Une fois je me souviens c'était une étudiante en kiné... Bar habituel. Soirée assez calme, pas grand monde de présent, on finit par se parler au coin du comptoir. Au bout d'un moment, elle me dit ce qu'elle fait, et je lui réponds que je suis plutôt bon masseur moi-même. D'un regard lubrique elle me demande de la masser dans l'instant, et qu'elle me notera après.
Bon, du coup rien d'exceptionnel, pas seulement parce que j'étais trop concentré à bien faire, mais surtout parce que je n'avais en tête que l'idée de partir du rade avec elle et de la baiser. C'est après ce soir que je me suis rendu compte que mes massages sont meilleurs une fois que j'ai déjà sauté la gonzesse.
Je ne lui ai avoué que la première excuse.
"C'est vrai que tu te débrouilles pas mal, mais tu as besoin de cours pour t'améliorer. Je suis major de ma promo, tu n'auras pas prof plus bonne."
Dans ce genre de situations, je me demande encore si elles font exprès de dire un truc avec une connotation aussi grossière ou si c'est leur inconscient qui ne peut pas s'empêcher de faire passer le message. Peut-être un peu des deux... Soit, on est allé chez elle. A cinq minutes montre en main. On a même pas bu un coup. On avait juste envie de le tirer. Naturellement, sans penser à quelques conséquences.
Ca s'est fait sur une vieille vanne perverse sur le moment où j'allais avoir mon cours, et elle qui me fait la technique du "après, il faut d'abord règler d'avance." J'avais trouvé la réponse marrante, sûrement parce qu'elle signifiait qu'on aller passer à l'acte sans plus attendre, mais aussi parce que j'aimais ce côté excitant mais sans être trop vulgaire. Disons qu'elle avait clairement pas froid aux yeux quoi.
Elle était pas mal. Pas très jolie, mais plutôt bien foutue. C'était une bonne baise.
Bon comme souvent, c'était surtout la facilité de la chose qui avait joué.
C'est sûrement marqué sur ma gueule que je suis un dingue de cul, que je peux le faire avec n'importe qui n'importe quand n'importe où. Et paradoxalement, bah c'est un sacré avantage, ça a du me servir pas mal de fois, quand il y en a une qui avait une putain d'envie de sexe, et qu'en voyant ma tronche d'obsédé, elle savait qu'elle allait pouvoir prendre sa dose sans avoir à me présenter à ses parents.
Le règlement en avance fut versé très consciencieusement. Visez-moi un peu ce pourboire que j'ai laissé.
Je n'ai pas eu à me plaindre de son cours non plus. C'est vrai qu'elle était douée. J'ai été surpris. En vérité, j'avais tellement vu ça comme une excuse, que j'en avais oublié que ce fusse possible. Bref, voilà quelque chose qui m'a été assez utile dans ma vie.
J'ai pas pris son numéro, si elle voulait me voir elle n'avait qu'à revenir au bistrot. Elle ne trouvait pas ça bizarre, ne semblait pas gênée. J'aimais bien ce genre de filles. Du coup j'ai eu droit à deux trois autres cours.
Une fois elle avait même ramenée une "assistante". Pas terrible, un peu potelée. Mais bon, c'était sympa de s'en taper deux en même temps, alors bon.
Je me suis fait l'assistante pour la forme, et parce que ça m'excitait que ça excite ma masseuse, ce qui était le cas. Elle me fixait avec insistance dans les yeux, couchée sur le lit les jambes écartées, se faisant léchouiller la chatte de temps à autre par sa copine à quatre pattes, quand je laissais cette dernière respirer. J'ai rarement vu un regard de salope pareil. Mais pourtant, elle avait toujours ce truc, qui faisait qu'elle n'était pas vulgaire.
Bref, chouette soirée. Un moment elle s'est arrêtée de venir au bar, sans que je m'en rende compte.
De toute façon, sans me vanter, je crois que l'élève avait déjà dépassé la maîtresse.