28 mai 2008
Ari Hoenig
De la "nouvelle" génération de batteurs de jazz, le New-Yorkais Ari Hoenig est sans doute le plus exigeant: batterie minimaliste à la Buddy Rich, groove imparable, vituosité... L'ex fan de Slayer continue sous petit bonhomme de chemin en étant leader de son propre quartet (Dreyfus Jazz) ou en accompagnant Jean-Michel Pilc ou Tigran Hamasyan.
En tournée bientôt près de chez vous.
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Impressionnant !
RépondreSupprimeril semblerait que les solos de batterie soient susceptibles de devenir moins chiants ! Vive le XXI ème siècle !