5 juin 2016

BlackM, plug anal mémoriel



Allons-nous tous finir par sombrer dans l’antisocialisme primaire ? Non pas que le socialisme comme projet nous dégoûte, mais parce que le socialisme français en tant qu’exercice du pouvoir, franchisse une à une, sans coup férir et la conscience claire, toutes les limites de l’ignoble.

Matez deux minutes le trombinoscope du gouvernement français (celui-là ou n’importe lequel, en fait, vous y remarquerez toujours le même modèle dominant) : collection de bourgeois replets, de daronnes volontaires faisant suer le burnous à leurs subordonnés, de joufflus semblant taillés pour la gifle. Ces têtes-là ne doivent pourtant pas être jugées sur leur apparence inoffensive: ce sont des durs, des idéologues furibards. Ce sont des tronches où le plus petit sens commun a disparu, que la décence a abandonnées, que la retenue n’a sans doute d’ailleurs jamais effleurées. Comment les médias appellent-ils, d’ordinaire, un individu dangereux pour les autres, retranché dans ses bastions, dont le comportement ne suit plus qu’une obsession létale, et qui, si l’on veut l’empêcher de nuire d’avantage, devra être délogé d’urgence ? Un forcené.


Les socialistes sont des forcenés ; ils ne sont pas les seuls. La vie publique est devenue forcenée. Lisez voir le programme des candidats de droite à la présidentielle, leur programme économico-social ressemble à un sacrifice expiatoire. Français, pour jouir du bénéfice délicieux de voir de nouveau la France livrée au pouvoir de la droite, il vous faudra accepter la retraite à 65 piges, le CDD éternellement renouvelable, la modestie salariale, vous soumettre aux fameux accords d’entreprise faisant fi des rapports de force puisque de force, il n’y en aura plus que d’un côté de la table, etc. Bosser plus, plus longtemps, être payé moins, et précaire par-dessus tout. Et travailler le dimanche ! Et la nuit ! Et les jours fériés ! Et dépenser vos piécettes, tas de pingres ! Et sucrer le financement des syndicats ! Et raboter les pouvoirs des prud’hommes ! Notre seule consolation à cette série d’escroqueries, c’est que nous avons déjà commencé de nous y habituer.

Mais, avec les socialistes, il ne s’agit pas seulement d’un larcin social, l’affaire se double d’une démoralisation méthodique, d’un travail de sape à grande échelle.
Comme nous le faisait remarquer Gabriel Fouquet dans un texte qu’il n’écrivit jamais, la transgression n’est plus affaire d’artistes ni de jusqu’aux boutistes radicaux, c’est devenue celle des puissants, radicaux eux aussi (quoique dotés de faciès, bien trompeurs, de charlots), qui usent de ce moyen pour marquer leur pouvoir sur les masses. Le sens de la subversion demeure vertical mais a changé d’orientation : c’est du haut vers le bas qu’elle travaille désormais, sur nos gueules. Quand elles ne font pas le travail elles-mêmes directement, les autorités sont toujours promptes à soutenir, moralement et financièrement, les transgressions les plus
1 osées
2 farfelues
3 débiles
4 régressives
5 hénaurmes
du moment que le peuple ne comprend pas. C’est le critère. Et si, par miracle, une fraction organisée de ce peuple se met en branle pour protester, c’est le bingo : un ministre vient déposer ses points Godwin aux pieds de la Liberté, ou à ceux de l’Art, ou une autre idole du même calibre.


Rappelons-nous la délicieuse Piss Christ, rappelons-nous l’affaire du drapeau français utilisé en torchecul, rappelons-nous la pièce de Roméo Castellucci, où le public « averti » applaudit l’intervention des CRS, venus jusque dans le théâtre (subventionné à mort) pour permettre à la transgression de s’accomplir, démontrant ainsi que désormais, l’ordre, c’est la transgression ! Rappelons-nous le plug anal vert de la place Vendôme, geste programmatique sans ambiguïté : « Nous voici, préparez vos culs ! » C’est à une sodomie symbolique du peuple que le plug invitait. Un plug anal vert de 23 mètres de haut, c’était la construction que le pouvoir érigeait pour nous édifier sur notre sort. Louis XIV mit en scène la majesté solaire du roi à travers l’invention de Versailles et la vie de la cour. Napoléon fit construire un arc de triomphe, symbole des ambitions de son règne. François Hollande, lui, laissa gonfler une baudruche verte en forme de plug anal pour traduire, dans un raccourci sans égal, le sort qu’il entend désormais réserver aux fondements qu’il administre, les nôtres ! L’artiste McCarthy, tronche de cake sodomiste obsédé et récidiviste, illustra le programme du pouvoir comme le firent avant lui, mais avec d’autre moyens, Piero della Francesca pour le Duc d’Urbino ou David pour la Révolution française. La subversion fut appuyée, comme c’est la règle, par l’argent public, et le ministre lui-même intervint pour déplorer, avec la patronne du Medef, que ce con de peuple à l’intromission regimbe.

Après son dégonflage, le plug à fion fut donc rangé, en attendant une occasion de resservir. Verdun, par exemple ! Quelle plus belle occasion d’humilier le peuple ? Quelle meilleure fenêtre de tir pour « réinventer la commémo », faire bouger les lignes en adoptant un langage résolument moderne ? Le pleug glauque trouva, en la personne d’un rappeur, son plus naturel remplaçant : un boulot sur-mesure pour Black M. J’irai rapper sur vos tombes ! Je ferai YO sur vos os ! Ben voyons ! Il est écrit que la rage moderne d’innover ne doit plus désormais rencontrer d’obstacle. Et que valent, en tant qu’obstacles, les 700 000 morts de Verdun ? Brindilles ! Que sont-ils face à la science d’un créatif, aux prérogatives d’un dir-com, au génie d’une experte en événementiel ? Que pèse cette foule de morts sans positionnement stratégique, sans avocat, sans community manager ? Sans compte FB !? Face à un con comme la France en produit dans ses mairies, dans ses conseils généraux et ses ministères, ce genre d’obstacle ne vaut rien. Le pouvoir débridé des hystériques n’est plus limité que par leur propre lâcheté quand, par miracle, l’opinion publique fronce le sourcil.

Non seulement le peuple est chair à canons, mais un ministre de la kultur lui explique, quelques décennies après le hachage, que réclamer un peu de dignité est nauséabond ! C’est toi, Azoulay, qui nauséabonde sur nos pompes ! Va te rincer, hé, pestilence ! Le retour de l’ordre moral, qu’elle dit ? Mais c’est elle qui est ministre en exercice, l’ordre qui a le pouvoir d’imposer ses vues, c’est elle ! Quand le gouvernement fourgue le mariage homo à un peuple qui n’en veut pas, ce n’est rien d’autre qu’un nouvel ordre légal et moral qu’il impose, encore une fois à coups de CRS ! Qu’un ministre glapisse contre le retour de l’ordre moral alors même que toutes ses interventions sont farcies de morale, alors qu’il est impossible de recevoir une subvention de son ministère (via la DRAC)si le spectacle qu’on propose ne vient pas ajouter sa couche de moraline à l’édifice (spectacle pour enfants handicapés, concert pour la Diversité, installation dénonçant les Croisades, la colonisation ou l’amiante (au choix), odes diverses au féminisme ; à Avignon, un con a même proposé une version subventionnée de la Mouette, montrant des mouettes couvertes de pétrole brut, pour dénoncer sans doute quelque catastrophe pétrolière – Tchekhov s’est officiellement retourné dans sa tombe pour l’occasion), c’est le lupanar qui se fout de la levrette !

Pour une fois, l’histoire se termine bien. Jusqu’à la prochaine tentative. Black M est allé se faire foutre, comme sa destinée l’y invite, et le maire de Verdun s’est fait passer un savon de première catégorie. Nous n’avons rien gagné à l’affaire, mais au moins nous n’avons pas (encore) totalement perdu la face. A la faveur de cette énième enculerie, ceux qui l’ignoraient encore auront peut-être aperçu le mépris de classe dans lequel nous sommes tenus, nous autres cons ordinaires, rétifs aux laideurs, aux tartuferies des édiles, pas encore mûrs pour la pluganalisation en marche.

22 commentaires:

  1. Seigneur ! Que tant de pertinence fait du bien à mon cerveau démotivé par cette époque fécale !

    Un grand merci au CGBistes et à Beboper en particulier !

    Venceslas

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  2. que votre plume demeure fidèle et fière de son clairvoyance (nimic de adaugat) Amin!

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  3. kobus van cleef6 juin 2016 à 22:02

    ouyais !
    beboper en force !
    tarterêts tarterêts ! ( là ,je me suis laissé entraîner par ma ferveur )
    je voulais dire, en bon anglo-normand "carteret"

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  4. Que leurs plugs s'enfoncent jusqu'à leur gorge et qu'ils en crèvent !
    C'était ma séquence repentance et compassion.

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  5. Merci pour tant d'intelligence. Vous avez parfaitement mis à jour la logique mortifère qui sous-tend l'ensemble de ces manifestations. Si les puissants ont toujours méprisé les faibles, aucune époque n'a marié de telle façon mépris de classe, vulgarité et mauvais goût. De Piero della Francesca à Mc Carthy... Tout est dit...

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  6. Merci pour les compliments, je les transmets au patron avant la période de négociations salariales...

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  7. Sucrer le financement des syndicats, je trouve que c'est une excellente idée.
    Les Suisses, non encore socialistes, ont eu droit à une cérémonie d'inauguration du nouveau tunnel sous le Saint Gothard assez gratinée. C'est le monde occidental qui se décompose et non la seule France.
    Sinon, vous lire est toujours un plaisir.

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  8. Sucrer le financement des syndicats, une bonne idée ? Expliquez-nous d'abord comment, selon vous, on a obtenu la retraite, la Sécu, la réduction du temps de travail, la sécurité au travail, les congés payés, les comités d'entreprise, et si on remonte un peu plus loin, comment on a cessé de faire travailler des gosses dans les usines, etc. Et après, on cause...

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  9. Mon dieu, je crois entendre la même petite musique que celle fredonnée par les féministes. Sans elles, les femmes porteraient encore ceintures de chasteté. Elles n’auraient ni droit de vote ni droit à l’avortement et seraient continuellement soumises, bien malgré elles à leurs ignobles obligations conjugales...
    Les syndicats, comme les féministes ne sont pas des entités immaculées tombées du ciel pour défendre la veuve et l’orphelin contre « l’oppression ». Ce sont des mouvements (des idées) qui ont émergés naturellement au regard d’une conjoncture particulière et favorable à leur existence.
    Cette conjoncture était favorable parce que la France était dans une phase de croissance économique vertueuse. Ni plus ni moins.
    Alors, moi, il me semble que pour discuter face à des nations imposantes qui rigolent de vos revendications (chine, EU, Inde, Russie) il est préférable d’être fort. C’est pour ça que tous ces blocages à l’initiative de syndicats (qui ne représentent qu’eux-mêmes) emmerdent la plupart des gens.
    Parce que si on se laisse aller à la petite musique des sympathisants CGTistes, tous les acquis que vous mentionnez sauteront assurément les uns après les autres.
    Alors vous allez bomber le torse, relever les yeux, tête haute, nous faire un grand sourire et comme un vrai bonhomme vous remettre au boulot. A moins que la France en tant que Nation ne trouve plus grâce à vos yeux ?

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    1. Anonyme, connaissez-vous la définition exacte d'un imbécile ? Non? Eh bien, faites une prise de sang et observez le résultat.

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    2. Anonyme, je veux bien vous accompagner pour la prise de sang, visiblement j'ai les mêmes symptômes !
      Votre analyse, je la partage complètement (je partage mais je suis pas communiste hein !)

      Je pèche peut-être par excès de matérialisme mais les évolutions du progrès technique et sociales, économiques, démographiques, politiques, une fois le mécanisme initial enclenché, suivent quand même une courbe assez facile à deviner, et hélàs, difficile à s'en libérer.

      Le seul objet qui légitime la question "Où en serions nous si...?" est celui du progrès technique. Il est à l'origine de TOUT dans la société. Le reste, évolutions sociales autres azimuts ne sont que du superflu. Les idées et contre-idées, les hommes et leurs luttes exacerbées ne font qu'habiller le progrès (et ses contre-coups) que l'on nomme l'Histoire. La conclusion est bien sûr terrible car elle réduit à néant la croyance de l'homme en sa liberté. Imaginez donc, un homme sans dieu et sans liberté, c'est terrible, terrible...

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    3. Je me suis mal exprimée: le progrès technique conditionne toutes les autres. C'est l'idée que je souhaitais exprimer.

      On connaît tous le fameux adage dont il est plaisant de se moquer: "on n'arrête pas le progrès". Il y a de la désolation dans ces mots porteurs d'espoir, car il existe un point de rupture entre les hommes et le progrès et on est un peu en train de le vivre...

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    4. Eve Kendall, je suis l'Anonyme à la prise de sang et je partage votre réflexion sur le progrès technique, c'était effectivement le sens de mon intervention.
      Beboper, le ton de mon message était volontairement provocateur, je ne vous en veux donc pas, par mimétisme, d'avoir répondu avec plus de taquinerie encore.
      Mais en réagissant de la sorte vous avez démontré, bien malgré vous, le caractère mimétique de l’individu humain qui semble être à la base de son évolution et de cette course effrénée à toujours plus de croissance, de progrès technique etc…
      A ce sujet les réflexions de René Girard, trop peu connues, me semblent taper dans le mille.

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    5. On va quand même pas invoquer Girard à chaque fois que deux types se traitent d'imbécile, si ?

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    6. Je suis la preuve vivante que Girard s'est trompé. EN effet, si j'avais été travaillé par le mimétisme, après votre message, j'aurais moi-même dit une imbécillité. Or, je ne l'ai pas fait, je vous ai pondu une vanne. Donc le mimétisme a des limites, s'incarnant notamment en ma modeste personne.
      Quant au charabia dont vous usâtes, vous et Eve Kendall, je me propose de l'asticoter plus avant, mais un peu plus tard (j'ai des devoirs envers le whisky qui ne sauraient être différés)

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    7. Ces deux neuneus échappés d'une grand messe du Progrès m'évoquent bien plus Bouvard et Pécuchet que René Girard.

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  10. ça sent le hors-sujet à plein nez... je ne prétends pas que les luttes sociales précèdent le progrès technique, bande de distraits, je souligne et affirme que le progrès technique, aussi furieusement génial fût-il, ne fait rien spontanément pour le progrès social. Le progrès technique, ça s'invente; le progrès social, ça s'obtient, ça se conquiert. Pourquoi ? parce que personne ne donne jamais rien à des inconnus spontanément. Plutôt que de bla-blater, je renvoie mes contradicteurs à l'histoire sociale des deux derniers siècles, et j'attends qu'ils m'expliquent comment on en est arrivé à grappiller quelques miettes de bien-être aux progrès gigantesques de la productivité. Tout le reste, c'est du paluchage de quéquettes.
    Et si quelqu'un regrette qu'on ne fasse pas travailler les enfants de dix ans pour pouvoir être en concurrence avec je ne sais quel Bangladesh , eh bien qu'il y migre, et nous fiche la paix.

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    1. Vous disposez certes d'une belle plume Beboper, cela fait bien entendu illusion, mais pas indéfiniment.

      Ce que vous appelez « progrès social » n'est objectivement qu'un rapport de force qui a pris conscience de lui-même. Vous le percevez subjectivement.
      Le « progrès social » est tributaire des rapports de force, et de leur exploitation éventuelle.

      Comme tous les gauchos, vous associez subjectivement « progrès social » à une idéologie particulière.
      Et comme tous les gauchos, vous prenez des grands airs de moralisateur ultra-cool, certes avec plus de talent que la plupart d'entre eux.

      Votre dernière phrase est splendide, faire guetter le procès d'intention, avec le coup des petits nenfants de 10 ans... Ma-gni-fi-que et tellement l'inverse de tous vos parements intellectuels !

      Admettre que votre vérité n'est qu'une idéologie [à la base de toute la merde progressiste que vous moquez si bien ici) vous obligerait à remettre en question tout ce en quoi vous avez cru, et c'est bien de votre égo dont il est question ici, 1er levier de gouvernance des gaucho.

      Vous misez tout sur l'image, l'apparence, la figure de style : la forme. Dans le fond, vous êtes un gauchiste plus cultivé que la moyenne.

      Tout comme votre dernière phrase, la première de vos phrases est également un avertissement, à peine voilé.
      Cela a quelque chose de très pathétique, tout comme le fait que ceci ne sera pas publié.

      Un autre anonyme.






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    2. Le progrès social çà se conquiert aussi en faisant rouler les têtes au panier de ceux qui ont la comprenette difficile.

      Peut être qu'on devrait s'y remettre...

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  11. Mais nom de Dieu de bordel de merde, qu'est-ce que j'ai fait pour mériter tant de sentences poisseuses ? Je suis tombé sur un nid d'extrapolateurs devenus fous, ou quoi ?

    Je m'auto-cite : "...vous soumettre aux fameux accords d’entreprise faisant fi des rapports de force puisque de force, il n’y en aura plus que d’un côté de la table"- Dans cette phrase, ô sentenceurs épuisants, qu'est-ce qui vous fait penser que j'ignore le rôle des rapports de force ? Répondez à ça au lieu de me les briser, tas d'approximateurs de banlieue !

    Le rapport de forces, OUI, encore et toujours, puisqu'il n'y a rien d'autre (une fois le "progrès technique" obtenu) qui permette de rendre moins dure la vie matérielle des gens. C'est justement le sens de ma remarque initiale, et on vient faire semblant de ne pas avoir compris ? Mais bordel, pourquoi vous n'allez pas plutôt regarder pas l'Euro de football ?

    Je n'associe "progrès social" à rien d'autre qu'aux rapports de forces, et je souhaite qu'ils ne soient pas tout à fait à l'avantage des Gengis Khan de la mondialisation heureuse. ça va, ça ? J'ai été clair ?
    Je ne prétends pas que le progrès social est "mieux", plus juste, plus lendemains qui chantent, plus ceci ou plus cela: je dis simplement qu'étant un modeste travailleur moi-même, enfant d'encore plus modestes que moi, j'ai INTERET à ce qu'on ne me tonde pas tout à fait la laine sur le dos. Et j'ai pitié des ouvriers et des employés qui ne comprennent pas ça.

    Qu'on en ait plein le dos des grèves de trains parce que ça contrecarre un plan cul à Pétaouchnock, je peux le concevoir, mais qu'on veuille interdire les syndicats, ou leur rendre l'existence impossible, en prétendant que c'est bon pour la France, pour les gens, pour le business, ça me file des boutons!
    Alors, les deux anonymes furibards, soit vous êtes des prolos et vous n'avez pas compris qu'en débinant les syndicats vous savonnez vos propres raies du cul; soit vous êtes des mecs friqués, et dans ce cas, je n'ai rien à vous reprocher, vous suivez vos intérêts, comme tout ce qui rampe dans cette vallée de larmes.
    Dans les deux cas, donc, cessez de me faire la leçon.

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    1. kobus van cleef15 juin 2016 à 22:33

      Mes plans cul , ça n'a jamais été avec le secours du rail, vous savez
      Toujours en grève ces cons là !
      Non ,un bon plan cul , c'est pas très loin de chez soi, pour pouvoir foutre le camp une fois le dernier frisson apaisé
      Sinon tu y est encore le lendemain et là, ça devient une habitude ( c'est sous ce vocable qu'on designe les relations extra conjugale chez moi)

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  12. Le problème n'est pas Black M, mais qu'il y ait un concert tout court. Après, dès que c'est le cas, c'est trop tard. Même Marylin Manson devient légitime. Y a pas de raison.

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