9 octobre 2006

N Benêt


Les Spurs à Villeurbanne, les Spurs à Bercy. TiPi dans son pays ! Ouais ouais…


Les Sixers en Espagne puis en Allemagne, les Suns en Italie puis en Allemagne, les Clippers en Russie, mais que nous vaut cette généreuse attention de la ligue de dream américaine envers les franchises de la très très « David terne » (ohohoho) Euroligue ?

Jordi Bertomeu (Euroleague Basketball), David Stern (NBA) et Joel Linzner (EA Sports). (NBAE/Getty)



Le business ! Les T-shirts, les baskets, les flags, les jeux vidéo (EA-Sport en tête qui n’a jamais réussi à sortir une simulation de basket digne d’un Pro Evolution Soccer par exemple), soit la grande foire des produits dérivés américains. Le fait que la NBA soit désormais proprement envahie par les européens et autres africains, asiatiques, sud américains est limite purement anecdotique.

Qu’on se le dise et on vous le dit, la NBA ne nous fait plus rêver. Ah le bon vieux temps des Pat Ewing, Charles Barkley, Karl Malone, Isiah Thomas, Magic Johnson, Dennis Rodman, Larry Bird, et surtout de Michael Jordan… Jordan qui finalement tenait à bout de bras l’American Dream estampillé NBA. Sa retraite a fait mal, très mal à la Ligue.

Pour la route :


PS :
Mais finalement, on aime bien la NBA...



1 commentaire:

  1. Salut les gars,
    comme vous le dîtes la NBA a vécu. L'indigence de l'équipe us aux derniers tournois internationaux en est l'illustration. Fini le temps des seigneurs, on est pas prêt de retrouver la classe d'un Clide "the glide" ou la folie dure d'un "Mad Max" Maxwell.
    Finalement l'aseptisation est venue de lycéens passé pros à 18 ans et déjà bardés de tatouages.
    Pour l'anecdote le Barca a battu les Sixers. Preuve que le titre espagnol n'était pas du au hasard.
    Drôle d'époque où le meilleur basketteur s'appelle Dirk Nowitski et où le meilleur golfeur se nomme Tiger Woods... :-)

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