7 janvier 2011

Au régal des vermines


Arnaud Viviant crache sur la dépouille de Muray
envoyé par FrenchCarcan. - Découvrez plus de vidéos de la vie étudiante.

9 commentaires:

  1. Souvenirs souvenirs8 janvier 2011 à 04:39

    Je ne trouve pas ça pire que de cracher sur sa pensée en se félicitant des conneries éructées par les deux premiers festivus débilus venus.

    http://www.culturalgangbang.com/2010/12/jai-pas-trouve-de-titre.html

    Bardolle était là pourtant, face à eux, et ce qu'il disait Murray ne l'aurait sûrement pas désavoué.

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  2. Ah, il se venge ce putain enculé. Quelle plus belle manière que de conforter feu Muray dans son portrait de Viviant ?

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  3. Réac'n'roll star8 janvier 2011 à 17:19

    Endormi au bout de quelques minutes; l'intermède sonore Television m'a sorti de la torpeur engendrée par cette querelle post-mortem opposant germanopratins émasculés et ex-enfonceur de portes entrouvertes.

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  4. cela dit, je suis d'accord avec le type qui parlait avec une voix plus calme. Lucchini qui lit du Muray, c'est d'abord du luchini.
    Il lit comme il répondrait à une interview.

    La nana qui parle de "censure". Je n'en crois pas mes oreilles. Se moquer d'imbéciles qui se plagient les uns les autres sur fond de pensée correcte constitue, désormais, une censure! La minorité écrasée par le rouleau compresseur de l'unanimisme censure les mandarins en place simplement en sortant du rang. Ca confirme une formule juste de muray: "subventionnés, il se croit persécutés".
    Ce qu'elle dénie à muray c'est le droit de ne pas être d'accord. Ne pas être d'accord, c'est faire preuve de censure...Ca montre bien que ces types évoluent dans une atmosphère des plus consensuelles.

    "Muray est idéologique parce qu'il critique toujours les journaux et auteurs de gauche". Ben faut dire que de son temps (et du notre), il est difficile pour un penseur conservateur de se faire entendre.
    Muray a critiqué ce qu'il avait sous les yeux.

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  5. Bizounours = tarlouzes9 janvier 2011 à 03:55

    Putain mais vous êtes radins chez les crocos ruskofs. T'as qu'à faire comme moi et t'abonner à Spectacle du Monde, à Valeurs actuelles et à Eléments. Mais c'est sûr que si tu préfères traîner dans le salles d'attentes t'aura que Elle magazine, Gala et Le Figaro Madame.

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  6. "Lucchini qui lit du Muray, c'est d'abord du luchini.
    Il lit comme il répondrait à une interview."

    y'a de ça, tu vois bien que y'a plein de gens qui viennent pour lui. Bon, c'est un showman qui tourne en boucle mais il sert le texte aussi, même s'il le festivuse un peu.
    En tout cas, je suis allé le voir à l'Atelier le jour où je me suis fadé Indignez-vous (offert dans le cadre de mon domaine professionnel ; faudra pas s'étonner si je débarque un jour avec un fusil à pompe pour y faire un carton façon Chute Libre). C'était tout de même du domaine de la bouffée d'oxygène...

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  7. c'est certain, Muray par Lucchini, est un spectacle plus réjouissant qu'un discours sur la contribution d'internet à la libération des masses laborieuses ou encore n'importe quel autre prêche sur la responsabilité de l'europe dans le sous-dévelopement africain par le plus mainstream des calotins en proie au délire de persécution.

    N'empêche... les défauts de la prestation de lucchini souligne la contradiction qui existe dans le projet même de porter muray à la (re)connaissance du plus grand nombre. C'est tout simplement une contradiction dans les termes. Non pas que Muray soit un génie dont la compréhension serait réservée à un petit groupe d'initiés. Mais plutôt que la moquerie est une attitude qui ne peut que caractériser une minorité. Le dédain de masse, ça n'existe pas.
    Les simagrées de lucchini peuvent bien attirer les foules, elles ne les retourneront pas.

    D'ailleurs lucchini le reconnait bien volontiers lorsqu'il évoque ces spectateurs qui n'applaudissent que d'une main parce que sous l'autre, il y a le dernier bouquin d'angot.

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  8. Je suis d'accord. Par moments, la salle en rires, je me demandais s'ils comprenaient bien de quoi il en retournait exactement. Il y a d'ailleurs une dame qui à un moment s'est manifestée. elle se réjouissait de la taillade ségoléniste, avec un certain premier degré. Vu l'anticipation de la dame, Fabrice lui a demandé, non pas si elle était une lectrice de Muray, mais si elle était déjà venue voir son spectacle. certaine preuve de lucidité, au passage. Il est inutile que je vous donne sa réponse. Le comble, alors que Lucchini ouvre son spectacle sur la Job pride, c'est que cette triste dame, qui venait d'annoncer qu'elle reviendrait une troisième fois avec une "autre copine", a déclaré être une ancienne DRH. Tandis qu'une envie de meurtre m'étreignait, la salle, elle, était quasi unanimement goguenarde. Je sais pas si tout cela est bien parlant, je veux pas faire mon dandy, et je me remets mal d'un mauvais état gripal, ayant eu toutes les peines du monde à me procurer, au black, de bons vieux antibiotiques...

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  9. Segoléniste et consommatrice bio depuis 15 ans10 janvier 2011 à 19:44

    Mouais, on verra bien...

    Rien à voir, mais il n'a pas l'air de très bien se nourrir ce Viviant. La gueule qu'il tire sur la photo ! Et puis faudrait qu'il s'achète un peigne.

    Sinon, pour la vidéo, on a que le son. C'est normal ?

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