23 avril 2008

Ménard : le chien-chien à son papa


Ménard : le chien-chien à son papa
envoyé par zefa

L'UMP et le gouvernement ne sont pas des conservateurs.
Devedjian : "Le conservatisme ça consiste à vivre dans cet univers extrêmement complexe des dispositifs sociaux".
Lorsque ces dispositifs seront supprimés il y aura en effet une politique cohérente en la matière.

Quant à Robert Ménard, il s'appelle en fait Robert Héquard. Visiblement il ne maîtrise pas bien son identité de substitution, il ne sait plus très bien s'il doit avoir 3 ou 4 enfants.

En matière d'embauches et de couvertures, le niveau baisse à la CIA. En même avec des ânes comme Ménard, ils font des économies et tout le monde gobe quand même.
En revanche le nabot servile et bougiste tient parfaitement son rôle de petite cloche naïve et il récite à merveille son couplet sur la France immobile et ringarde qu'il faut à tout prix faire bouger.
Comme c'est touchant aussi cette compassion que ce trotskyste reconverti socialiste (comprendre PS) a envers le gouvernement et les difficultés "imprévues" que celui-ci rencontre.
Son employeur Devedjian aime bien les gros neuneus comme Ménard. Regardez ses yeux brillants et admiratifs. "C'est bien mon petit" qu'il doit se dire en lui filant un bout de sussucre, et pendant la petite tape sur les fesses, "avec des bêtas pareils on est tranquille pour un bout de temps".

4 commentaires:

  1. Mais qu'est-ce que Ménard vient foutre dans ce débat???
    Ca ne lui suffit plus de seconder la politique internationale des USA, il faut en plus qu'il s'occupe des affaires intérieures? Il fait du zèle ou quoi?
    Peut-être va-t-il toucher une prime...$$$$

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  2. Qu'est-ce qu'il vient foutre? Simple: il dit qu'il était enthousiasmé par le discours de Sarko pendant la campagne, qu'il croyait que le boss allait faire bouger la France moribonde (donc qu'il a voté pour lui), puis il accrédite l'idée que seule la situation économique "défavorable" empêche le Pèzident de faire ses réformes (donc il le dédouane ). Il vient nous expliquer le sarkozysme, voilà ce qu'il vient foutre. Grâce à lui, on va enfin comprendre.

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  3. Par contre, ton billet ne dit pas si, à la fin de l'émission, clébard a eu son gros nonos...

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  4. Robert Ménard vient d'"avouer" dans Orlm qu'il avait voté Sarko à la présidentielle. Son statut d'honorable correspondant se confirme un peu plus.

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