crois qu'elle parlait de sodomie et non pas de levrette ou alors la fille est vierge ...

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  12. Si si, certaines jeunes filles ont le col de l'utérus sensible.

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